Retour à Diola
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V
Agenouillé sur mon flanc, le Maître fait jaillir de la crème blanche sur ma fesse gauche, et tout en douceur, la fait pénétrer partout jusqu’en haut de mes cuisses. Quand il passe à la droite, je me sens mieux.
Une fois son massage achevé, il penche son visage vers moi et m’embrasse. Je suis tellement bien, que je réponds à sa caresse linguale.
Le Maître me regarde droit dans les yeux quand il éloigne sa bouche de la mienne dit :
– Je vais commencer à te doigter. Car c’est ainsi que le Prince s’occupera de toi. Ou tu acceptes gentiment. Ou tu refuses et j’emploierai la cravache sur ton trou du cul jusqu’à ta capitulation. Est-ce clair ? Tu peux répondre.
– Oui, Maître.
– Acceptes-tu ?
– Oui, Maître.
Je n’ai plus aucune envie de m’opposer, et, sincèrement, chers lectrices et lecteurs j’ai très envie de sentir ses doigts dans mon cul.
Quand il revient vers moi, je vois qu’il a ganté sa main droite d’un gant de cuir noir luisant de gel qui est comme implanté sur la peau tant il colle. Sa main gauche tient un pot de gel ouvert. Il le pose à terre, explique :
– Je ne mets pas de gel à ton trou du cul. Le Prince n’en met jamais.
Je lève mon bras gauche.
– Veux-tu parler ?
Je secoue affirmativement la tête.
– Vas-y !
– Ça fait mal, non ? De plus, Maîtresse Carla m’a mis de la pommade astringente avant mon départ… Maître (j’ai failli oublier).
– En effet. Mais il faut que tu t’habitues. Tu t’es rattrapé à temps, c’est bien. J’aurai quand même eu plaisir à claquer ton beau cul. Autre chose ?
– Non, merci, Maître.
– Garde tes jambes bien écartées.
Je mets mes cuisses de chaque côté du banc, lui offre un accès ouvert à mon cul. Sa main gauche caresse mes cou et visage alors qu’un doigt se présente à mon trou du cul, s’y prélasse un instant avant d’en forcer l’entrée.
Comme je me crispe sous la douleur de la pénétration, sa main gauche se fait plus caressante :
– Reste détendu !
Je ne peux m’empêcher de relever :
– Facile à dire… (me rattrape) Maître.
La sentence tombe :
– Dix claques ! On va d’abord finir l’exercice.
Là encore, je persiste avec sincérité :
– Merci, merci, Maître.
– Quinze claques.
Tant pis.
Entre-temps, le doigt s’est positionné au fond de moi, car je sens la jointure avec la main peser sur mon anus.
Le doigt travaille mon cul : monte, descend, écarte mes chairs internes. Puis il sort avec un : « plop ! » sonore et érotique.
Le Maître annonce :
– Deux doigts maintenant. Je t’en mettrai trois demain…
Il ajoute du gel à ses index et majeur avant de les poser bien serrés sur mon trou du cul. LIRE LA SUITE
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