Je suis retourné dans la cuisine après avoir vu Jim partir, Emily était toujours là à genoux, la chaîne de sa laisse tombait sur ses seins. Elle était si jolie. Il avait un regard vide, je pense que c’était quelque part entre la peur et le soulagement maintenant que Jim était parti, je sais qu’il lui faisait très peur.
« Bonjour salope. »
Je me suis tenu au-dessus d’Emily.
« Je t’ai pour moi tout seul maintenant, n’es-tu pas heureuse ? »
Je passai ma main dans ses cheveux, je pouvais voir ses mamelons trembler très légèrement.
« Que devrions-nous faire maintenant ? »
Ma bite montait dans mon pantalon, je savais qu’elle pouvait le voir.
« Je pense qu’on doit faire un peu de ménage aujourd’hui, regarde cet étage, c’est un bordel. »
Emily ne me regarda pas, ses yeux étaient baissés et son corps tremblait.
« Tu ne crois pas ? »
Emily ne répondit toujours pas.
« Je pense que nous devrions aller chercher Monique et que vous nettoyiez le sol. Ensuite, on passera peut-être à la salle de bain et tu pourras aussi nettoyer les cuvettes des toilettes avec une brosse à dents, jusqu’à ce qu’elles soient impeccables. Je veux que ça brille comme une nouvelle salope, tu comprends ? »
J’ai attrapé les mamelons d’Emily et les ai tordus, les tirant doucement jusqu’à ce qu’elle gémisse.
« Ne t’inquiète pas, j’ai une idée sympa, quelque chose pour t’occuper pendant que tu nettoies. J’ai ce long gode épais à double extrémité, je vais le fourrer dans ta chatte, puis mettre l’autre extrémité dans Monique, je vais vous attacher toutes les deux et vous pourrez nettoyer le sol ensemble. »
Emily se mit à gémir, ses seins tremblèrent tandis qu’elle respirait profondément en essayant d’étouffer ses sanglots.
« Alors pourquoi ne restes-tu pas ici pendant que je vais chercher Monique ? »
Les larmes commencèrent à couler sur les joues d’Emily. Je pris son menton en coupe et levai sa tête pour qu’elle me regarde dans les yeux.
« Je vais même être gentil, pourquoi ne pas frotter cette chatte et te mouiller pour te préparer pour le gros gode pendant que je suis parti ? »
J’ai mis mon pouce dans sa bouche comme si elle suçait une bite.
« Lèche-moi bébé, je vais te lancer. »
J’ai senti la langue d’Emily sur mon doigt, elle ne faisait aucun effort pour couvrir ses pleurs alors qu’elle suçait mon pouce.
« C’est ça bébé, c’est que tu aimes ça ! »
J’ai tendu la main entre les cuisses écartées d’Emily et j’ai enfoncé mon pouce humide dans sa chatte, elle a laissé échapper un grognement d’inconfort alors que je forçais mon gros doigt à l’intérieur de sa chatte et commençais à bouger dans sa chatte.
« Comment trouves-tu ça, salope ? »
Emily gémit alors que je la violais d’une manière encore nouvelle. J’ai retiré mon doigt avec un pop, puis je l’ai mis dans sa bouche.
« Goûte le goût de ta chatte. »
Emily a déplacé sa langue sur mon doigt à contrecœur, lapant son propre jus.
« Je veux que tu astiques fort cette chatte quand je serai parti pour que tu sois bien mouillé quand je reviendrai. »
J’ai retiré mon pouce de sa bouche et je me suis levé.
« Dieu, tu es une petite esclave si sexy ! »
J’ai tapoté Emily sur la tête, puis je suis parti vers Monique, je l’ai entendue pleurer en partant. Monique ne m’a pas du tout combattue alors que je l’entraînais dans la cuisine. Emily se frottait la chatte quand nous sommes entrés dans la pièce, je pouvais voir qu’elle entrait dans son trou et je pouvais l’entendre haleter et ses hanches se déplaçaient en petits cercles. Elle avait une main entre ses cuisses et l’autre était sur ses seins, serrant et pinçant ses mamelons. Elle avait les yeux fermés et n’a pas remarqué notre présence quand nous sommes entrés, puis elle a dû nous entendre, elle a retiré ses doigts de sa chatte et nous a regardés.
« N’arrête pas, salope ! Je veux cette chatte bien mouillée ! » J’ai tenu Monique par les cheveux et je l’ai poussée à genoux à côté d’Emily. « Vas-y, prépare-toi toi aussi. »
Je voyais le désir dans les yeux de Monique, mais il y avait toujours une réticence, et une gêne, qui la faisait hésiter.
« Continuez. »
Monique regarda Emily, pendant un instant elles échangèrent des regards, puis Monique me regarda et commença à frotter son clitoris. J’ai attrapé le gode à double extrémité et l’ai tenu pour que les filles puissent le voir.
« Vous allez nettoyer ce sol tous les deux, c’est dégoûtant. »
Emily haletait, son visage était rouge de honte, mais son index continuait à plonger de plus en plus profondément dans sa chatte. Les mamelons de Monique étaient déjà durs et elle avait une expression de besoin dans les yeux. J’ai attrapé les cheveux d’Emily et l’ai tirée vers moi, elle a laissé échapper un gémissement de déception alors que je retirais sa main de sa chatte.
« À quatre pattes salope ! » LIRE LA SUITE