Le Dressage de la Comtesse -1-
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Anne était mariée depuis peu à Pierre. Ils vivaient tous deux dans la région d’une grande ville de province. Anne, d’une ancienne famille de l’aristocratie locale représentait ce que l’ancienne noblesse française produisait de mieux.
Elle avait une élégance naturelle, polie par des générations de grands propriétaires terriens, anoblis depuis des siècles. Les quartiers de Pierre étaient au moins aussi brillants. Il était maintenant le propriétaire très actif du domaine familial, et leur château était l’un des plus jolis de la région qui en comptait beaucoup.
Anne sans être ni grande ni mince était tout simplement éclatante, féminine dans toute l’acceptation du mot. Elle estimait que quatre ou cinq kilos de moins seraient bienvenus, mais telle qu’elle était, avec une poitrine ronde et haute, des fesses qu’elle estimait bien à leur place, mais regrettait cependant une taille pas suffisamment creusée d’après elle.
Ce soir la, ils avaient raccompagné les derniers invités d’une grande et belle soirée qui clôturait la saison et annonçait le début de l’été. Les femmes en robes longues, les hommes en smoking repartaient, Anne et Pierre s’attardaient un dernier verre en main sur la longue terrasse éclairée de torchères, et savouraient la tiédeur de la nuit.
Anne, avait ses cheveux longs relevés tenus par une baguette de diamants qui était ce soir son seul bijou, Elle portait une robe longue de haute couture. Un décolleté profond montrait largement le creux entre les seins. Elle avait un port de reine.
Elle portait les robes de couturiers avec une désinvolture due à une longue habitude, mais elle en savourait chaque instant.
Pierre lui, savait qu’un deuxième bijou était caché sous cette robe. Un fil d’or perçait le bout des seins d’Anne. Une surprise qu’elle lui avait offerte en cadeau de mariage. Douillette, elle avait du se forcer pour avoir le courage de pousser la porte du studio ou elle s’était fait percer les deux seins. Elle avait choisi un anneau d’or, très fin, mais malgré les assurances du perceur que c’était indolore, ne l’avait absolument pas cru, et avait demandé une anesthésie, puis avait obstinément fermé les yeux.
Maintenant, elle ne le regrettait pas, et adorait que Pierre joue avec ses anneaux.
Ce soir, elle était allongée dans une des chaises longues couverte d’un moelleux matelas sur la terrasse, et bavardait avec Pierre adossé à la balustrade. Il posa son verre et s’approcha. LIRE LA SUITE
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