Pasiphaé
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Cynthia se trouve enchaînée par les chevilles dans le labyrinthe du passage sous l’arène, vêtue d’une mince et courte tunique de soie verte. Les gardiennes, deux jolies lesbiennes crétoises, l’entourent en proie au désir le plus vif. Elles défont rapidement les agrafes, laissant le vêtement glisser sur le sable. Maintenant la voici nue, la main plus audacieuse d’une des filles cherche ses fesses, pour les presser et les malaxer. La jeune fille brune à la longue chevelure d’ébène défaite sur des épaules graciles regarde dans le vague. Elle ne semble pas se préoccuper des attouchements que subit sa jolie chatte débarrassée de toute toison pubienne peut-être parce qu’ainsi elle est distraite des peurs qui surgissent par bouffées dans son âme de jeune pute à l’évocation de sa prochaine épreuve. Doucement, mais fermement les jeunes filles tirent Cynthia, la condamnée, le long d’un claustra vers une cage dorée, constitué d’un arrangement curieux de barres modulables en tous sens. La cage est conçue pour accueillir un corps placé en croix, en X, elle se relève vers le haut par un ingénieux système de poulies mues depuis le sous-sol du Colisée. Du sous-sol la cage émerge dans l’arène devant l’assistance parcourue d’une rumeur sensuelle comme une brise d’été. Cynthia tremble de crainte — elle s’en remet à sa destinée — tandis que lentement tractée elle gagne le pinacle pour être vue de tous. Quand Cynthia entre dans la lumière accablante de l’arène, la clameur assourdissante de la foule enfle comme une tempête. Des tribunes les plus proches, Cynthia perçoit les commentaires. « Voyez-la, face au ciel prête pour le rôle de sa vie cette pute splendide ! » « Il est temps qu’elle s’enfile de la bite comme aucune autre fille depuis Pasiphaé ! » « Le taureau va la sonder jusqu’à la gorge et lui remplir le ventre la gourmande ! » « Oh je n’en peux plus je mouille tellement, qu’elle baise la salope ! » - et une voix de femelle aiguë et passionnée ajoute : « Oh comme j’aimerais être à sa place ne serait-ce qu’un instant ! » « Qu’elle crève emplie de foutre cette belle putain ! » La cage avait été astucieusement conçue pour montrer outre le buste, le compas largement ouvert des longues jambes écartées, les grandes lèvres et l’anus roses bien mis en évidence — le soleil donnant violemment sur cette tendre chair intime. La belle allongée sur une sorte de poutre, à plat ventre, bras liés dans le dos, les seins pesant doucement vers le bas, le menton relevé par un coussin, la croupe enfin cambrée à dessein pour que tous les détails lubriques de sa féminité soient lisibles, offre un spectacle irrésistible. L’architecture si bien pensée du Colisée permet à quiconque même situé très loin de percevoir le plus infime détail et d’entendre le moindre soupir. Au premier instant Cynthia se sent humiliée d’être ainsi exposée à la vue de la foule, mais une autre pensée la fait mouiller : des milliers de regards se délectent de la vision de sa fente humide, femmes lesbiennes enlacées se caressant mutuellement et hommes bandant comme des ânes. Invisible pour la victime, parce que hors de son champ de vision, le taureau, magnifique animal blanc, large de torse, beugle son désir, le membre en demi-arc agité de légers tressautements et déjà presque en position, balancé dans son harnais à l’aide d’un treuil juste au-dessus et derrière la cage. Un mélange d’odeur de vulve de vache et de fille lui est passé sous les naseaux par une des jolies Crétoises à présent entièrement nues.
