Début d’une nouvelle vie

mardi 4 juillet 2017
par  FRANKIE
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Ce récit est la suite du récit « Début d’une nouvelle vie » publié par Maître Jean

Deux Jours après, je reçus un appel téléphonique de la secrétaire de l’agence de déménagement : elle me demandait de la part de madame Tr, PDG de l’agence, de venir le lendemain, à 10 h précises, signer le devis en prévoyant de verser un acompte.
Au jour et à l’heure dite, je me présentais à la secrétaire ; celle-ci, par interphone, appela ; ce fut Madame Tr qui répondit et à sa voix, je reconnus que c’était elle, la PDG, qui s’était présentée à mon domicile pour faire le devis ! « Qu’y-a-t-il belle secrétaire, dit-elle d’une voie enjouée ? »
« Madame, Je m’excuse de vous déranger, mais vous m’aviez dit de vous prévenir quand Madame Hélène R arriverait pour signer le devis de son déménagement ! »
« Ah, elle est déjà là mon esclave ; ah c’est vrai, c’est déjà 10 h ! Dis-moi, elle m’entend ? »
« Oui Madame ! »
« Tu lui ordonnes de se mettre à poil, puis les mains sur la tête, et d’attendre que je sois prête pour la recevoir ! »
« Se mettre à poil devant moi Madame, et si d’autres clients arrivent avant que vous la receviez ! »
« Dites-moi, ma petite Julie, vous n’avez jamais vu une femme à poil ? »
« Non madame, ce serait la première fois ! »
« Oui c’est vrai que vous êtes jeune ; quoiqu’il en soit, transmettez-lui les ordres que je vous ai donnés, et qu’elle vous montre ses beaux atours en attendant que je la reçoive ; Allez obéissez ; laissez votre main sur l’interphone, je veux vous entendre donner les ordres ! »
Aussitôt, « Madame Hélène Tr, je vous ordonne de vous mettre de suite complétement à poil ! »
Je m’exécutais immédiatement.
« Maintenant, placez-vous contre le mur en face de moi, et mettez vos mains sur la tête. Bon, maintenant ne bougez plus, et laissez-moi vous regarder ; c’est vrai que vous êtes belle ; Madame a de la chance d’avoir une esclave si belle ! »
La secrétaire s’était prise au jeu ; Madame reprit la parole : « Alors ma petite Julie, on *papote* avec mon esclave ; dans mon bureau qui est près du vôtre, prenez le collier et la laisse qui y sont et mettez-les au cou de mon esclave, et en la tirant avec la laisse vous l’amenez jusqu’à moi ! »
« Bien Madame, je vous obéis tout de suite. »
Donc Julie me mit le début de mon attirail d’esclavage puis m’emmena jusqu’au bureau de Madame la PDG. En arrivant auprès d’elle, sous les yeux ébahis de Julie, je me mettais à plat ventre et je commençais à embrasser les pieds de Madame, puis je la déchaussais, enlevais ses socquettes et lui léchais les pieds. Madame, toute surprise aussi, me dit : « On dirait que tu as déjà été une esclave et que tu connais tous les rituels de l’esclavage. C’est exact ? »
Je levais le doigt comme à l’école.
Madame dit : « tu veux parler ? Parle ! » « Maitresse, avec tout le respect que je vous dois, je dois avouer que je n’ai jamais été esclave, mais je suis allé souvent sur des sites BDSM ; et j’ai souvent fantasmé sur le désir d’être esclave ; et j’en ai eu l’autre jour un avant-goût d’abord avec le représentant de l’agence immobilière qui a eu une attitude et des gestes de Maitre vis-à-vis de moi. Puis le lendemain avec vous, et j’en garde un souvenir heureux, très heureux même. L’autre jour, le représentant de l’agence m’a traité comme une esclave et m’a demandé de l’appeler « Maitre » quand je lui ais dis que je désirais faire des travaux dans la grange pour la rendre agréable et accueillir des soirées SM ; donc comme c’est lui qui prends en charge financièrement les travaux, il voudra certainement organiser ces soirées à ma place ; et je pense qu’il verra d’un bon œil si vous m’y envoyez en tant qu’esclave, et, pourquoi pas, accompagnée par Julie qui a l’air de découvrir ce qu’est le SM et y prendre goût. »
« Et bien tu me donnes des idées, esclave ; on en reparlera ; maintenant relèves-toi (J’étais resté tout le temps de cette discussion à plat-ventre) et avance-toi pour signer le devis. » Ce que je fis et lui donnais en même temps le chèque d’acompte.
