L’annonce par Dino Dave

Chapitres 6 et 7 (2° partie)
dimanche 20 novembre 2022
par  Henic
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Chapitre 6 – Les œuvres de Samantha

Résumé de la première partie :
Sur un coup de tête, j’avais répondu à l’une de ces annonces de connexion de personnes à la fin du journal et la charmante Samantha en avait été le résultat. Dès notre première rencontre dans le centre commercial ce fatidique samedi après-midi, il est devenu de plus en plus évident que nous étions tous les deux éminemment adaptés l’un à l’autre. Après un week-end de sexe si passionné qu’il me fait tourner la tête à chaque fois que j’y pense, nous avons découvert que nous avions plus en commun qu’on n’aurait jamais pu l’espérer. Au cours de cette première semaine, après avoir présenté Sam à certains de mes anciens amis dans une boîte de nuit, je me suis juré que je ferai de mon mieux pour que cette fille soit mienne.
Le week-end suivant a marqué un tournant dans notre relation. J’ai donné à cette jolie fille aux longs cheveux bruns ce qu’elle cherchait, comme elle me l’a dit au téléphone par la suite, depuis vingt-trois ans. Je l’avais attachée à la lourde table basse de ma salle de jeux au sous-sol, et je lui avais caressé le dos et les fesses avec le fouet encore et encore jusqu’à ce qu’elle explosât dans une démonstration des plus érotiques de désir refoulé. Après que ce fut fini, nous avons fait l’amour d’une manière très tendre et très douce dans mon lit, et c’est alors que j’ai su qu’elle était à moi.

