Charles et Alain
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1. Ou comment évolue une relation amoureuse.
Agé de quarante-trois ans, Charles, un mètre quatre-vingt-cinq, pour quatre-vingt kilo, brun, yeux noirs, bouche large, corps athlétiquement musclé, torse poilu, membré vingt et un centimètres avec un gland proéminent, champignonnesque, cuisses musclées, partage la vie d’Alain, plus jeune de vingt-trois ans, un mètre soixante-douze, blond, yeux verts, bouche sensuelle, délicatement ourlée, corps mince et souple, membré dix-huit centimètres, une belle paire de fesses rondes, avec une cambrure à damner un saint.
Charles a dans l’idée, ils ne sont ensembles que depuis un mois, de passer à la vitesse supérieure dans leur relation. Il a décidé que ce serait ce vendredi soir, car ce week-end aucune sortie n’est prévue.
En ce mois de juillet la température est assez chaude, donc tout se prête bien à ce que Charles a en tête.
Insouciant de ce qui se prépare, vêtu comme souvent de son seul string de cuir bleu, comme Charles, mais le sien est en cuir noir, Alain débarrasse la table, met la vaisselle dans le lave-vaisselle, puis passe au salon.
Charles l’interpelle à peine est-il passé le seuil :
— Pourquoi n’as-tu pas mis le lave-vaisselle en service ?
Alain, comme par défi, répond :
— Ca peut attendre demain, non ?
Charles devient plus cassant :
— Non !
Alain ne se démonte pas, rétorque, tout sourire :
— Dans ce cas, vas-y toi !
Charles n’en demandait pas tant. D’un ton abrupt, en se levant, il ordonne :
— Viens ici !
Alain, surpris malgré tout, fait rapidement les quinze mètres qui le séparent de son amant, garde son sourire… mais plus contraint sur les lèvres.
Charles prend le visage du jeune homme entre ses grandes mains aux longs doigts fins, fixe ses yeux noirs dans les bleus clairs, dit :
— Ton attitude m’étonne, je ne te pensais pas…
Alain l’interrompt :
— Mais…
— Laisse-moi parler. Tu pourras t’exprimer, voire contester après. Je ne te croyais pas rebelle. A partir de ce soir, j’ai décidé que ça devait changer. Comme tu te comportes en gamin, je te punirai en gamin. Je vais te donner une fessée. Ce sera ta première… De ma main en tout cas. Chaque nouvelle correction pour ton attitude sera plus forte que la précédente...
Profitant de cet arrêt de respiration, Alain glisse :
— Je suis peut-être un trop vieux pour être fessé. Non ?
Charles lâche le visage, assène :
— Dans ce cas, fais ta valise et tire-toi !
Il tourne le dos à son amant.
Coup de poker.
Alain reste sans réaction dix secondes pas plus, puis se précipite vers le dos de Charles qu’il étreint en l’entourant de ses bras :
— Excuse-moi !... Pardonne-moi !... Tu as raison, ce sera mieux comme ça entre nous.
Il frotte sa joue imberbe contre le dos, insiste :
— Me pardonnes-tu ?
Charles, que cette rapide capitulation excite, se retourne, reprend en main le
Visage d’Alain, colle sa bouche sur la sienne, l’embrasse avec fougue. Le garçon répond en mêlant sa langue à celle de Charles.
Ce dernier rompt la caresse voire le pacte, ajoute :
— Enfin après chaque punition je t’enculerai. Seulement, je diminuerai la dose de gel à chaque fois.
Alain blêmit :
— Mais après deux ou trois… fessées, ce sera à sec.
— Absolument. Mais tu peux toujours refuser et partir.
Cette fois Charles ne lui tourne pas le dos.
Là encore Alain capitule après quatre/cinq secondes, reste immobile face à Charles, dans une attitude que l’on pourrait qualifier de défi.
Ce dernier a un sourire intérieur, décide d’agir immédiatement, car son érection devient de plus en plus visible sous le cuir de son string. Cela n’échappe pas à Alain, bien sûr.
— Va me chercher une chaise et apporte-la ici.
Alain choisit une chaise de bois à dossier droit, la dépose aux pieds de son… Maître.
Charles s’assied, attrape le jeune homme par un bras, le fait basculer à plat ventre sur ses cuisses. Sentant qu’il bande, il hésite de lui ôter son string, le lui laisse finalement. Il positionne le corps souple à sa convenance, dispose son bras gauche en ceinture, ordonne :
— Cambre-toi ! Offre bien ton cul à ma main.
Malgré sa hantise d’être fessé comme un gamin, Alain cambre son derrière rond, crispé malgré tout.
