Le dressage de Rebecca
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Chez Niko
Rébecca Dunbar s’étire et balance ses jambes hors du lit. Ce geste ébranle le plug qui est le rappel permanent de son nouveau propriétaire, car elle doit admettre que c’est bien ce qu’il en train de devenir. Elle s’habille et fait sa gymnastique, après avoir retiré le bâillon-pénis du placard. Il entre plus facilement cette fois et elle ne régurgite pas. Après sa séance de sport, elle prend son petit déjeuner, se douche et s’habille, avec bien sûr sa jupe la plus courte, un soutien-gorge qui se ferme sur le devant et un chemisier, avec des chaussures à talons et des bas. Elle part à dix heures moins vingt et se dirige vers l’adresse indiquée sur la carte que Niko lui a remise.
C’est un immeuble d’appartements et elle prend l’ascenseur jusqu’au troisième étage. A dix heures pile, elle sonne à la porte. Le jeune Niko, vêtu d’un short et d’un T-shirt, répond à l’interphone et la fait entrer. Elle est certaine de pouvoir le convaincre de ne pas opter pour les barrettes ou les anneaux dans ses tétons. Il n’y a aucun moyen pour elle d’expliquer leur présence à John. Il faut qu’elle fasse tout ce qu’il faudra pour cela.
Elle entre et se tient devant lui. Elle va droit au but et lui dit en déboutonnant son chemisier :
« Je suppose que vous voulez étudier vos options. »
Elle défait la fermeture de devant et ouvre son soutien-gorge en le tenant sur les côtés pour que sa vue ne soit pas gênée. Il observe ses seins sous différents angles, sans rien dire. Elle fait remarquer :
« Vous voyez qu’ils sont fermes, avec des mamelons durs. Touchez-les et vous verrez que leur beauté ne sera pas augmentée par des bijoux. »
Il passe ses doigts sur ses tétons et elle frissonne. Elle se cambre en poussant ses seins dans ses mains.
« Vous n’êtes pas d’accord ? »
Toujours pas de réponse. Elle place ses mains sur les siennes et serre ses seins dans les mains du jeune homme. Une légère rougeur est évidente sur sa poitrine et des tétons durcissent en de petits points.
« Niko, vous ne choisirez pas les bijoux, n’est-ce pas ?
— Des anneaux de deux centimètres pourraient être mon choix. ? Ils feraient très bien ressortir les mamelons.
— S’il vous plaît, non, Niko. Je peux valoriser votre temps si vous m’aidez dans cette affaire. »
Elle est moins sûre d’elle, à présent.
« Cela doit faire partie d’un ensemble. Enlevez votre jupe, ainsi que votre chemisier et votre soutien-gorge, pour que je puisse juger comme il faut.
— Attendez un peu. Cela ne fait pas partie de l’accord. Vous êtes assez jeune pour pouvoir être mon fils. Dit-elle avec ardeur, en sachant qu’elle a perdu sa confiance.
— Bien. Partez, alors. Je vois que mon avis ne vous intéresse pas, dit-il en se détournant. »
Elle sait que ce n’est pas possible. Kyle a dit qu’elle devait prendre l’avis de Niko et il n’y a pas de moyen d’y échapper. Elle enlève chemisier et soutien-gorge et les pose de côté. Puis elle déboutonne sa jupe et la descend. Il regarde et retient sa respiration lorsque son sexe glabre est dévoilé, et que ses yeux sont attirés par le porte-jarretelles et les bas qui l’encadrent. Aucune femme qu’il connaît ne s’habille ainsi. Elle tombe à genoux sur le sol et son ton de voix est différent lorsqu’elle demande :
« Que puis-je faire de plus pour vous ? »
Il la repousse sur le sol et dit, regardant la base du plug qui apparaît lorsqu’elle s’étend de tout son long :
« C’est trop tard, maintenant.
— Je… Je ne peux pas partir. Pas sans avoir votre avis. »
Elle lève les yeux vers lui et continue :
« Je ferai tout ce que vous me demanderez.
— Vraiment tout ? Insiste-t-il.
— Oui.
— Retournez-vous, que je voie votre cul. »
Lorsqu’elle s’exécute, il tire sur le plug qu’il fait sortir en partie avant de le rentrer.
