Le coût du baiser de mon ex
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Nous sommes invités à déjeuner ma femme et moi par un couple d’ami. Véro la femme de Jean mon ami était pour moi un amour de jeunesse très passionnel.
A notre arrivée c’est Véro qui nous ouvre la porte. WAHOO elle est vêtue d’un petit chemisier blanc très cintré qui laisse deviner qu’elle ne porte pas de soutien gorge. Un pantalon noir très serré à la taille moulant sur les fesses et qui part en s’évasant comme une jupe très large jusqu’au pied. Quand elle eut vu ma surprise elle tourna sur elle-même afin de bien se montrer j’en fus tout excité. Je l’ai prise dans mes bras et serrée très fort et je l’ai embrassé sur la bouche profondément comme à notre habitude à chaque rencontre. Son mari reste coi et semble agacé de cet accueil.
Nous passons dans le salon prendre l’apéritif. Une fois les verres pleins de champagne.
Jean prend la parole et dit à Véro que d’embrasser son amant sur la bouche avait un coût et qu’il se doit de la punir. Tous autour de la table nous sommes surpris de ce langage mais personne ne réagit.
Aussitôt Jean se lève prend la main de Véro qui se laisse faire sans retenue. Il la conduit vers la table de la salle à manger jusqu’à ce son ventre touche la table. Avec une pression sur les épaules il l’oblige à s’allonger. Faisant le tour de la table il prend ces mains et les tire de façon à ce qu’elle puisse s’agripper au bord opposée. Revenant derrière elle il écarta doucement ses jambes. Aucun bruit dans la pièce tout le monde avait le souffle court et la tension montait dans le corps de chacun.
Jean se recula et contempla le spectacle. Il nous regarda ensuite avec un sourire satisfait. Traversant la pièce il s’approchât d’un coffre en bois qu’il ouvrit pour en retirer un espèce de cravache faite de trois brins d’osier tressés effilé à l’extrémité et muni d’un manche en cuir. D’un geste brusque il la fit tournoyer en l’air dans un sifflement strident qui nous fit frissonner. Il se rapprocha de sa femme qui attendait sans bouger, se plaça sur le coté de manière à ce que nous puissions voir les fesses de Véro en totalité et ne pas manquer un instant du spectacle qui allait suivre.
Jean leva la cravache très haut et d’un coup sec et violent fouetta une première fois les fesses tendues de Véro dans un sifflement qui nous coupa le souffle. Le corps de Véro a sursauté et s’est relâché sous la violence du coup. Puis un deuxième coup est venu s’abattre presque aussitôt sans que Véro ait eu le temps de réagir. Trois coups supplémentaires tombèrent à la suite. Le corps de Véro sursautait à chaque fois mais aucun ne sortait de sa bouche seulement un souffle d’air puissant sortait de son corps comme une bouffée d’oxygène. Après le cinquième Jean prit une pause et changea de coté. Puis il recommença de la fouetter et lui assena cinq coups de plus avec toujours autant de force et de violence. Il jeta la cravache et releva Véro qui eut du mal à tenir debout. Ses jambes tremblaient sans qu’elle puisse se contenir. Elle nous fit face et nous avons pu la regarder. Son visage tordu par la douleur était couvert de larme. Un filet de sang coulait de ses lèvres qu’elle avait mordues fort durant toute la punition afin de ne pas crier. Jean était satisfait de son œuvre.
Il la retourna pour nous faire voir le résultat, il dégrafa son pantalon, le baissa jusqu’au pieds. Elle ne portait pas de culotte ce qui m’a ému car c’est un gage que je lui imposais toujours du temps de nos amours. Ses fesses étaient marquées des dix coups reçus. Jean m’invita à venir toucher sa chair. Je me suis levé et j’ai effleuré du bout des doigts les traces rouges violacées avec beaucoup de douceur, de tendresse et de respect. J’ai senti sa chair trembler sous ma caresse. J’ai glissé ma main dans le sillon de ses fesses jusqu’à son clitoris que j’ai massé délicatement. Sans attendre elle a joui fortement dans un râle profond. J’ai sucé mes doigts afin de garder le fruit de ce cadeau qu’elle m’avait donné. Ma femme s’est levée à son tour et elle est venue s’agenouiller devant Véro et a léché son sexe tellement elle était excitée.
Jean lui a demandé si elle avait toujours envie de m’embrasser. Sans l’ombre d’une hésitation elle a répondu oui. « Alors tu seras puni de cette manière à chaque fois. » Elle a accepté. Nous avons fini de la mettre nue et elle est restée ainsi durant tout le repas. Ma femme s’est, elle aussi, mise nue et a émis le désir de pouvoir la fouetter à son tour lors d’un prochain baiser.
Je n’oublierai jamais l’intensité de cette punition que nous avons renouvelée à chaque rencontre.
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