Puis « Julie apporte les vêtements de mon esclave ! » Julie s’exécuta et Madame constata avec bonheur, que j’avais commencée à me mettre dans la peau d’une esclave puisque je n’avais ni soutien-gorge, ni culotte. « Julie, habilles mon esclave ; tu lui mets d’abord sa jupe puis son chemisier ; Tu lui laisses le collier et la laisse que tu lui as posés il y a quelques instants , mais tu les lui passes sous le chemisier, pour qu’elle puisse retourner chez elle, en ayant discrètement sur elle ce qui est le début des objets symboliques de l’esclave ; mais demain , quand j’irais lui présenter les déménageurs, je lui apporterais une chaine en acier un peu plus grosse, qui traine par terre, qu’elle gardera jour et nuit quand elle sera chez elle, et cette chaine je te demande d’aller l’acheter d’ici là dans un sex-shop ; cela te fera voir un peu plus l’univers du SM.
Donc esclave, demain, prends un jour de congé et attends-nous à partir de 8 h ; je viendrais te présenter les déménageurs. Dès 7 h 45 tu te mettras en face de la porte d’entrée, après l’avoir ouverte en grand, en position d’offrande, les mains sur les cuisses, manière pour toi de me dire en silence : « Maitresse, prenez possession de ma maison ; maintenant, elle est à vous ! Julie venez voir ; Emmenez mon esclave, tenue en laisse, dans votre bureau, vous lui ordonnez de se mettre à genoux dos au mur de votre bureau, et de mettre les mains sur la tête ; elle restera ainsi tant que je ne vous aurais pas dit de lui ordonner de rentrer chez elle ; Allez, je vous écoute pour voir si vous savez donner des ordres. »
Julie, toute contente de la responsabilité qui lui était donnée par rapport à moi, qui avait environ 20 ans de plus qu’elle, me houspilla avec force : » Allez esclave, tu as entendu ; ne reste pas là à flemmarder ; suis-moi ; auparavant je vais demander à ta maitresse si elle n’a pas une cravache pour te faire avancer plus vite »
Ayant obtenu sans difficulté une cravache, elle m’en assena plusieurs coups avant de m’entrainer tenue en laisse, jusqu’à son bureau ; là elle m’ordonna de me mettre à genoux dos au mur, les mains sur la tête. Maitresse lui adressa ses compliments.
Et c’est ainsi que je restais à genoux pendant une heure, mains sur la tête, face au bureau de Julie.
Celle-ci, bien entendu, n’arrêta pas de se moquer de moi, même devant des clients de passage ; mais pour moi c’était presque une jouissance intérieure d’être traitée comme « une moins que rien » par une gamine, d’autant que Madame avait l’air d’être contente de découvrir que Julie avait des talents de dominatrice !
Au bout d’une heure, Madame intima à sa secrétaire de m’ordonner de rentrer chez moi ; ce à quoi cette dernière s’empressa de le faire en m’accompagnant jusqu’à la porte avec des moqueries, et en me disant qu’elle espérait me revoir bientôt !
Le lendemain matin, je me levais de bonne heure pour accueillir ma Maitresse et les déménageurs à l’heure.
Je pris soin de me préparer de façon à lui faire honneur dès le 1° jour, c’est-à-dire que j’étais prête pour être son esclave obéissante : douche soignée, épilation sous les aisselles, sur le pubis, sans oublier aussi l’anus ; faire briller le collier, ainsi que la plaque où étais déjà son n° de téléphone, avec une place pour mon surnom à venir ; nettoyer au savon la laisse et vérifier que collier et laisse étaient bien visibles dans l’attente de la chaine comme complément ; les cheveux coupés courts, mais me faisant une chevelure correcte pour mon travail en entreprise, surtout vu mon statut de Directrice des relations humaines.
Et à 7h 45, comme exigée de ma Maitresse, j’ouvrais en grand la porte, de façon à être vue de la rue, m’installais à genoux face à celle-ci, bien droite, les mains sur les cuisses, en position d’offrande.
A 8 h précises, une voiture de luxe, conduite par un déménageur, s’arrête devant la porte ; ce dernier ouvre de suite la porte du passager arrière et en descend Maitresse, PDG de cette entreprise ; celle-ci a eu le temps de voir que j’avais respecté ses consignes.
Tout en s’approchant, elle dit au déménageur : « Tonio, vas me chercher le fauteuil qui est à l’arrière du camion. »
