De découverte en découverte - 2

mardi 24 novembre 2020
par  Sylvain de Perry
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Malcom est surpris quand Loriane pénètre effrontément dans la cabine de douche. Doit-il la mettre dehors ? Après quelques secondes de réflexion, il décide de se rincer pour vite sortir.
Loriane, tout en se savonnant, le regarde, admire son ventre musclé aux abdominaux pas trop saillant, ses cuisses longues puis sa bite en légère érection. Elle va pour la prendre en main quand il fait volte-face, offre son cul long et rond à ses yeux. Du coup elle a bien envie de le claquer mais s’abstient.
Malcom la plante là, sans un regard, ni même un mot.
Vexée, Loriane s’empresse de se rincer, évite de mouiller ses cheveux, ferme l’arrivée d’eau et quitte la douche.
Malcom la cueille une grande serviette blanche dans ses mains. Il l’en couvre à la surprise de Loriane qui constate que l’éponge s’arrête à hauteur des reins. L’homme l’essuie puis sans préavis serre l’étreinte de la serviette, si bien qu’elle a les torse et bras prisonniers.
- Eh ! Qu’est-ce que tu fais ? Faut finir de m’essuyer.
- Ne t’impatiente pas !
La grande main fine de Malcom claqua la fesse droite, puis la fesse gauche.
Loriane ne s’y attendait pas. Tout son amour-propre se rebiffe. Elle s’agite dans sa prison d’éponge, piétine sur place :
- Ça va pas ! T’es fou ! Lâche-moi !
- Il faut savoir ce que tu veux : être essuyée ou non ?
- Non ! Oui ! Pas comme ça ! Aaaaaaaye !...
La sensation est si cuisante que, malgré elle, Loriane se contracte pour y échapper. Et du coup, parce que quand elle se contracte les claques sur les muscles tendus des fesses lui causent une douleur encore plus vive.
Alors elle se détend, s’ouvre même, écarte ses jambes en s’efforçant d’être souple et paradoxalement inaccessible.
Les longs doigts la frappent juste sur l’anus et l’orée du sexe découvert qui semblent béer sous l’espèce de faim étrange, exacerbée, provoquée par la brûlure qui s’installe peu à peu sur la surface du cul fessé.
- Asssssssez !... C’est sec !... Ça… me… brûûûûûûûle !... Pluuuuuuus… la… fessée !...
Loriane ne sait pas jusqu’à quel point la révolte de son orgueil cède, comme s’il arrivait au point de rupture et elle se met à pleurer, tout en se remettant à piétiner sur place.
C’est le moment que choisit Malcom pour mettre fin à la fessée. Il glisse sa main entre les cuisses, un doigt s’enfile entre les lèvres du sexe, y trouve plein d’humidité d’excitation, le sort, le porte à son nez pour le humer tout en délivrant Loriane de sa prison d’éponge, le suce :
- Ta cyprine a très bon goût, un peu salée.
Loriane rougit tout en frottant ses fesses rubicondes, essuie ses cuisses et ses pieds, quitte la salle de bain.
Une fois habillé, Malcom retrouve Loriane, toujours très excitante dans sa tenue de cuir. Elle demande :
- Tu es content de toi ?
- Très. Tu m’as cueilli à froid ce matin, ce soir je me devais de te réchauffer. En te glissant dans la cabine douche, tu m’en as fourni l’occasion…
Il ne va pas plus loin. Loriane s’est approché de lui, a attrapé son visage en l’abaissant vers le sien, l’embrasse à pleine bouche. Malcom répond au baiser limite agressif de la jeune fille, pose ses mains sur le petit cul moulé par le cuir, sent encore la chaleur de la croupe qu’il a fessée.
Loriane, qui veut reprendre le dessus, lâche le visage, claque le cul de Malcom qui rompt le baiser avec regret. Elle dit :
- Il est peut-être temps d’aller dîner, non ?
Afin de n’être pas en reste, Malcom claque sèchement le cul en cuir. Loriane glapit.
Ils choisissent un steak house pas trop éloigné du Club. Malcom appelle un Boston Taxis et Vans afin d’avoir les mains et esprits libres. Et répond positivement à Loriane qui demande si elle peut laisser un sac chez lui.

Deux heures plus tard, ils se présentent main dans la main à l’entrée discrète du Club, sans aucun signe distinctif extérieur. Le videur derrière la porte les laisse passer en déverrouillant le battant. Il a été averti par le capteur implanté sous la peau de tous les adhérents qui a allumé un voyant sur le téléviseur dont il ne quitte pas l’écran de l’œil.
La chargée du vestiaire s’avance vers eux, les salue, leur tend une clef à chacun. Loriane et Malcom vont vers le couloir où sont alignés des casiers, se déshabillent entièrement. Le petit cul de la jeune femme porte encore les traces de la fessée reçue chez l’homme.
Après avoir rapporté leurs clefs à la préposée, qui leur donne le bracelet de la couleur demandée, ils passent dans la salle de réception. Le maître d’hôtel leur souhaite le bonsoir, leur alloue une table, ils commandent leur boisson. Il y a une vingtaine de personnes.
Loriane a enfilé un bracelet noir et gris, qui signifie que ce soir elle sera dominatrice-spectatrice, toutefois comme elle est en couple, elle pourra être corrigée en même temps que son accompagnant. Malcom, devant le choix de sa compagne, a enfilé un bracelet jaune et gris : il sera soumis-spectateur. La règle : un couple ne peut pas avoir la même couleur de bracelet.


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