La destinée sulfureuse d’une petite chienne en devenir 3
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Monseigneur Grégorio reprend avec une voix grave et imposante, il me dit : « Maintenant que vous avez accepté de prendre le sentier épineux de la réhabilitation morale, je vais vous demander de me confesser, sans oublier un seul détail scabreux, le fantasme qui a mis en émoi vos sens de façon récurrente et sans oublier de me préciser votre âge quand les premières luxures se sont exprimées dans votre chair ? ». Totalement ébahi par ce questionnement pornographique dans une église, en plein confessionnal, je tente d’esquiver la demande en disant : « Monseigneur Grégorio, je me suis masturbé à partir de l’âge de treize, quatorze ans, comme je pense la plupart des adolescents mais sans avoir de fantasme particulier. Seule la vue de jolies filles très sensuelle exacerbait mon désir. »
Cette réponse ne plut pas du tout à Monseigneur Grégorio qui me répond violemment : « Ce matin, ici même votre épouse Sophie est venue me faire une confession sur toutes les confidences que vous lui aviez avoué, depuis le début de vos quatre années de vie commune, sur votre libido particulière. Ces propos ont été recoupés avec toutes les informations transmises par votre protectrice sur votre attitude de femelle refoulée ! Alors je vous rappelle que vous parlez sous serment divin et que c’est vous-mêmes qui avez demandé notre aide pour vous sortir de vos pervers égarements ? Voulez-vous que je vous relise le contrat que vous avez écrit de votre propre main et signé ? »
Complétement déconfit par la nouvelle orientation du débat, transi de froid car la chapelle n’était que faiblement chauffée et mes genoux qui commençaient à donner des signes de fatigue sur le bois dur du confessionnal, je m’effondrai en larmes et demandait pitié à Monseigneur Grégorio pour qu’il m’épargne de sa colère. S’adoucissant un peu, il me dit : « Alors répondez sincèrement à mon questionnement et plus vite nous pourrons nous libérer de cette besogne ! Alors je vous le répète une dernière fois, dites-moi avec vérité le fantasme récurrent qui a animé depuis fort longtemps le rythme de vos nuitées dépravées ? »
Voulant désormais sortir de cette posture inconfortable le plus rapidement possible, j’ouvre à Monseigneur Grégorio les arcanes secrètes de mes tentations inassouvies :
« Monseigneur Grégorio voici depuis le lycée et ma quinzième année, le scénario érotique inavouable qui, des centaines de fois, a transmis à mon corps des sensations charnels féériques. Cependant avant de vous dévoiler l’avilissant, je dois vous apporter quelques précisions pour que vous imaginiez bien la cause de mon cheminement avant d’en voir l’effet.
Mes premières déviances se sont exprimées vers l’âge d’une dizaine d’années. A cette période, j’aimais lorsque je prenais un bain me laver l’anus en introduisant le savon le plus profondément possible mais ceci sans déclencher un désir sexuelle ! Je pratiquai cela inconsciemment sans réflexion préalable avec toute la candeur de mon jeune âge. Par contre lorsque ma virilité a commencé à se mettre en place, j’aimais de temps à autre, surtout sur la période du printemps et de l’été, ne pas porter de sous-vêtements sous mes pantalons. Cependant un jour en me promenant dans le rayon lingerie féminine d’une grande surface, je fus subjugué par une belle petite culotte rose à dentelle de femme. Je l’achetai en faisant croire à la vendeuse que s’était un cadeau pour ma petite amie.
En réalité, je m’aperçus que le fait de l’enfiler augmentait mes pulsions sexuelles lors de mes séances de masturbation régulière. Tout ceci Monseigneur Grégorio était le préliminaire nécessaire pour parvenir à l’explication détaillé qui va suivre de mes désirs érotiques. »
Monseigneur Grégorio avait l’air de boire mes paroles et mes propos indécents ne lui étaient pas du tout indifférents. De même mon sexe en écoutant mes confidences de débauché, malgré la fraicheur ambiante avait repris du service ! Monseigneur Grégorio m’invita sans tarder à poursuivre l’oraison de mes fantasmes.