« Vous aimez ça ?
— C’est siii bon ! Dit-elle en s’appuyant contre lui et en espérant qu’elle le satisfait ainsi.
— Peut-être que je vais vous prendre par là. »
Ce n’est pas une question.
« Je suis désolé, Monsieur, je ne suis pas autorisé à le retirer sans la permission de mon Maître. Il m’a dit de le garder. »
Elle ne voulait pas admettre que Kyle fût son Maître, mais c’est pourtant ce qui est la réalité , qui lui apparaît lorsqu’elle doit donner des explications à ce garçon.
« Mais vous pouvez le faire aller et venir si vous le désirez. »
Il le tire partiellement et l’examine. Il le fait aller et venir.
« On dirait qu’il y a du métal à l’intérieur.
— Je ne peux le retirer qu’une demi-heure au tout début de la matinée. Il bipe lorsqu’on le met ou qu’on l’enlève.
— Alors il doit y avoir un détecteur ou quelque chose du genre dedans, dit-il en continuant de le faire entrer et sortir et en le serrant.
— C’est ce que je pense, mais je ne sais pas ce qu’il détecte.
— Je ne sais pas, mais si je ne peux pas jouir dans ton cul, il faut me trouver autre chose.
— Bien sûr, bien sûr. Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ?
— Retourne-toi et mets tes mains derrière ton dos. »
Elle obéit et il se dirige vers une armoire d’où il revient en tenant une fine corde avec laquelle il lui attache les mains.
« A genoux. »
Elle s’exécute avec difficulté. Il retourne à la cuisine et revient avec une poignée de pinces à linge.
« Ceci va t’aider à mettre du cœur à l’ouvrage et à travailler dur. »
Il en place une sur chaque téton tandis qu’elle retient sa respiration. Les deux autres sont placées de part et d’autre des deux premières. Elle étouffe un cri et serre les dents.
Il baisse son short, sa queue jaillit et se dresse tout droit. Il se retourne et ordonne :
« Travaille avec ta langue. Et fais ça bien. »
Elle regarde les fesses qui sont devant elle et se dit que rien dans sa vie ne l’a préparée à cet instant. Elle penche la tête en avant, sent son odeur et sort sa langue. Il bouge un peu vers l’arrière et elle peut atteindre son anus. Le goût est fort et elle lutte contre le désir de vomir. La douleur dans ses tétons la fait s’agiter rapidement, vers le haut, vers le bas, d’un côté à l’autre, puis elle ferme les yeux et pousse vers l’intérieur. Son gémissement lui indique que c’est ce qu’il apprécie et elle se concentre pour pousser sa langue en haut depuis le bas et dans le trou, puis la sortir et la remonter de l’autre côté. Il est persuadé d’être mort et d’être parvenu au ciel.
Lorsqu’il a assez profité de ce plaisir, il se retourne. La souffrance dans ses mamelons recouverts de pinces à linge s’est transformée en une douleur sourde ; il tend la main et pince chacune d’elles l’une après l’autre jusqu’à ce que ses gémissements lui indiquent qu’ils sont suffisamment douloureux. Il se redresse et elle embouche sa bite en formant un O serré avec ses lèvres. Il enfouit des doigts de ses deux mains dans la chevelure de Rébecca et l’attire sur sa queue en disant :
« Suce-moi. »
Elle se loge juste dans le fond de sa bouche. Elle lutte contre le réflexe de régurgitation, elle est presque reconnaissante de l’entraînement avec le bâillon-pénis. Puis il retire la bouche de Rébecca de sa queue avant de la réintroduire dedans jusqu’à ce ses lèvres soient fermement enfouies dans sa toison pubienne. Il n’a pas l’habitude d’autant de stimulation et en perd sa capacité de réflexion. Elle se dit que, si seulement elle avait l’usage de ses mains, elle pourrait mieux équilibrer et amortir ses poussées. Mais les seules choses qui l’intéressent sont les sensations qui l’emmènent de plus en plus haut.
