La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode 04)

4- Chez le comte
mardi 7 août 2012
par  Marquis d’Evans
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Explication sur les matricules des esclaves : E46MSE (par exemple) E= Esclave, 46 le numéro attribué par le Maître et MSE = Maître Sir Evans)

Une semaine plus tard, à la nuit tombante, Maître Sir Evans arrivait à l’heure prévue dans un vieux château chez son vieil ami le comte de Beusgley afin de répondre avec ponctualité à l’invitation pour la grande soirée mondaine occasionnée pour fêter l’anniversaire du comte. Walter, le chauffeur une fois qu’il avait ouvert la porte du marquis et que celui-ci descendit de la Roll-Royce, alla ouvrir le grand coffre et tira sur une laisse. Il fit descendre 2 des esclaves nus de Sir Evans. Il y avait ainsi l’esclave femelle E46MSE et l’esclave mâle E69EMS. Tous deux se mirent de suite à 4 pattes sous la cravache de Walter et évoluèrent en grimaçant à cause des gravillons qui blessaient leurs genoux. Mais vu que Walter tirait sur les 2 laisses, ils ne pouvaient faire autrement.

Firmin, le majordome de Beusgley alla à la rencontre des nouveaux venus et dit d’une voix linéaire :

— Si Monsieur le Marquis veut bien me suivre, Monsieur le Comte l’attend parmi les nombreux invités déjà arrivés
— Merci Firmin. Je vous confie ces 2 chiennes. Allez les enfermer où bon vous semblera. Nous irons les faire chercher dans la soirée, pour s’amuser un peu ! Mais ne dite rien à Monsieur le comte, je veux lui faire une surprise. Et même que je lui offrirai soit la femelle soi le mâle comme cadeau d’anniversaire. Car c’est bien à cela que nous sommes invités, n’est-ce pas, à son anniversaire !!

...

Firmin se saisit des deux laisses et, laissant le Marquis d’Evans gravir le grand escalier de pierre qui menait au hall d’honneur du château, il entraîna les deux esclaves à l’écart.

Quittant le sentier de gravier qui blessait leurs genoux, il leur fit contourner l’angle de la noble demeure. Le majordome imposait un rythme soutenu aux deux chiennes qui se dandinaient à sa suite, tentant de ne pas provoquer d’à-coups. Loin des luminaires qui éclairaient l’entrée des invités de marque, ils s’enfonçaient maintenant dans la pénombre qui enveloppait une vaste pelouse. A quatre pattes, ils avançaient sur le doux tapis moussu, comme deux chiennes menées en promenade. Firmin les entraînait plus loin, à l’écart du château... La femelle E46MSE et le mâle E69MSE avaient été choisis par Leur Maître, ils savaient l’honneur qui leur était ainsi accordé et ils savaient aussi que rien ne leur serait épargné s’ils ne s’en montraient pas dignes.

Ils ignoraient tout de ce qui les attendait. Mais ils avaient été instruits de leur « mission ». Le comte de Beusgley était un ami intime du marquis d’Evans et ils partageaient un goût affirmé pour le Statut de Maîtres. Ils étaient fiers de leurs harems et une amicale rivalité les opposait. A Celui qui saurait au mieux éduquer et façonner Son cheptel, afin de disposer des meilleur(e)s esclaves.

S’ils avaient été choisis, c’était qu’ils allaient devoir défendre L’Image de Leur Maître en se pliant à toutes les épreuves qui leur seraient imposées. Ils devraient tout accepter, tout subir, ne jamais rechigner quelles que soient les situations qu’ils devraient affronter. En cas d’échec, ils savaient que le pire les attendrait... Leur pire crainte, la plus terrible sanction qui les hantait étant de risquer d’être « répudiés » et définitivement chassés par Maître Sir Evans. De se trouver ainsi dépouillés de leur plus chère raison de vivre, de Celui qui avait su donner un vrai sens à leur insignifiante existence. Firmin les entraîna jusque dans un recoin du parc. Il n’avait rien dit, se contentant de les faire avancer à un bon pas, qu’ils suivaient comme deux bonnes chiennes bien dressées.

Là, un espace avait été dégagé, la pelouse était plus rase qu’alentour et plusieurs piquets avaient été plantés, à égale distance les uns des autres, environ deux mètres. A chaque piquet était fixé un gros anneau de fer où pendait une courte chaîne. Firmin s’arrêta devant le premier piquet. Il saisit la chaîne et avec un mousqueton, la fixa à l’anneau du collier de l’esclave femelle E46MSE. Il la laissa ainsi, à quatre pattes près de son piquet, puis entraîna le mâle E69MSE et l’attacha de la même manière au piquet suivant. Puis il s’éloigna...