En effet ce dernier venait de se garer derrière la voiture, et trois autres déménageurs en descendaient ; les 4 hommes étaient reconnaissables comme déménageurs car ils portaient tous les 4 des tee-shirts avec le logo de l’entreprise, et 3 d’entre eux avaient le gabarit adéquat pour un travail de force.
Ma Maitresse s’avança vers l’intérieur de la maison, et lorsque Tonio eut déposé le fauteuil devant elle, elle s’assit sans rien dire ; je ne bougeais absolument pas, les yeux baissés comme toute esclave, attendant les ordres à venir ; lesquels ne tardèrent pas :
« Esclave, à quatre pattes jusqu’à moi, puis allégeance à ta manière ! ».
Sans tarder, je venais à quatre pattes jusque vers elle, puis je lui embrassai ses chaussures, les lui enlevai ainsi que ses socquettes, et je lui léchai alors les pieds de long en large, prenant soin de prendre dans ma bouche chacun des doigts de pied comme si c’était une petite « bite », et faisant un va et vient comme une fellation (geste et expression que j’avais découvert dans un récit de « rêves de femmes ») ; et je faisais ce léchage en éprouvant une grande jouissance ; et cela aurait pu continuer longtemps ; mais je n’oubliais pas que j’avais reçu de ma Maitresse l’ordre de faire allégeance à ma manière, ce qui veut dire qu’en plus du léchage des pieds je dois lui exprimer ma soumission ; me relevant un peu, je levais le doigt pour demander l’autorisation de parler ;
Maitresse m’apostropha : « que veux-tu ? »
« Maitresse adorée, me donnez-vous l’autorisation de vous parler ? »
« Oui, dépêches-toi de faire allégeance ! »
« Maitresse, c’est un grand honneur pour moi de vous accueillir dans votre maison, où vous acceptez que j’y reste comme votre esclave, le temps que vous le désirerez. Aussi, je vous fais don de mon corps tout entier, de mon esprit, de mon âme ; tout mon corps et ma personnalité est à vous ; je suis « une moins que rien » et vous pouvez disposer de moi comme vous l’entendez ; j’ai eu hier un éventail de vos punitions ; et donc je suis prête à accepter toutes celles que vous m’infligerez sans me rebeller ; oui Maitresse adorée, je m’engage à vous obéir intégralement ; je reconnais n’avoir aucun droit à la parole, et avoir l’obligation de demander toute autorisation non seulement pour parler, mais aussi pour agir dans les moindres détails de ma vie. Seule m’est réservée ma liberté de décision et d’action quand je suis en entreprise, vu mon statut de cadre ; cependant, chaque soir, je devrais vous rendre compte ; et si une décision ou une action de la journée ne vous plait pas, j’aurais à supporter toute punition appropriée ! Je m’en remets totalement à vous pour la gestion de cette maison et de son annexe, ainsi que de tous mes biens immobiliers ou mobiliers, le temps que vous voudrez bien me garder. Maitresse adorée, apprenez-moi à vous aimer et à vous obéir ; et que de cette façon l’éducation que vous me donnerez me conduise à vivre sereinement mon statut d’esclave, à y trouver mon bonheur en votre présence, et ainsi à vivre en animal de compagnie agréable, comme une petite chienne faisant honneur à sa Maitresse par son comportement. »
Dès que j’eus fini de parler, je me remettais à plat ventre et recommençais le léchage des pieds ; je ne m’attendais pas à des compliments, et je n’en ai pas eu.
Aussitôt mon allégeance terminée, Maitresse m’ordonna :
« Mets-toi à genoux ; Tonio apportes-moi la chaine qui convient à une esclave. »
Quand Tonio eut apporté ce qui est le symbole typique de l’esclavage, Maitresse la prit de des mains, et me la passa autour du cou, chaine qui descendait très bas, jusqu’aux pieds, et en plus sa longueur était telle qu’elle fut très adaptée pour m’attacher pendant la nuit, comme je le découvris plus tard ! Puis, « Relève-toi, tournes-toi et va te remettre à la place où tu étais quand je suis arrivée. » Ensuite, s’adressant à Tonio : « Vas chercher, s’il te plait, le fouet que j’ai laissé sur mon siège dans la voiture, que je puisse corriger cette « moins que rien ». LIRE LA SUITE




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Commentaires

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mercredi 19 juillet 2017 à 08h21 - par  maitre jean

merci d’avoir continuer mon histoire
tres belle continuation de l’histoire qui donne envie de la réaliser
j’attend avec impatience la suite
maitre jean