Découvertes

1° Partie
mardi 22 octobre 2019
par  Fatum
popularité : 1%
7 votes

J’étais mariée depuis cinq ans avec Pierre, et nous n’étions pas heureux. Il aurait voulu devenir père, mais apparemment quelque chose ne fonctionnait pas comme il l’aurait fallu. Des examens médicaux nous révélèrent que ma responsabilité était engagée dans ce qui devint un conflit. Il nous fallut bien admettre que j’étais stérile, et ne connaîtrais jamais les joies de la maternité. Et très vite, les querelles succédant aux querelles, j’ai dû admettre de divorcer. Mon mari accepta de me payer une pension alimentaire, et je me mis en quête de travail afin de pouvoir louer un appartement, mon mari ayant conservé la maison commune.
Au cours de mes recherches, je rencontrai une jeune femme que je ne connaissais pas, mais qui m’avoua avoir été la compagne de Pierre avant notre mariage. Cette liaison l’avait échaudée, et elle me dit vivre seule. Nous avons sympathisé, et elle me proposa de m’installer chez elle et de partager les frais. Arlette -c’était son nom- était fort gentille et j’acceptai son offre. Mais il se révéla très vite qu’elle était devenue lesbienne, et visiblement cherchait à faire de moi une adepte de ces relations. Je dus bien lui avouer que le sexe me manquait, et dégoûtée par l’attitude de mon ex-mari, j’acceptai de former un couple avec elle. Notre liaison dura un an au bout duquel j’étais devenue une experte en la matière. Elle était visiblement aguerrie, et très vite m’initia à ces amours particulières.
Elle commença par me caresser, me lécher le sexe et m’apporta ainsi ces orgasmes qui me manquaient. Elle m’apprit aussi à lui rendre ce genre de service. Elle disposait d’une gamme considérable de jouets sexuels : godes de tous genres et parfois même doubles, pinces et pommades spéciales, boules de geisha, et autres.
J’avais trouvé un petit boulot qui nous permit de vivre plus aisément. Nous avions alors découvert un club pour femmes où nous nous rendions fréquemment afin d’y découvrir de nouvelles partenaires, et je finis par me sentir devenir une lesbienne accomplie. Quand un jour Arlette me proposa de l’accompagner chez une ancienne amie à elle, une dame d’une quarantaine d’années qui habitait à proximité de la ville une imposante maison et y vivait, c’est ce que me prétendit Arlette, de ses rentes. Je ne me méfiai pas, et acceptai l’offre. Le samedi suivant, nous avons débarqué chez la dame en question.
L’accueil était chaleureux, et la dame sembla beaucoup apprécier ma présence. Elle me dévisagea soigneusement, me détaillant de la tête aux pieds. J’étais, je le savais, fort belle. Une abondante chevelure blonde, des yeux violets, un visage souriant. Mes lèvres étaient trop fines, et cela me désolait un peu. Notre hôte murmura quelques mots à l’oreille d’Arlette qui me dit alors
« Mon amie te trouve charmante, et serait désireuse d’en voir un peu plus, et peut-être même de faire l’amour avec toi. »
Cette franchise ne m’étonna pas, elle était courante dans le milieu que je fréquentais alors. Je me dévêtis, et totalement nue, laissai notre hôtesse m’admirer et même venir me caresser. Mes réactions lui firent comprendre que je n’étais pas insensible à ses avances, et je la laissai faire. Au bout d’un moment, je me sentis mouiller. La dame s’en aperçut et m’adressa un chaleureux sourire suivi d’un compliment
« On dirait que tu aimes cela. Tant mieux, pour toi et pour moi. »
J’étais un peu étonnée. Je vis alors Arlette sortir, la dame ouvrir un secrétaire et y prendre une enveloppe avant d’aller rejoindre Arlette. Un peu plus tard, elle revint seule et me dit :
« Voilà, tout est en ordre. Tu vas maintenant vivre ici, et ta seule tâche sera de me servir et aussi de m’aimer. Arlette ne reviendra plus, et je me chargerai de te procurer de nouveaux vêtements. Oublie maintenant ton passé ! Ce que tu vas vivre désormais va changer totalement ta vie. Je vais d’abord te confier à mes deux assistantes qui te feront découvrir ton nouvel environnement, et aux quatre demoiselles qui viennent d’arriver ici et vivront donc à tes côtés. »
Je fis mine de me rhabiller, mais la dame m’arrêta d’un geste.
« Ne gâche pas le plaisir que j’ai à te regarder, et celui que je vais avoir à t’aimer. Tu dois maintenant découvrir ton nouveau cadre de vie. Tu auras ici des règles à respecter, et auxquelles tu devras impérativement te plier, si tu ne veux pas être punie. Je ne serai jamais une amie comme Arlette l’était pour toi, mais une maîtresse exigeante. Une maîtresse qui espère bien récupérer un jour tout ce que va me coûter ta formation. »
Ces paroles sibyllines m’effrayèrent, mais déjà je me sentais impuissante à changer le cours des choses et me résignai. Les deux assistantes arrivèrent alors et vinrent se saisir de moi. L’une d’elles me plaça au cou un collier de cuir portant le numéro cinq, et aux poignets deux bracelets de cuir également. Ma maîtresse me dit alors :
« Voilà, ta formation va commencer. Tu es la dernière arrivée de mes élèves, et porteras donc le numéro cinq. Ici, vous n’avez plus ni prénom ni de nom, mais un simple numéro qui convient mieux au cheptel que vous représentez à mes yeux. Dans une semaine aura lieu la première séance de présentation au cours de laquelle plusieurs de mes amis et clients viendront choisir entre vous celle que j’aurai à former. Une fois leur choix fixé, ils viendront ici passer une journée pour établir avec moi le programme de votre formation qui durera sans doute quelques mois. Une fois formées, ils viendront vous chercher. Ce sont tous des gens très fortunés, très bien élevés. Ici, sous mes ordres, vous aurez appris à comprendre ce qu’ils attendent de vous, et si vous êtes adroites, ils vous garantiront un bon avenir. Jamais vous ne connaîtrez la torture, comme dans un donjon. Mais ils auront le droit de vous cravacher, et même de vous appliquer des pinces. Avant votre départ, il aura fallu que je vous apprenne à faire de vous des amantes parfaites, connaissant tout de l’amour, et même des choses que vous ne soupçonnez pas. La balle est maintenant dans votre camp et si vous ne le comprenez pas, vous pourriez vous retrouver dans un bordel à l’étranger, car j’ai le pouvoir de vous y envoyer. Un avenir que je ne vous souhaite cependant pas. »
Ce petit discours me fit comprendre bien des choses, et je ne pouvais qu’accepter de les découvrir. LIRE LA SUITE




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Commentaires

Logo de Henic
mercredi 23 octobre 2019 à 21h26 - par  Henic

Comme d’habitude, Fatum est efficace : droit au but, pas de circonlocutions inutiles ni de descriptions balzaciennes !
Cette première partie est donc conforme à de qu’elle doit être : une introduction qui pousse le lecteur à réclamer la suite !

Logo de Sylvain de Perry
mercredi 23 octobre 2019 à 09h37 - par  Sylvain de Perry

Un très agréable nouveau récit de Fatum qui débute parfaitement. Une description plus approfondie des fessées et autres m’eût d’avantage plu, mais ne boudons pas un tel récit. Vivement la suite... Sylvain de Perry.