Le dressage de Tuli -1-

Chap 1 L’asservissement
mercredi 25 janvier 2006
par  Master Leten
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J’ai 23 ans, j’ai les cheveux aile de corbeau qui retombent librement sur mes épaules, les yeux qui hésitent entre le gris et le bleu selon l’éclairage, du haut de mon mètre soixante quinze j’arrive la plupart du temps à regarder les hommes dans les yeux, je possède une silhouette des plus fine ce qui conduit certains à me qualifier de maigre plutôt que mince et un visage agréable. En bref je suis plutôt ce qu’on pourrait appeler un joli petit lot, même s’il m’arrive de complexer sur ma poitrine de jeune fille. Parents, amis et Mr et Mme tout le monde me connaissent sous le nom d’Hélène T. Mais une poignée de personne me connaissent un autre nom, celui de Tuli. Ces quelques personnes savent que je suis l’esclave, la chienne de ma maîtresse adorée qui répond au nom d’Elise. Les présentations faîtes je vais maintenant vous raconter comment je fus asservie et dressée par ma maîtresse.

***

J’avais eu 18 ans quelques mois auparavant et ayant décroché mon BAC avec mention assez bien je rentrais en BTS assistante de direction. La demeure familiale située dans un petit village trop éloigné pour me permettre de rentrer tout les soirs et mes parents assez aisés pour nous le permettre je fus gratifié d’un petit studio tout près du lycée que je devais fréquenter.

Cette rentrée se présentait sous les meilleurs hospices, ce studio me donnait l’indépendance rêvée par tant d’adolescents et même si je n’avais pas de petits copains à ce moment là j’imaginais déjà sans me forcer que j’obtiendrais assez facilement la compagnie d’un beau garçon dans mon lit sans être gênée par la morale stricte de mes parents.

J’avais déjà perdu ma virginité l’année précédente en colonie de vacance avec un des jeunes moniteurs chargés de nous encadrer. Quand j’y repense je suis toujours un peu déçue. Le moniteur en question n’avait que vingt ans et malgré toutes ses fanfaronnades était d’une inexpérience flagrante même aux yeux de la vierge que j’étais. En effet après des préliminaires qui se résumèrent à une empoignade passablement violente de ma poitrine pourtant guère proéminente, il me déflora et après quelques coup de reins déchargea dans son préservatif (qu’il ai penser à se munir de cet accessoire primordial est peut—être la seule chose dont je peux le remercier aujourd’hui) alors que je commençais juste à oublier la douleur de mon dépucelage dans un début de plaisir. Enfin heureusement qu’après des débuts si catastrophiques je pus me rattraper durant toute mon année de terminale avec mes deux petits copains successifs qui surent se montrer beaucoup plus attentionnés et adroits que ce moniteur déplorable.

Mais avec ce studio rien qu’à moi, j’étais certaine d’approfondir encore d’avantage mes connaissances dans ce domaine si jouissif qu’est l’amour. En tout cas je me rappelle que j’étais encore proche de l’euphorie le jour de ma rentrée scolaire. Cet enthousiasme fut un peu douché quand je découvris que très peu de garçons optaient pour la filière assistante de direction et sur la petite vingtaine d’élèves que nous étions les seuls pénis que nous aurions pu dénicher, étaient ceux des profs. Mais tant pis il y avait de toute façon d’autres classes de BTS voir même de terminale où les garçon pullulaient et dont plusieurs s’étaient déjà accrochés à mon petit jeans moulant.

C’est en ce premier jour de classe que je rencontrais Elise et comme je ne connaissais encore personne dans cette classe le hasard fit que je m’assis à côté d’elle sur une des tables binômes qui garnissent encore tous les lycées de France.

Elise et moi étions physiquement aux antipodes l’une de l’autre. Ses cheveux étaient aussi blonds que le miens étaient noirs, j’avais facilement un tête de plus qu’elle, son teint pâle était celui d’une vrais blonde alors que le mien déjà d’ordinaire légèrement halé avait encore bronzé sous le soleil méditerranéen durant les vacances, son visage était assez ordinaire mais j’enviais tout de suite ses seins qui sans être trop volumineux étaient tout même de taille honorables surtout comparés aux miens. Heureusement qu’elle était relativement mince sinon on nous aurait pris pour la version féminine de Laurel et Hardi.

Nous étions tout aussi bien différentes dans nos caractères. J’avais le contact facile alors qu’elle était plutôt réservée, je m’intéressais à la mode et au sport – je pratiquais le tennis et l’athlétisme – alors qu’elle, ses centres d’intérêts tournaient plutôt vers des domaines plus intellectuels. Je sus tout de suite que l’on ne s’entendrait pas et ce fut confirmé seulement dix minutes après que nous ayons échangé nos noms.

Je ne sais plus ce que je lui demandais alors, mais elle me répondit sur un ton hargneux quelque chose du genre :

« De toute façon les divas comme toi il n’y a que la forme de leurs culs qui les intéressent. »

Je ne me vexe d’ordinaire pas facilement, mais ça c’était une déclaration de guerre où je m’y connaissais pas.

Or horreur, j’appris par la suite ce même jour, que les places seraient malheureusement (ou heureusement) définitives et la perspective de passer le reste de l’année à côté de celle qui était devenue en l’espace de quelques minutes ma bête noire fut une réelle catastrophe.

Heureusement il restait les pauses et la vie extrascolaire sinon je n’aurai peut—être pas survécu les semaines suivantes car si le silence aide à l’étude, passer des heures entières assise à écouter les profs vous barbariser dans les grandes largeurs sans pouvoir échanger des paroles ou des mots avec sa voisine de table est très vite une épreuve pour les nerfs. Mais comment pouvoir échanger des mots avec quelqu’un avec qui vous êtes en guerre ?