Les deux esclaves demeuraient immobiles. Ils avaient appris à ne s’exprimer que lorsqu’ils y étaient autorisés et aucune instruction ne leur avait été donnée. Parler sans autorisation était toujours sévèrement puni. Même si aucune présence n’était décelable à proximité, ils gardèrent donc le silence. ils n’avaient qu’une seule volonté, celle de se montrer irréprochables, afin de se montrer dignes du choix de leur Maître. Ils n’eurent pas à attendre longtemps. deux silhouettes s’approchaient, venant du château dont ils apercevaient la puissante silhouette au-delà du rideau d’arbres qu’ils avaient traversé tout à l’heure jusqu’à cette aire d’attente. Les silhouettes se précisaient peu à peu. Un homme et une femme, nus... portant un seau. Ils portaient un épais collier de métal au cou et, au-dessus de leur pubis intégralement rasé, ils étaient marqués du sceau du comte de Beusgley. Des esclaves du comte...

La femelle alla vers E46MSE, tandis que le mâle s’arrêtait près d’E69MSE. Ils posèrent leur seau avec une parfaite symétrie, y plongèrent la main pour en retirer une éponge dégoulinante. Puis, ils se mirent en devoir de frotter le corps des deux esclaves enchaînés en ne négligeant aucune partie. Les seaux étaient remplis d’une eau qui avait été agrémentée d’un léger parfum dont s’imprégnaient progressivement les corps des esclaves de Sir Evans. E69MSE avait le sentiment que celui qui s’occupait de lui s’attardait avec insistance sur ses parties les plus intimes... Il ne doutait pas qu’E46MSE subissait le même genre d’attouchements. Les esclaves de l’hôte de Sir Evans profitaient de la situation pour leur imposer un petite épreuve supplémentaire... Mais cela ne dura pas. Déjà Firmin revenait... Sur un geste de Lui, les deux esclaves, tête baissée dans une attitude servile, reprirent leurs seaux et s’éloignèrent d’un pas rapide. Firmin s’approcha d’E46MSE... Il portait une petite mallette qu’il posa à terre et ouvrit. il en sortit un tube et en répandit un peu du contenu sur ses doigts, avant de doigter l’anus de la soumise et de l’oindre de cette crème fluide et fraîche... Puis il se munit d’un plug et l’enfonça dans le cul de la femelle. Il vint ensuite vers E69MSE et répéta la même manoeuvre avant de s’éloigner à nouveau. Ainsi E46MSE et E69MSE étaient à quatre pattes, enchaînés à un poteau, le cul plugué...

Le corps encore humide et parfumé... ils attendaient.

...

Cette position suite aux attouchements de l’esclave du comte mit l’esclave mâle en érection encouragé par la situation à laquelle il était exposé.

Au bout de dix minutes, en cette chaude nuit d’été, ils entendirent des voix venant d’un bosquet à une dizaine de mètres d’eux et ils distinguèrent un couple de jeunes gens visiblement amoureux qui s’embrassèrent à pleine bouche avec toute l’apparence d’une excitation à s’accoupler. L’homme, à peine la trentaine avait déjà défait le décolleté de la fille et pelotait sa poitrine d’une main vicieuse. Les esclaves comprirent vite qu’il s’agissait de 2 amoureux qui avaient décidé de prendre du bon temps dans les jardins du château. La jeune femme d’une 20 aine d’années environ aperçut les 2 chiennes attachées et s’en approchait avec ironie, sans réajuster son décolleté, bien au contraire, elle laissait deviner une belle poitrine généreuse :

— Mais regarde Gérald, regarde qui voila !
— Mais ? Ce ne sont pas des esclaves de mon père, je ne les connais pas ceux là !
— Alors, à qui peuvent-il appartenir ?
— Je ne vois qu’un propriétaire pouvant venir ici avec ses esclaves, le grand ami de mon père, le fameux Marquis d’Evans.
— Oui mais pourquoi, ils sont là ? … La jeune femme réfléchissait et enchaîna subitement. Ecoute on dirait qu’on les a mis là pour un bon moment et si on s’amusait un peu ! J’aimerai bien dominer ce chien de mâle…Regarde, il bande déjà … LIRE LA SUITE

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