Les seins de Christine
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Je l’avoue sans honte : je n’ai jamais su résister à un beau décolleté et la vue, même incomplète, d’une belle paire de seins m’emplit de joie. Bien que les trouvant d’un ennui mortel, je fréquente assidûment les soirées mondaines pour le seul plaisir d’y admirer de jolies femmes portant généralement des robes très décolletées qui mettent en valeur leur poitrine. Je vais de l’une à l’autre avec l’envie de dire à chacune : « Montrez-moi vos seins, belle dame ». Je me tais, bien sûr ; mais mes regards gourmands parlent pour moi. Je les plonge sans vergogne dans les décolletés à a recherche de la poitrine parfaite, celle qui me donnera envie de m’intéresser au reste de la personne qui en est propriétaire. « Oui, mon père – pourrais-je dire à mon confesseur si j’en avais un et si je croyais en Dieu – les seins des femmes sont les seuls saints que je vénère ! » Encore faut-il qu’ils me plaisent ! J’évite soigneusement les décolletés des femmes trop minces ou anorexiques car je sais qu’ils sont vides et, pour moi, sans le moindre intérêt. Je fuis les matrones aux seins hypertrophiés qui, d’un coup de mamelle, sont capables de vous envoyer « ad patres » ou de vous étouffer quand elles vous chevauchent. Les femmes qui m’intéressent le plus sont celles que l’on classe dans la catégorie des « pulpeuses », ces femmes épanouies aux formes harmonieuses, ni trop minces, ni trop grosses et dont le corps, au premier regard, invite aux plaisirs de la chair.
Ce soir-là, précisément, j’étais à la recherche de la poitrine parfaite et je m’étais déjà penché sur une vingtaine de décolletés plus ou moins plongeants quand le choc se produisit. Je venais de découvrir deux globes parfaits, de ceux sur lesquels on a envie de poser immédiatement sa bouche afin de les lécher, de les sucer, de les téter, de ceux qui vous donnent des démangeaisons dans les mains tant celles-ci ont envie de s’en emparer pour les caresser les palper, les pétrir, deux globes qui n’étaient pas enfermés dans un soutien-gorge mais qui m’apparaissaient dans leur magnifique nudité sous la robe de satin rouge. Quand je relevais les yeux, ce fut pour croiser le regard amusé de la propriétaire de ces splendeurs. Je ne fus pas déçu : comment aurait-il pu en être autrement ?
"Magnifiques ! m’exclamai-je presque malgré moi.
— Voilà un moment que je vous observe, fit-elle avec un sourire coquin. On ne peut pas dire que les yeux soient ce que vous regardez en premier chez une femme !
— Je l’avoue, mais quand je découvre les vôtres, je dois dire que l’adjectif « magnifiques » peut leur être également attribué.
— Flatteur ! conclut-elle."
Mais je ne la flattais pas. Séduit par l’opulence et la perfection de ses seins, j’étais à présent émerveillé par la beauté de son visage, ses yeux rieurs et une bouche gourmande, signe extérieur de tempérament sensuel et riche de promesses. Inutile de dire que, ce soir-là, j’arrêtai sur le champ ma recherche de la poitrine idéale puisque je venais de la trouver avec, en prime, une femme superbe : une belle brune, grande et pulpeuse, tout à fait à mon goût.
Je m’empressai de renouer la conversation. Je lui racontai quelques petites histoires drôles et piquantes, mais jamais vulgaires, de mon répertoire ce qui eut pour conséquence de la faire éclater de rire à plusieurs reprises. Or chacun sait qu’une femme que l’on fait rire devient souvent, par la suite, une femme que l’on fait jouir. C’est pourquoi je considérais chacun de ses éclats de rire comme une étape de plus sur le chemin de sa conquête. Puis, brusquement, tant était grande mon impatience, je décidai d’aller droit au but. Je ne dis plus un mot.
« Vous voilà bien songeur tout à coup, fit-elle. A quoi pensez-vous ? »
Je répondis à voix basse, m’approchant de son oreille, comme enivré par son parfum :
« Je me dis que ce Dom Pérignon est excellent mais qu’il serait meilleur encore si, au lieu de le boire dans un verre, je pouvais le faire couler sur vos seins et le déguster sur votre peau ! »
Je guettai sa réaction avec quelque inquiétude, mais elle dépassa mes plus folles espérances :
« Voilà une idée charmante et qui me plaît. A condition que vous ayez du Dom Pérignon chez vous et qu’il ne soit pas glacé ! »
Heureuse époque où les hommes et les femmes ne s’embarrassent plus de formules alambiquées pour se dire le désir qu’ils ont l’un de l’autre. Plus besoin de circonvolutions tortueuses, de ruses de Sioux pour amener une femme dans son lit ! Il suffit de le lui dire. Ça passe ou ça casse. Et, en l’occurrence, cela semblait passer. Le doute n’était plus permis quand elle se pencha vers moi afin que je puisse à nouveau plonger mon regard dans son décolleté. Elle murmura « Et si on s’éclipsait discrètement ? » Avec de tels arguments, elle ne risquait pas une réponse négative !
Une demi-heure plus tard, dans ma chambre à coucher, face à un grand miroir, je faisais glisser la fermeture éclair de la robe de satin rouge et Christine m’apparut intégralement nue. La coquine ne portait même pas de string ! On devine que le spectacle de cette beauté fit aussitôt monter ma tension … et le reste. Je l’aurais volontiers jetée sur le lit pour me ruer en elle et la posséder, mais je lui avais promis du Dom Pérignon et les femmes préfèrent généralement la douceur et la lente montée du désir. Je la pris dans mes bras, l’allongeai sur les draps et lui dis :
« Je vais chercher le champagne ! »
Je pris deux bouteilles de Dom Pérignon dans ma réserve. J’en mis une au réfrigérateur et, après avoir rapidement abandonné mes vêtements, je fis sauter le bouchon de l’autre en regagnant la chambre. Quelle splendeur ! Souvent, lorsque les femmes sont couchées, leurs seins perdent de leur ampleur et ont tendance à s’aplatir un peu. Rien de tel chez Christine : ses globes parfaits n’avaient rien perdu de leur volume et restaient d’une totale fermeté. Elle me sourit et me demanda en désignant la bouteille :
« Tiède, comme vous me l’avez promis ?
— Tout à fait, princesse. Vous allez goûter. »
Et je fis couler la moitié de la bouteille sur ses seins. LIRE LA SUITE
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