Sans préavis, la main puissante de Charles s’abat sur la fesse droite d’Alain, y laisse une belle empreinte de cinq doigts, rapidement recouverte par une nouvelle marque identique à la précédente.
Méthodiquement, sur un rythme similaire, la main claque cinq fois le même point. Les cinq claques suivantes percutent la fesse gauche.
Alain décide de pas bouger, de ne rien dire, de subir inerte la correction infligée par son amant.
Charles comprend rapidement qu’Alain va lui résister. Aussi décide-t-il d’augmenter la puissance de ses claques.
Au lieu de claquer cinq fois au même endroit, il envoie une claque sur la fesse droite, une sur la gauche, sans se soucier du point de chute.
Alain sent la douleur de ses fesses augmenter, sait qu’il ne pourra pas tenir longtemps sans crier. Comme pour chasser la chaleur de son cul, il se met à battre des jambes, à pédaler dans le vide.
Charles sourit devant la réaction physique du garçon fessé, sait que dans peu de temps il va commencer à crier sa douleur.
Alain supporte de plus en plus difficilement les claques qui percutent sa chair nue, bien offerte à son fesseur.
Il commence par grogner, car ses mâchoires sont toujours soudées.
Alain a pourtant de plus en plus mal aux fesses, si bien que malgré toute sa farouche volonté de résistance, de ne pas s’incliner, un cri filtre de sa bouche entrouverte :
— Aaaaaaaye !...
Il a beau resserrer les lèvres, c’est trop tard il a cédé. Du coup, il capitule sous l’infernale douleur des claques qui percutent son derrière sans faiblir :
— Nooooooon !... Pluuuuuuus… La fessée !... J’ai… Trooooooop… Maaaaaaal !... Arrrrrrrête !...
Charles, tout en poursuivant son œuvre correctrice, réplique :
— M’arrêter déjà ? Tu plaisantes. J’aurai dû fesser ton cul depuis longtemps, mais je suis trop gentil.
— Ca sufffffffit !... Pitiiiiiiié !... Nooooooon !... Ne… Me… Claque… Plus !
Charles, sans s’occuper des cris de plus en plus perçants d’Alain, regarde avec
Un plaisir toujours plus jouissif, le cul qu’il fesse devenir de plus en plus rouge, de plus en plus chaud, de plus en plus brûlant.
Alain, tout à la douleur permanente de son derrière, sent quand même contre son flanc la bite de son amant qui a grossi sous le string de cuir et en a même débordé.
Charles, pour achever magistralement cette première fessée, vise la jonction cuisses-fesses, là où la douleur est plus vive, plus mordante.
Alain ne se rend pas tout de suite compte que les claques ne percutent plus son cul nu. Ce n’est qu’en sentant la main fesseuse caresser doucement, voire amoureusement, ses lombes.
« C’en est trop, pense-t-il in petto ».
Il saute comme un cabri des cuisses de son amant, s’en éloigne de quelques pas, masse lui-même ses fesses dans une vaine tentative d’en calmer l’ardente douleur. Tout en piétinant, il fixe Charles, les yeux très en colère :
— Salaud ! Tu es un salaud !
Charles jaillit de sa chaise, dit d’une voix froide :
— Veux-tu une autre fessée pour m’insulter de la sorte ?
Avant qu’Alain ait pu s’en soustraire, Charles prend son visage entre ses mains, ajoute :
— Je t’avais avisé depuis quelques temps que nos rapports allaient changer…
Une de ses mains descend vers le cul encore bien chaud, le caresse :
— …Ce n’est que ta première fessée…
Alain se colle contre lui, les yeux humides, même s’il n’a pas pleuré, le coupe :
— Oui. Mais j’ai très mal à mes fesses.
— Je sais. C’est à ça que sert une fessée. A te rappeler certaines règles… Tu verras… Sauf en cas de déplacement, je te fesserai chaque matin avant de partir et chaque soir après la douche…
Alain tressaille, le coupe en bafouillant :
— Mais… Tu… Tu ne m’avais pas dit ça avant…
Charles sourit, alloue une claque au derrière sous sa main, tranche :
— Tu as raison. Mais j’ai eu tant de plaisir à claquer ton très beau petit cul que c’est ma décision…
Il recule de deux pas, poursuit :
— Si ça te déplaît, tu peux faire ta valise et partir. Je vais être magnanime. Tu pourras dormir ici ce soir…
Alain en reste sans voix.
Que faire ?
Rester cela veut dire être fessé deux fois par jour, plus les éventuelles punitions. Pourra-t-il le supporter ? Mais cette première fessée l’a quand même fait un peu bander…
Quelle va être la décision d’Alain ? Vous le saurez en lisant la seconde partie de ce récit.
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