Rachel

vendredi 13 décembre 2019
par  Henic
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1. Rachel veut montrer son amour

Il a tout ce que n’importe quelle fille peut souhaiter. Séduisant, riche, et un grand amant. Je pouvais à peine croire qu’il pût me vouloir alors qu’il peut avoir n’importe qui. Je ne me sentais pas vraiment en sécurité parce que les femmes que je pensais être plus jolies que moi bavaient en le voyant. Bien qu’il me dît que j’étais jolie et qu’il n’avait jamais vu personne avec une meilleure silhouette, je ne le croyais pas vraiment. J’ai un joli corps, avec ma poitrine 95 D, ma taille de 55 centimètres et mes petites fesses de 85, mais il y a beaucoup de filles comme moi et on a toujours l’impression d’être à la plage ou en réception avec de superbes femmes, puisqu’il est agent de mannequins. Il disait que ça détruisait les femmes je pensais qu’il ne me trouvait pas assez bien.
Je me suis trouvée en sécurité d’une façon curieuse. Lors d’une réception, je suis tombée sur un homme que j’avais connu au lycée. C’était tout à fait innocent mais lorsqu’Ed nous a vus, il a vraiment été contrarié. Je laissai l’homme pour le retrouver et je fus choquée lorsqu’il me dit qu’il allait me ramener chez moi parce qu’il s’était trompé sur mon compte. Il me dit qu’il m’aimait parce qu’il pensait que j’étais loyale, alors qu’il m’a vue m’accrocher au premier bel homme que je voyais. Pendant tout le trajet vers la maison, j’ai présenté mes excuses et tenté de m’expliquer mais il n’a pas paru convaincu. Après m’avoir raccompagné à ma porte, alors qu’il faisait demi-tour pour s’en aller, je l’ai saisi par le bras et, désespérée, je l’ai supplié :
« S’il te plaît, ne m’en veux pas. Si tu penses que j’ai fait quelque chose de mal, punis-moi, mais ne reste pas fâché. »
Cela retient son attention et il répond :
« Comment est-ce que je devrais te punir ?
— Mon père me corrigeait avec sa ceinture lorsque j’étais vilaine. Ça fait très mal et je me conduirai bien pendant longtemps…
— Ça semble puéril.
— Oui, tu as raison. Je suis maintenant adulte et je devrais être fouettée, mais nous n’avons pas de fouet. Tu peux utiliser ta ceinture ce soir et demain, nous nous procurerons un fouet.
— Je ne crois pas que le fouet ne soit utilisé que sur le derrière. Cela serait une fessée, pas une flagellation.
— Tu as raison. Tu pourras me frapper où tu voudras sous réserve que cela soit dissimulé par mes vêtements.
— Comme tu aimes les robes dos-nu et les jupes courtes, cela limite les zones à ton postérieur, le haut de tes cuisses et ton devant. »
Cela s’annonce particulièrement douloureux et je suis un peu effrayée mais je ne peux plus reculer.
« Oui. Je veux que tu frappes tous ces endroits, pour te prouver à quel point je suis désolée de t’avoir fâché.
— Ça le prouvera, mais je pense que tu changeras d’avis. Si tu cries ou que tu me demandes d’arrêter, je saurai que ce ne sont que des mots.
— Non, je suis sérieuse en disant cela. Je veux que tu me frappes partout. Frappe mon derrière, mes cuisses, mon ventre, l’intérieur de mes cuisses, et même mes seins et mon entrejambe si tu veux. Si tout n’est pas rougi, tu pourras continuer jusqu’à ce que cela le soit partout. »
Ça l’a visiblement excité et il me dit de me déshabiller. Lorsque je suis nue, ça paraît étrange. Nous nous sommes toujours déshabillés tous les deux dans la pénombre et je me sens vraiment nue à présent, dans la lumière vive de mon salon, avec lui tout habillé. Je suis tout particulièrement nue parce qu’il s’était plein d’avoir des poils dans la bouche lorsqu’il descendait sur moi, aussi me suis-je complètement rasé la chatte.
Je suis là, nerveuse mais déterminée à recevoir bravement ma punition, pendant qu’il retire sa veste et sa cravate, puis dégage sa ceinture de son pantalon. Je lui demande si je dois me pencher sur le divan ou ailleurs, mais il répond :
« Non. Je veux que tu restes là, avec les mains sur la tête. Je veux que tu puisses facilement t’échapper si tu n’es pas vraiment motivée pour prouver que tu es désolée. »
Je me souviens tout à coup que la seule manière qui me permettait de recevoir les fessées de mon père était de m’agripper aux bras du fauteuil sur lequel il me faisait me pencher. Je commence à me demander si je serai aussi courageuse que cela va être nécessaire…
Lorsque mes mains sont sur ma tête, il se place à côté de moi et j’entends un « swiiich », puis un « claac ! » et en même temps, une piqûre et une brûlure traversent mes fesses. Ça fait un peu mal mais je suis soulagée que la ceinture légère ne soit pas aussi méchante que les claques de mon père et je me prépare pour le reste. Les coups me travaillent lentement le cul en y laissant une traînée de feu, puis il s’attaque à mes cuisses. Je n’ai encore jamais été frappée là et ça fait plus mal, des larmes me montent aux yeux mais je parviens à rester forte.
C’est fini et il me dit de me retourner. Je l’aime encore plus lorsqu’il me demande :
« Tu veux continuer ? Tu pleures. Si tu veux arrêter, je comprendrai. »
Cela me rend plus déterminée encore à lui prouver que je peux souffrir pour lui et je réponds :