Et la guerre d’ailleurs était rondement menée entre nous et prenait diverses formes. Moi j’étais populaire, tant auprès des garçons que des filles et je m’étais entouré d’une véritable petite cour de soupirants et de filles qui soit étaient mes pareilles soit aspiraient à le devenir. Pendant les pauses je passais exprès devant elle d’un air méprisant, entourée de ma foule d’amies et de garçons empressés. Elise avait certes quelques amies puisqu’elle était dans ce lycée depuis la seconde dont Catherine, sa meilleure amie, qui avait redoublé, mais elle était loin, très loin d’être populaire auprès des garçons. En fait après que quelqu’un ai dit qu’elle n’avait jamais vu Elise avec un garçon, méchamment je lançais la rumeur qu’elle était lesbienne.

Elise, quant à elle, elle se battait avec sa tête. Elle n’était pas un véritable génie (peu de génie se retrouvent en BTS assistante de direction) mais elle était assez brillante pour obtenir les meilleures notes de la classe alors que les miennes peinaient difficilement à atteindre la moyenne. A chaque fois que cela arrivait elle prenait soin à ce que sa note sur la copie fut bien placée en évidence sur la table.

Puis arriva ce grand jour, 2 mois après la rentrée où le prof de français nous donna un sujet à faire en binôme… avec le camarade de table pour qu’il n’y ait pas d’histoire ! J’aurais voulu me pendre !

On avait une semaine pour le rendre et comme il s’agissait d’une dissertation il était impossible de se répartir le travail afin de faire quelque chose chacun de son côté et de rassembler le tout en quelque chose de cohérent par la suite. Malgré toute la répugnance que j’avais à le faire, à la fin du cours je du m’adresser à elle pour savoir comment nous allions faire.

« Saleté ! Il va falloir resté au bahut après les cours

— Pas question de faire ça au bahut, j’ai qu’un train à 18h pour rentrer chez moi. Le suivant est à 21 h.

— C’est pas mon problème !

— Ca le sera si tu récoltes un 0. Moi avec mon 16 de moyenne, ça me fera pas grande chose…

J’étais effectivement un peu coincée par mes notes précédentes qu’un 0 pointé n’arrangeraient effectivement pas.

— Alors qu’est—ce que tu proposes ?

— Tu viens chez moi ce WE je vois que ça. Lâcha—t—elle, d’un air assez dégoûté.

— Pas question ! Je n’ai aucune envie de dormir chez toi ce WE ! Et pourquoi toi tu ne viendrais pas plutôt chez moi hein ? Contrais—je, bien que je n’avais pas plus envie de la voir dans mon studio, que d’aller chez elle mais au moins chez moi j’aurais été en terres connues.

— C’est chez moi ou rien. Comme tu veux ! »

Je dus m’incliner, elle était en position de force et pas moi mais au fur et à mesure que la semaine avançait je redoutais le vendredi soir où je devrais l’accompagner jusqu’à chez elle et y rester jusqu’au dimanche matin au moins selon le temps que durerait l’exposé.

***

Elise habitait une belle maison dans un village à un quart d’heure de TER de la ville. Le village était d’ailleurs si petit que je me demandais pourquoi la SNCF avait pris soin d’y construire une gare. Mon village n’était à la vérité pas beaucoup plus gros, mais je prenais un mail plaisir à dénigrer tout ce qui touchait ma rivale de près ou de loin.

En arrivant devant chez elle, Elise me lâcha qu’elles seraient toute seules pendant tout le WE puisqu’elle vivait avec son père divorcé et qu’il était partit en voyage d’affaire en Allemagne.

Ce fut presque ses seules paroles depuis que la sonnerie marquant la fin des cours au lycée et il était presque 18h30 !

Voulant en finir au plus tôt nous nous mîmes à travailler sur notre devoir, s’arrêtant juste pour manger dans le silence une pizza vite fait au micro—onde. Seulement arrivé 22 heures on constata que nous arrivions à rien. D’une part on communiquait le moins possible et rédiger quelque chose à deux sans l’ouvrir ça n’a jamais été facile. Aussi on décida d’un commun accord d’en rester là pour ce soir et d’aller nous coucher parce qu’après toutes une journée de cours et cette séance de travail sous haute tension nous étions vraiment fatiguées.

Toute les chambres étaient au premier et en plus de la sienne et de celle de son père elle en avait deux autres inoccupées. Elle me dit de prendre celle en face de la sienne.

Avant d’y entrer, je lui lançais de ne pas profiter de mon sommeil pour essayer de me gouiner, toujours aussi fière d’avoir lancé cette rumeur. Elle ne répondit rien et quand je retournais la tête, il me sembla qu’elle me regardait d’une drôle de manière.

Je me réveillais avec une merveilleuse sensation. Les yeux fermés, partagée entre le rêve et la réalité je gémis de plaisir en réponse à la douce chaleur qui irradiait de mon bas ventre. La sensation de bien être cessa tout d’un coup, mais mon ventre était encore enflammé. Il m’était déjà arrivé d’avoir des rêves humides et de me réveiller tellement excitée que j’étais obligé de me soulager toute seule en me masturbant comme si ma vie en dépendait.

C’est donc naturellement que ma main droite se dirigea vers mon chaton afin de me libérer de cette envie… mais je me rendis compte que mes deux mains étaient coincées au—dessus de ma tête et retenues par quelque chose. LIRE LA SUITE



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