Sévices militaires -2-

2° Partie
vendredi 3 février 2012
par  Ballet boots
popularité : 1%
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Le trajet ne dure pas longtemps, suffisamment pour avoir été projeté à plusieurs reprises sur les parois de la camionnette. Le moteur s’arrête, la portière arrière s’ouvre, le chef rentre pour me tirer vers les portes battantes. Il m’assoit à l’arrière de la camionnette les jambes encore ficelées. En me détachant les pieds, il me dit :
— Ici y’a jamais personne. Je vais pouvoir m’occuper d’toi sans qu’on nous dérange !
Il m’attrape pour me mettre debout. Je me retrouve face à un hangar rempli de véhicules militaires au rebut. Il fait nuit maintenant, autour du bâtiment il n’y a rien, qu’un grand trou noir et le silence profond.
Il me passe la corde qui servait à lier mes pieds, autour du cou, comme une laisse.
Chaque fois que je change de position, je sens ma salive imbibée du jus de chaussette, couler dans ma gorge.
Il m’emmène à l’arrière du bâtiment vers une petite porte, comme un chien, sans ménagement. Passé la porte nous montons un escalier en béton lugubre. Nous traversons un long couloir, au bout duquel se trouve une porte blindée.
Il crie :
— Terminus tout le monde descend....
Il ouvre la porte et me tire vers l’intérieur.
Nous pénétrons dans une pièce pratiquement vide. Il n’y a qu’une table en bois avec quelques chaises disparates autour. Dans un coin une kitchenette à l’abandon. Il me colle contre une poutre en béton, pourvu d’un anneau scelle en hauteur. Il passe la corde accrochée à mon cou dedans et tire jusqu’à ce que je me retrouve face au mur. Ma tête est tirée au point que je suis obligé de me mettre sur la pointe des pieds. Il fixe l’autre bout de la corde à la poignée d’un vasistas.
Je me sens comme un Objet, transporté et remisé dans un coin de la pièce. Sans rien dire, il disparaît vers la pièce à côté. Je suis collé au mur. Les mains ficelées dans le dos, engoncé dans la combinaison en caoutchouc qui m’enveloppe. Je lutte pour que la corde ne se resserre pas plus sur mon cou.
J’essaie de crier, mais rien ne sort de ma bouche que des sons étouffés par la chaussette enfoncée dans ma bouche.
Après quelques minutes il ressort. Je n’arrive pas à le voir tout de suite, mais je le sens juste derrière moi. D’un seul coup il se met à me claquer les fesses. Au début doucement, puis avec violence. Puis il se coller dans mon dos. Je sens son sexe frotter mes fesses avec fébrilité. Des sons sortent de ma bouche entravée que je ne maîtrise pas. Je suis partagé entre le plaisir et les douleurs.
Il attrape la corde liée à mon coup, et en me faisant tourner sur moi-même il la fait passer derrière ma tête. Je suis toujours étranglé sur la pointe des pieds, mais maintenant dos au mur. Il s’est changé, il porte une sorte de combinaison de moto en cuir noir. Aux pieds, il chausse des Doc Martens qui montent presque jusqu’aux genoux. Une paire de gants noirs, patinés recouvrent ses mains.
Il approche sa tête à quelques centimètres de la mienne :
– Alors......Comment tu me trouves habillé ?
Je grommelle quelques sons inaudibles. Il m’attrape par le menton en serrant pour déformer mes joues :
— Alors réponds salope !
J’essaie d’acquiescer, mais ma tête est bloquée dans ses mains et la corde m’empêche de faire le moindre mouvement. Il me gifle violemment avec ses deux mains, ne me laissant pas le temps de reprendre mon souffle entre deux. Je ferme les yeux pour me protéger, mais en vain. Après quelques minutes, je le sens s’éloigner, je rouvre les yeux doucement. Il est parti vers la cuisine pour aller chercher un pack de bière.
J’ai les joues en feux, la capuche qui enserre ma tête me brûle. Je sens la sueur dégouliner dans la combinaison en caoutchouc. LIRE LA SUITE

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Commentaires

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mardi 7 février 2012 à 20h23 - par  Enigme

Je ne sais pas quoi en dire . C’ est la première fois que j’ accroche autant à un récit . Le rêve ... je ne saurais pas le décrire ...