« Continue. Je veux te prouver que je suis vraiment désolée. »
Il me dit de contracter mes abdominaux puis porte un coup juste au-dessus de ma chatte. Ça fait mal mais, de manière surprenante, pas autant que sur mes cuisses ; cependant, il monte petit à petit vers ma poitrine et je sais que va me faire très mal.
Et c’est vrai ! Lorsque sa ceinture s’enfonce dans mes seins, je dois baisser les mains pour les caresser et les réconforter, mais lorsqu’il commence à baisser sa ceinture, je retrouve ma détermination et remets mes mains sur ma tête en gémissant :
« Je suis prête à présent. »
Il semble surpris mais il continue alors à aplatir mes seins qui ressortent ensuite, à chaque coup. Le dernier tombe exactement sur mes tétons et me fait hoqueter de douleur.
Il me dit d’écarter les jambes. Je gémis en réalisant que l’intérieur de mes cuisses va sans doute être plus sensible, mais je parviens à les ouvrir lentement jusqu’à ce qu’il me dise que c’est assez.
Le premier coup à l’intérieur de ma cuisse, juste en-dessous de ma chatte, me coupe la respiration. Il doit s’être rendu compte que c’était le plus douloureux jusque-là, parce qu’il arrête et laisse pendre la ceinture en regardant mes seins trembler sous mes sanglots, mais la piqûre crée l’excitation. J’écarte un peu plus les jambes pour lui signaler que je peux en recevoir encore. Il se place devant moi pour frapper l’intérieur de ma cuisse en coup droit et en revers, en s’approchant si près de ma chatte que la ceinture en frôle les lèvres. Je commence à pousser de petits cris aigus mais c’est maintenant dû à l’excitation, pas à la douleur. Il s’arrête en disant :
« Je suppose que tu as appris ta leçon. »
Je crois que nous sommes tous les deux ahuris lorsque je dis en pleurant :
« Non, mon entrejambe est encore tout blanc ! »
Il se met à faire tomber sa ceinture sur ma chatte et, à ma grande surprise, cela multiplie mon excitation par dix ! Lorsqu’il lance le dernier coup depuis le sol pour l’asséner dans ma fente, je jouis !
Il arrache ses vêtements, me place sur le tapis pour me baiser, il se met sur moi, puis il me retourne pour m’enculer. J’enchaîne les orgasmes l’un après l’autre et lorsqu’il jouit pour la première fois, il ne s’arrête pas comme il l’avait toujours fait. Je ne l’ai jamais vu aussi excité.
Après avoir récupéré, il me porte sur mon lit pour m’étreindre et m’embrasser, et me dire qu’il m’aime et que j’ai été fantastique. Il étudie attentivement mon corps rougi et déclare :
« Mon dieu ! Je t’ai vraiment fait rougir. Est-ce que tu souffres beaucoup ?
— Non, la douleur aigüe est partie, j’ai juste chaud. Comme un coup de soleil. Ce ne fut pas aussi dur que les fessées de Papa. Regarde. Il n’y a pas de zébrures, c’est seulement rouge. Tu as vraiment aimé me fouetter, n’est-ce pas ? Je ne t’ai jamais vu si excité.
— Je me sens mal à l’idée de te faire mal. C’est le fait que tu m’aimes suffisamment pour t’y soumettre qui était si terriblement excitant. Tout homme rêve d’avoir une esclave de l’amour et tu as accompli ce rêve. Je t’aime si fort ! Je ne pensais pas que je pourrais un jour trouver quelqu’un comme toi ! »
Je me sens soudain en sécurité ! Il pense que je suis son esclave mais il est aussi le mien. Je suis aussi sûr que lui que ces mannequins prétentieux ne pourraient pas prouver leur amour en acceptant que leurs précieux corps souffrissent.
Je lui dis que je l’aime tant que je n’aurais jamais dû parler à un autre homme et que j’ai mérité la douleur qu’il m’a infligée.
Il se met à embrasser et à lécher mes seins et mon ventre rouges qui étaient déjà en train de se décolorer vers un beau rose sain, et finit en embrassant ma chatte à la française puis en léchant mon clitoris. Auparavant, il m’a déjà un petit peu léché, mais lorsque je prends sa tête entre mes mains pour le maintenir là, il ne proteste pas et je me sens alors la maîtresse. Il me lèche jusqu’à ce que j’aie un gros orgasme, puis il se glisse pour planter sa bite toute dure en moi en entretenir ma jouissance. C’est merveilleux, et la douleur que j’ai endurée semble un prix bien bas à payer pour l’amour et l’excitation que je ressens.
Nous nous couchons en nous enlaçant. LIRE LA SUITE

Table des matières
1. Rachel veut montrer son amour 3
2. L’histoire de Tammy 6
3. Modification du garage 9
4. Le fouet à grosses lanières 12
5. Retour sur l’action 15
6. La boutique spécialisée 19
7. La découverte des fouets 19
8. Apprentissage de l’obéissance 22
9. Souvenir du collège 25
10. La réception 27
11. Un bref souvenir d’enfance 31
12. Changements 32
13. L’installation de la croix 35
14. Des clients spéciaux 40
15. Une seconde réception 43
16. Une soirée très spéciale 44
FIN 49


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Commentaires

Logo de Sylvain de Perry
vendredi 13 décembre 2019 à 15h25 - par  Sylvain de Perry

Henic nous livre ici un récit BDSM familial. Son excellente traduction rend parfaitement les ton et style enfantins de la narratrice. Plus on avance dans la lecture, plus le style devient « adulte ». Un brillant exercice de style de l’auteur non trahi par la traduction. Sylvain.