*

* *


Je la rappelle le lundi soir et nous bavardons jusque tard dans la nuit. Sam me dit, après cette première flagellation, qu’elle pensait qu’elle aurait pu en recevoir plus, qu’elle aimerait essayer plus fort. J’y étais allé un peu doucement avec elle, c’était sa première vraie fois sous le fouet. Elle dit qu’elle avait eu peur au début, peur de l’inconnu, mais elle me dit que j’ai été ferme avec elle, que j’avais pris les devants à ce moment-là, et qu’elle s’était sentie capable de se donner à moi, en me faisant confiance de ne lui faire aucun mal.
Je lui demande comment est sa chatte. Quand je l’ai déposée chez elle dimanche dernier après-midi, elle avait mis mon petit cadenas dans ses deux anneaux de lèvres et l’avait fermé à clé, puis m’avait donné les clés.
« Mon Dieu, Jim, dit-elle, chaque fois que je m’assois, ça appuie sur mon clitoris. Si je bouge, ça me frotte, si je porte une culotte, ça appuie à cet endroit-là. Si je pars sans sous-vêtement et que je me promène, le cadenas tourne là-dedans, et tire tant et plus sur moi. J’ai à peine pu le supporter au travail aujourd’hui. Dès que je suis rentrée à la maison, j’ai enlevé tous mes vêtements. Puis je me suis placée devant le miroir, j’ai écarté mes jambes, et j’ai juste regardé. »
Sa voix devient toute douce tandis que ma bite commence à s’exciter.
« J’ai mis ma main là-bas et j’ai touché le cadenas, j’ai tiré un peu dessus. Puis je suis allée à mon lit et je me suis allongée. J’ai sorti mon vibromasseur et j’ai essayé de le mettre, mais le cadenas gêne. J’ai essayé de le pousser au-delà de mes anneaux, mais je ne peux pas. »
Je dois mettre la main à l’intérieur de mon short et déplacer quelque chose. Si c’est du sexe par téléphone, ce n’est pas si mal. J’écoute la douce voix de Sam.
« Le vibromasseur faisait un bruit fort en bourdonnant contre le cadenas. Je ne suis pas arrivée à le faire entrer en moi avec le cadenas ainsi fermé. J’ai appuyé le vibromasseur par le haut pour que mes lèvres le maintiennent contre moi, et le milieu de l’appareil appuyait sur mon clitoris. Quand j’ai retiré ma main, il est resté collé contre moi avec le cadenas qui cliquetait sur le dessus et j’ai pensé que tu avais les clés chez toi. J’ai commencé à jouir, Jim. Ça a duré longtemps.
— Mmmmm ! »
C’est tout ce que je peux exprimer pendant un moment, puis je demande :
« Donc, le cadenas de ta chatte ne te dérange pas trop ? »
Sam rate la boutade et déclare :
« Je pense que je pourrai m’y habituer. »
Après avoir bavardé encore un peu, nous faisons nos adieux à contrecœur. J’ai du mal à m’endormir en pensant à sa chatte pulpeuse verrouillée avec mon petit cadenas en laiton. Une idée perverse commence à prendre forme. Dans deux semaines, il y a un long week-end. Sam m’a dit qu’elle aimait le camping, et moi aussi j’aime ça. Un plan s’élabore dans ma tête juste avant que je ne m’endorme.
J’appelle Samantha le lendemain matin et je l’attrape avant qu’elle parte au travail. Je lui demande si elle aimerait faire du camping pendant le long week-end. Le jour férié est le lundi.
« Je ne travaille pas le vendredi, répond-elle dit, c’est mon jour de congé. Nous pourrions avoir quatre jours.
— Génial, lui dis-je. Je vais appeler et voir si je peux réserver une place. »
Le grand parc où j’aime aller est assez fréquenté pendant l’été, et il faut généralement réserver un emplacement longtemps à l’avance, du moins dans les plus beaux endroits. Lors d’un long week-end, l’endroit sera bondé. Quand j’appelle, j’ai un coup de chance : il y a eu une annulation dans un camping qui est l’un de mes favoris. En regardant une carte des lieux, le site qu’ils ont ouvert est adossé au lac. Un double bonus. Je réserve l’endroit pour quatre jours. J’appelle Sam ce soir-là et le lui dis. Nous discutons pendant un moment, mais je commence à sentir qu’il y a peut-être quelque chose qui ne va pas. Elle semble préoccupée par quelque chose et ce n’est pas le sexe. Plus tard dans la soirée, elle me rappelle :
« Salut Sam, dis-je. Tout va bien ? »
Il y a une pause, puis elle dit :
« Non. J’ai mes règles avec quatre jours d’avance. Au début, j’ai pensé que c’était bien. Mieux vaut maintenant que lors de notre voyage. Puis ça m’a frappé. Le verrou. Merde !
— Je serai bientôt chez toi.
— Oh Jim, commença-t-elle, tu n’as pas à faire tout ce chemin. Je vais me débrouiller.
— On se voit dans une demi-heure. Mets la bouilloire en route ! »
Vingt-cinq minutes plus tard, je suis dans le hall de son immeuble. Sam me fait signe. Elle m’accueille à sa porte avec une étreinte chaleureuse et je suis une fois de plus au paradis avec ma douce Samantha dans mes bras. Quand nous nous séparons, je lui tends mes clés et elle disparaît dans la salle de bain pendant que je me verse une tasse de thé. Sam revient quelques minutes plus tard, vêtue d’un peignoir éponge et paraissant plus radieuse. Je lui sers un thé tandis qu’elle s’assoit à côté de moi. Elle me tend mes clés et le petit cadenas, encore un peu humide, bien lavé. Je lui demande :
« Tu te sens mieux, maintenant ?
— Merci, maître, dit-elle en se blottissant contre moi. »
Je caresse doucement sa tête pendant que nous sirotons le thé. Sa robe s’est un peu ouverte, me donnant une belle vue sur ses seins pulpeux et jusqu’à son nombril. Je pose ma tasse, puis glisse ma main à l’intérieur pour y prendre un sein ferme, et je frotte son mamelon avec mon pouce, le sentant durcir sous mon toucher. Sam se penche pour poser sa tasse de thé sur la table, puis elle se laisse glisser pour s’agenouiller sur le sol à mes pieds. Je la regarde alors qu’elle ouvre sa robe de chambre puis place ses mains derrière elle, se présentant devant moi. LIRE LA SUITE


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