« Tu vas avaler mon jus. »
Il s’enfonce complètement en elle à chaque fois et resserre sa prise sur sa chevelure jusqu’à ce que cela devienne douloureux. De temps en temps, les pinces à linge tapent sur ses jambes, ce qui fait éclore la douleur sourde. Elle utilise sa langue autant qu’elle peut lorsque sa queue se retire. Une petit giclée lui indique que c’est le moment et elle commence à avaler. De plus grandes suivent tandis qu’il grogne et gémit, saisi par le plus bel orgasme de sa vie. Elle continue d’avaler et aspire fort lorsqu’il retire sa queue, et respire quand elle peut. Lorsqu’il dégage complètement sa queue, elle s’assoit et le remercie :
« Merci, Monsieur. »
Il retire les pinces à linge et elle sent la douleur à chaque fois qu’il en retire une. Il fait rouler chaque mamelon entre son pouce et son index alors que le sang se remet à y circuler.
« Ils sont très jolis. Tu as été très bonne, après un peu de mauvaise humeur, aussi j’opte pour des barrettes dans tes tétons. Mais pour m’avoir donné du mal, j’aimerais autant voir quatre anneaux dans tes lèvres sexuelles. Je laisserai le choix à ton maître. »
Alors qu’elle tente d’élever une objection, il lève la main.
« Une quelconque critique de ma décision et je reviens aux gros anneaux à tes tétons, et à de gros anneaux avec des poids pour ton con. Puis je te ferai percer le clitoris et…
— Je voulais juste vous remercier, Monsieur, d’être si prévenant. »
C’est tout ce qu’elle peut articuler. Elle espère à moitié qu’il va soulager la sensation de picotement qu’elle ressent entre ses jambes lorsqu’elle ajoute :
« En avez-vous fini avec moi ? »
Il la détache et elle se rhabille. Il lui tend les pinces à linge en disant :
« En souvenir. »
Sans commenter, elle en met trois dans chaque poche de sa jupe et s’en va, elle aurait souhaité que les choses fussent allées différemment. LIRE LA SUITE
1. Jeudi | 3 |
La convocation | 3 |
Dîner en ville | 6 |
Un retour mouvementé | 12 |
2. Vendredi | 16 |
Visite imprévue | 16 |
Chez l’esthéticienne | 21 |
Chez Kyle | 23 |
3. Samedi | 29 |
Un nouvel objet | 29 |
Accomplir sa tâche | 30 |
Punition. | 33 |
Niko | 39 |
4. Dimanche | 41 |
Chez Niko | 41 |
Convoquée | 44 |
Le concours | 46 |
Exposition privée | 49 |
5. Mercredi | 52 |
Au bureau | 52 |
Un mardi tranquille | 54 |
Intrusion | 55 |
Châtiment devant un témoin gênant | 56 |
Vérification de conformité | 60 |
Exercices de Kegel | 62 |
Récompense pour Maria | 63 |
Nouvelles limites | 65 |
Percée | 69 |
Le pourboire | 72 |
6. Deuxième vendredi | 76 |
Les pourboires | 76 |
Nouvelle lingerie | 80 |
Début de soirée | 82 |
La compétition | 83 |
La nuit avec Maître | 85 |
7. Sa servante en a assez | 91 |
Scène avec Maria | 91 |
Punie par Maria | 96 |
Descente dans la soumission | 98 |
Kegel à nouveau | 101 |
8. Séance bucolique | 103 |
Promenade | 103 |
Gâterie buccale | 106 |
Punition à la campagne | 108 |
Soulagement 111 | |
Les ados profitent de l’aubaine | 112 |
Jouissance sous le fouet | 115 |
9. La véritable soumission | 117 |
Rébecca réfléchit sur son sort | 117 |
Rébecca accepte son état | 121 |
Rébecca soumise | 126 |
10. Avec John | 128 |
John rentre à la maison | 128 |
Séance de photos | 131 |
Chez Kyle | 139 |
11. Entre deux ères | 147 |
Une fin de semaine agitée | 147 |
John mène l’enquête | 149 |
Un engin d’entraînement fait maison | 151 |
Contrôle au bureau par Maria | 153 |
Maria n’est pas satisfaite | 158 |
12. John découvre la vérité | 163 |
Explications orageuses | 163 |
Miction en présence de John | 165 |
Rencontre de Kyle et de John | 166 |
John et Rébecca | 171 |
Soirée à la maison | 174 |
Revanche | 176 |
FIN | 180 |
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