Cynthia a d’abord senti le souffle chaud des naseaux entre ses cuisses. Le jeune machiniste conduit l’engin de levage au moyen d’une roue démultipliée qui permet des mouvements très précis. Il abaisse le taureau jusqu’à ce que le bout effilé de l’énorme membre s’ajuste exactement contre la fourche de Cynthia. Lentement son vit croît : commence la présentation. Le taureau est hissé vers le haut et la foule découvre l’impérieux membre demi-raide qui à présent s’adapte doucement à l’orifice humide de Cynthia. Il s’est redressé, a grossi et Cynthia commence à gémir, la mouille commence à couler à oindre l’intérieur de ses cuisses. Le taureau est de nouveau tiré vers le haut et la foule stupéfaite observe combien le vit de l’animal a grossi dès la première immersion dans la douce humeur de la chatte. Le vit s’est allongé de deux pieds ou plus, sans effort, il atteint à présent les lèvres intimes de la belle victime entrouverte sans que l’on ait besoin de l’approcher au moyen de la machinerie. La chair à la teinte rouge brique, tendue de désir, pénètre plus avant de quelques pouces dans le conduit de Cynthia. La fille continue de produire de la mouille entre ses cuisses pour mieux accueillir l’envahisseur. Elle donne à présent du cul vers l’arrière comme pour se solidariser du vit monstrueux. Son corps tremble pour ce premier assaut. En donnant un léger mouvement à la roue, les machinistes du treuil ont la possibilité de laisser tomber et de relever le taureau de quelques pouces pour produire un mouvement rythmique. Cela dure de longs instants de délire pour la fille ouverte et pour le public en rut. Cynthia gémit de plaisir et de douleur. On retire de nouveau l’animal et Cynthia repose les yeux mi-clos, épuisée par les poussées du taureau. Une des acrobates du Colisée, Liviana une splendide fille de 19 ans, est entrée dans l’arène, ses jolis petits seins nus, portant autour des reins une courte jupe en soie transparente.
Elle présente à la foule deux objets destinés à jouer un rôle dans la mise en scène. Une longue ferulae ou tige de mesure et un plateau rond avec un objet métallique en forme de demi-sphère.
Liviana s’agenouille sous le taureau et fait courir ses dents sur toute la longueur de la bite très raide, mordant doucement, avant de coller l’extrémité du gland contre ses seins et de s’en frotter les tétons puis le pubis glabre. Liviana s’est approchée de la fente de la belle Cynthia et entreprend de la lécher en détail. Le grand phallus rouge brique, presque brillant lui inspire de la convoitise, mais aussi de la crainte. Il pulse doucement sur son épaule contre sa joue tandis qu’elle goûte le con de la victime. Le taureau et sa femelle sont à présent au maximum d’excitation. C’est alors que les deux Crétoises libèrent Cynthia et Liviana prenant la ferulae la place contre la « tige » de l’animal — et annonce une longueur de presque 3 pieds. Cynthia est amenée par les Crétoises auprès de Liviana, qui avec un sourire place une extrémité de la tige à côté des lèvres gonflées de la chatte de Cynthia. L’autre extrémité atteint le haut des seins et la foule réalise tout de suite la signification terrible de cette démonstration lubrique.
Liviana dévore la bouche de Cynthia, lui caresse la chatte, puis, à genoux, les deux filles pompent tour à tour l’amant de Cynthia. Après cet épisode les Crétoises reconduisent Cynthia à sa place tandis que Liviana se masturbe doucement. Cynthia est à présent solidement enchaînée sur la plate-forme, le corps étroitement ligoté. De nouveau le pénis du taureau se présente à l’entrée palpitante, mais à quelques pouces de la chair il est arrêté par le geste précis du machiniste. Liviana prend sur le plateau, l’objet demi-sphérique qui brille au soleil. Personne dans la foule n’a encore compris l’usage de cet ustensile que brandit Liviana. C’est un cylindre argenté de taille moyenne et creux, une reproduction assez réaliste du gland d’un taureau. À la place de la fente urinaire et séminale, l’artisan a forgé une pointe argentée menaçante et cruelle. L’objet aurait pu paraître habilement façonné si l’on avait pu oublier sa sinistre destination. Liviana porte cet objet singulier à sa bouche, collant sa langue sur sa surface, puis se griffe les seins du bout de la pointe jusqu’à faire perler le sang. Cynthia dans l’attente, ressassait sa crainte d’être envahie jusqu’à l’estomac, mais tempérée du désir d’être à la hauteur. Liviana plonge le gode dans un pot de pâte bleuâtre, une décoction de plantes à base de pavot censée réduire la douleur. Le gode facilitera le plaisir du taureau en forant le passage à travers les entrailles de Cynthia, lui rendant la fente de la fille douce comme une vulve de vache. LIRE LA SUITE
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