Première(s) expérience(s) -3-

3
vendredi 2 février 2007
par  asmodee
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Je dormis comme une masse cette nuit-là, trop d’émotions sans doute. Au matin je me réveillais en me demandant ce que je pouvais bien avoir dans le cul qui me dérangeait, les souvenirs revinrent vitesse grand V. Je me précipitais aux toilettes pour enlever ce plug, la sortie fut égale à l’entrée, légèrement douloureuse. Ouf, et dire que j’allais le porter tous les jours pendant une heure… enfin ça on verrait ! je constatais également que mes fesses étaient bien marquées, par contre les orties n’avaient pas laissé leur empreinte sur mes seins. Une bonne douche plus tard, mes idées étaient en place. J’avais passé une soirée étonnante, excitante et je devais bien admettre que j’avais joui comme jamais. Bon et maintenant que faire de cette relation naissante ? Si je faisais une analyse complète, je devais avouer que tout me plaisait dans cette histoire, la gentillesse de Paul et la sévérité de Monsieur. Je pensais encore aux coups de martinet qui m’avaient fait jouir et je sentis ma chatte devenir brûlante. J’avais très envie de me caresser. Je me rendis donc dans ma chambre en prenant au passage des pinces à linge. J’avais lu que les Dominants se servaient souvent de pinces qu’ils accrochaient sur les seins de leur soumise. Je voulais essayer avant que Monsieur ne se décide à le faire lui-même, je ne savais pas si je supporterais cette douleur. Couchée sur mon lit, je fixais les pinces sur mes mamelons… c’était juste la sensation que je cherchais, je me mis à me caresser la chatte appréciant de ne plus y trouver de poils, mes doigts pénétrèrent ma vulve trempée et repensant à mon plaisir d’hier, j’atteignis l’orgasme rapidement.
Je passais comme d’habitude un pull très large et un pantalon confortable, et je me rendis devant mon ordinateur pour rendre compte à Monsieur des sensations éprouvées dans son donjon. Toute cette semaine-là, nous avons ainsi correspondu par mail. Nous avons aussi chatté. Le ton était léger, tous les soirs au moment de nos discussions, j’introduisais le plug dans mon anus, le premier jour, ce fut encore un peu douloureux, mais petit à petit, j’appréciais ce moment. J’avais acheté une webcam et les deux derniers soirs de la semaine, j’avais mis l’engin devant la caméra et bien évidemment sous l’œil intéressé de Monsieur. Il avait ainsi pu constater que mes fesses ne portaient plus de marques et m’avait promis de m’en refaire prochainement. Il me convoqua donc chez lui pour le vendredi soir, nous devions passer cette nuit-là et une partie du samedi ensemble. Je me rendis cet après-midi-là dans un sex-shop et achetait une guêpière en dentelle noire. J’avais une poitrine opulente et je n’aimais pas sortir sans soutien-gorge, la guêpière me serrait bien et soutenait mes seins en laissant libre l’aréole, elle s’attachait sur le devant ce qui me permettait de la mettre seule. Je pris aussi une paire de bas auto fixant bordés de dentelle noire. Rentrée à la maison, après un bon bain, je mis une jupe ample par-dessus cet ensemble et une blouse légèrement transparente, je chaussais des escarpins vernis à haut talon et je me maquillais et me parfumais. Je me sentais bien, fière de moi, sûre de mes choix. Avant de partir, je glissais dans mon sac le plug (en me demandant si je n’aurais pas dû le mettre), j’attachais mon collier et enlevais tout autre bijou. Dans la voiture, je réfléchissais et me demandais ce que Monsieur me ferait subir cette nuit, d’avance j’en frémissais et je savais déjà que ce n’était pas de peur… ou presque pas.
Il m’attendait à la porte de la maison et je pensais qu’il ne fallait pas que je lève les yeux, mais j’avais tellement envie de le regarder, de le dévorer, de me fondre dans son regard. J’ai juste glissé un œil et il s’en est aperçu, évidemment.
– Attention tu joues avec le feu !
– Oui Monsieur, je sais, mais j’avais envie de voir votre sourire.
– Au risque d’être punie ?
– Oui Monsieur.
Il me prit dans ses bras, releva mon visage et m’embrassa comme un amant embrasse la femme qu’il aime après une semaine de séparation. C’était bon, j’étais bien. Nous sommes entrés dans le salon, les bougies étaient déjà allumées et le champagne prêt. Il m’en offrit une flûte et gardant les yeux baissés, je dégustais lentement le breuvage, pour me donner du courage. Je savais que cette fois dans le donjon, je n’aurais plus le choix. C’était un peu effrayant, mais aussi très excitant, j’avais confiance en Monsieur, je savais que je pouvais tout arrêter d’un mot et en cela, je gardais le contrôle de la situation. Il m’expliqua le déroulement de la soirée, tout d’abord, nous allions manger, il avait commandé des plats tout prêts chez un traiteur, nous descendrions au donjon. Je pourrais ensuite dormir dans la maison, avec lui si tel était mon désir ou seule si je préférais.
– Cela te convient-il
– Oui Monsieur.
– Bien, déshabille-toi, je veux admirer cette splendide guêpière LIRE LA SUITE



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