Je m’exécutai donc en commençant le très long récit suivant, détaillé à souhait :
« Cette petite culotte rose à dentelle, je la portai uniquement pour décupler mes envies voluptueuses pendant la masturbation mais je m’en servais aussi comme prétexte à la base d’un odieux chantage que j’allais subir pour mettre à nue mes tendances de petite chienne. Je m’imaginais donc avoir l’audace de porter cette petite culotte sous mon pantalon au lycée. Cependant par une belle journée de début juin survint une visite médicale impromptue qui m’imposa de rendre visite à l’infirmière du lycée, une belle femme rousse, la cinquantaine, autoritaire et plein de charme.
Pris de panique par cette action à accomplir inattendue, je décide donc rouge pivoine de me présenter complétement nu devant l’infirmière afin d’éviter de montrer le fameux morceau de tissu rose que je portais ce jour-là. Cependant l’infirmière qui s’appelait « Madame Géraldine » m’ordonna d’aller remettre mon slip ou mon caleçon pour se présenter à elle. Une forte érection vient répondre à cet ordre impérieux. Je tombe à genoux devant elle et lui invoque le fait que le matin j’étais en retard et dans la précipitation j’ai omis d’en mettre un. Cette explication ne lui convient pas du tout et elle me dit :
« Et votre sexe au garde à vous, c’est provoqué par quoi ? » Et elle continue énergiquement : « Je vous préviens, des petits vicieux de votre espèce, j’en ai maté plus d’un, alors je vais aller voir dans la cabine si vraiment vous n’avez pas de dessous ? Je vous préviens que si vous m’avez menti, je me chargerai de vous faire une réputation atroce dans tout le lycée ! »
Devant une telle menace, je mets à pleurer, je lui demande pardon de lui avoir menti et la supplie de ne raconter à personne ce qui venait de se passer. Elle me dit avec une moue amusée : « Allez mettre votre culotte et je verrai ensuite ce que je déciderai. » Tout penaud, je m’exécute et reviens le déshonneur sur tout le visage en arborant ma petite culotte de femme rose à dentelles. A sa vue Madame Géraldine éclate de rire et me dis : « En trente ans de carrière, je n’ai encore jamais vu cela ! Mais allongez-vous sur la table de consultation, je reviens dans cinq minutes et je vous dirai ce que j’ai décidé à votre égard ! ». Tremblant de peur et de honte, j’exécute l’ordre. Quelles sont longues les secondes qui s’égrène avant le retour de Madame Géraldine.
Lorsqu’elle pousse la porte, je suis haletant de détresse morale, elle me dit tendrement : « Allons n’y pensons plus, je vais faire comme si de rien n’était. » Ses paroles douces et mielleuses me rassurèrent et je me laissais conduire au rythme de son auscultation. Elle commence par me prendre la tension, ensuite elle me demande de me mettre sur le ventre pour examiner ma colonne vertébrale. J’obéis docilement et même lorsqu’elle me demande de rapprocher mes mains l’une de l’autre, bras tendu, en invoquant un contrôle de routine. Mon érection commençait à bien ramollir quant à la vitesse de l’éclair, elle me passe une paire de menotte aux poignets. Elle me dit sèchement : « Si vous dîtes un mot plus haut que l’autre, j’appelle le proviseur et vous lui donnerez des explications sur votre tenue. » Devant un tel avertissement, je me laissai faire afin que le stratagème de Madame Géraldine réussisse parfaitement. Menotté les mains dans le dos, elle me prend en photo dans plusieurs postures ou mon sexe en érection et ma culotte en dentelle rose sont bien en évidence. Ensuite satisfaite de son piège parfaitement réussie, elle exulte en disant :
« J’ai désormais la possibilité de rendre ta vie un enfer en dévoilant à tous le lycée mais aussi à ta famille tes tendances de chienne en chaleur. Je vais m’arranger pour faire un nombre incalculable de copie afin que si tu tentes quoi que soit contre moi, la vérité sortira invariablement sur ta nature de salope. »
Totalement effondré je la supplie de ne pas mettre à exécution sa sanction. Avec perversion et méthode elle me propose alors : « Si tu acceptes de passer un week-end entier à mon service je te rendrai ta liberté et tu entendras plus parler de moi ! D’autant que l’année prochaine, je quitte la France pour aller travailler ailleurs ! Alors tu t’arranges pour être disponible tout un week-end du vendredi 20 heures au dimanche 20 heures, avant la fin de l’année scolaire et j’oublierai toute cette sordide histoire ? Alors ? » J’accepte l’offre sans avoir le choix. Elle me précise : Je te laisse 24 heures pour me donner les garanties de ton acceptation. » LIRE LA SUITE
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