L’amie d’enfance -2-

mercredi 2 septembre 2020
par  Sylvain de Perry
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II.

Laura a été contrainte de rester nue pendant tout le dîner. C’est elle qui a assuré le service à table, le passage des plats ; Silvia achève de ranger plats, assiettes et couverts dans le lave-vaisselle.
Aurelia commande :
– Va la débarrasser de ses poils et vous me rejoindrez au sous-sol.
Laura se rebelle, sans toutefois élever la voix :
– Tu aurais pu me demander mon avis.
– En effet, chérie. Si tu refuses, tu dors ici ce soir et demain tu te tires. Alors, je t’en prie, choisis.
Laura sourit, prend doucement le bras de Silvia :
– Allons-y !
Aurelia reste coite, même si la fière attitude de son amie ne lui plaît guère. Il va lui falloir vite remédier à cela. Avant leur disparition, elle dit :
– Silvia, utilise le Corivex plutôt que le rasoir.
– Bien, Maîtresse.
In petto, Silvia comprend qu’Aurelia n’admet pas l’attitude légère et désinvolte, voire hautaine de Laura et qu’elle veut reprendre la main. Parvenues à la salle réservée aux soins, Silvia désigne l’espèce de lit sur roue recouvert d’un drap de cuir blanc, commande :
– Mets-toi sur le dos, place tes cuisses dans les rigoles.
Quand Laura a pris la position, Silvia lie les cuisses sans serrer, passe derrière sa tête, lui attrape les mains, emprisonne les poignets dans une paire de menottes magnétiques, provoquant son courroux :
– Non ! Non ! Pourquoi m’attaches-tu les mains ?
– Par sécurité.
Silvia passe une large ceinture de cuir un peu au-dessous des seins afin d’éviter un mouvement brusque du corps, règle l’écartement des cuisses afin que le sexe et le trou du cul soient parfaitement à sa disposition.
Ensuite, elle s’affaire, revient porteuse d’un plateau où, inquiète, Laura voit un pinceau large, un autre plus fin, un bol rempli d’un produit translucide et des bandes blanches pas très larges.
Silvia s’assoit sur tabouret roulant, prend le pinceau large, le trempe dans le bol, puis, comme si elle peignait, passe les poils sur ceux de Laura qui sent aussitôt un grand froid comme si des glaçons avaient été déposés sur sa peau. Puis le froid diminue, devient chaud, puis très chaud, brûlant même. Elle se met à crier :
- Ouaaaaaaah !... Nooooooon !... Ça brûle !
En effet, la fraîcheur s’est transformée en une chaleur quasi bouillante. Du coup, Laura, outre ses cris, s’agite dans ses liens. Mais elle ne peut qu’à peine se bouger. L’impression est horrible. Silvia, pas préoccupée par les plaintes, trempe à nouveau le pinceau dans le bol avant de lécher les poils côté droit de l’entrecuisse, puis au-dessus du triangle.
Laura pleure à chaudes larmes, ses cris diminuent. Silvia prend un mouchoir jetable, essuie les larmes sur les joues. Puis elle prend une bande, la met sur les poils de la partie gauche, appuie légèrement dessus, afin que ça adhère puis tire d’un coup sec. Plus un poil. Même s’il est très douloureux, le produit est efficace.
Quand elle a fini, il ne reste que quelques poils près des lèvres, et au-dessus à quelques millimètres du clitoris. Silvia gante ses mains, prend le pinceau fin. Laura proteste :
– Non ! Non ! Il ne reste plus de poil.
Silvia la regarde, un sourire perfide aux lèvres :
– Malheureusement si. Mais ça va aller plus vite.
– Non ! Non !
Silvia écarte les lèvres de deux doigts, passe le pinceau sur la bordure droite où restent cinq, six poils. Idem sur la lèvre gauche.
Laura hurle alors que le pinceau passe autour de la gangue protectrice du clitoris.
Pour ôter les derniers poils, Silvia y passe les doigts et ils tombent d’eux même. Elle va récupérer une crème calmante, ôte ses gants, en couvre les parties irritées.
– Maintenant, à tes fesses. Pour l’extérieur, il n’y en a pas. Par contre, ta vallée en a un peu, ça va aller vite.
Laura se récrie :
– Non ! Non ! Pas là ! Ca fait trop mal !
– Aurelia a dit de tout enlever. Donc, faut le faire.
Nouveau balayage avec le pinceau large, nouveaux hurlements de Silvia.
Il ne reste que ceux qui entourent l’orifice anal, peureusement tapi au fond de la vallée. Le pinceau fin achève le travail. Cela fait bâiller le trou du cul…

Quinze minutes plus tard, les deux femmes pénètrent dans le sous-sol où Aurelia les attend. Laura s’arrête à peine le seuil franchi, surprise par la croix de Saint-André sur un des murs, l’attirail des divers instruments de correction suspendus sur le mur adjacent : raquettes de différentes dimensions, martinets de lanières plus ou moins fournies, cravaches aux languettes plus ou moins larges. Près du troisième mur une large table où reposent toutes tailles de godes et plugs. LIRE LA SUITE


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