Le centre de rééducation (2)
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Catherine est conduite dans le fourgon cellulaire, à l’intérieur tout le matériel pour capturer et entraver les femelles les plus réticentes, liens, camisole de force, et même un grand sac de toile permettant de contenir la femme. Au siège de l’organisation un médecin est prêt à intervenir en permanence pour faire une piqûre calmante aux plus agitées.
Le voyage doit être inconfortable, mon épouse est attachée debout les mains fixées au plafond dans des anneaux. Difficile dans ces conditions, avec en plus le sac sur la tête, de garder l’équilibre. Son corps tangue, bascule à chaque virage, ses seins ballottent. Après quelques minutes de route un garde se lève et commence à lui palper la poitrine (95 D). Catherine pousse des petits cris étouffés.
— Elle a une paire de nichons superbes dit l’homme
Il passe ses mains sous le pull, et cherche les tétons sur la fine dentelle du soutien gorge, il les pince. Cathy réagit ses bouts durcissent, l’homme se plaque contre elle, elle sent son érection à travers les vêtements. Elle prend peur quand l’homme lui dégrafe le pantalon, elle sent la main qui s’introduit dans son slip, caresse son pubis brun fournit ouvre ses cuisses et commence à la masturber. L’autre garde rit. Un doigt inquisiteur fouille son vagin.
— Putain dit l’homme elle mouille comme une fontaine elle aime ça, je sens son clitoris qui durcit.
C’est vrai malgré la honte, ma femme prenait du plaisir, cette situation était tellement insolite. Elle se tortillait sous les doigts de l’homme qui entraient et sortaient de son vagin. Elle sentait le plaisir proche. Malheureusement le véhicule arrive dans la cour de l’Organisation. Le garde referme le pantalon et baisse le pull la laissant dans l’attente d’un orgasme. Il lui murmure à l’oreille :
— Tu vas attendre un peu avant de jouir salope.
Les hommes la détache et la saisisse chacun sous un bras. Elle est conduite à travers les couloirs, les bruits sont assourdis par la cagoule, elle respire avec difficulté, le bâillon boule la fait saliver énormément. Les hommes s’arrêtent et la place.
— Tu restes ici tu te tiens droite et tu ne bouges pas, redresses toi, poitrine tendue allons !
Toujours cagoulé elle fait oui d’un mouvement de tête. Et sanglote sous la cagoule. Le temps passe il y à du bruit autour d’elle, des cris, des pleurs. Elle sent qu’on lui retire la cagoule, elle est aveuglée par une lumière violente. Doucement la vision revient elle se trouve dans une petite pièce toute en carrelage blanc très éclairée, à sa droite se trouvent 2 filles menottée l’une d’elle une petite brune pleure, à coté une blonde aux cheveux longs. Deux hommes en treillis noirs sont présent aux pieds de l’un, assis, un énorme chien un dogue allemand gris. Un homme qui semble être le chef entre dans la pièce, les autres le salue. Il toise les 3 femmes.
— Bien vous avez des panières devant vous ! Vous allez vous déshabillez, vous vous mettez toute nue et vous mettez vos vêtements dans les panières. Garde ! Retirez les menottes.
Les trois femmes sont tellement terrorisées qu’elles n’osent protester. Catherine retire son pull puis son pantalon sous le regard du chef. Le soutien gorge rejoint la panière suivit du slip. Elle masque ses seins et son sexe.
— Mains sur la tête hurle le chef
Les femmes s’exécutent. Toutes nues devant les trois hommes mortes de honte.
— Le chien va flairer vos vêtements, il est dressé à la détection de produits stupéfiants, surtout ne bouger pas s’il vous flaire.
Le maître chien approche son animal, debout il est énorme, il renifle les vêtements des femmes dans les panières, devant Catherine il flaire longuement son slip. L’animal se dirige vers les femmes, il flaire leurs fesses, puis passe devant, il flaire le sexe de ma femme, pousse sa truffe humide entre ses cuisses, il la force à écarter, terrorisée elle se laisse faire, le chien gémit et commence à la lécher entre les cuisses, la langue râpeuse et humide de la bête la masse de l’anus au clitoris. Les trois hommes se regardent moqueurs.
— Il aime l’odeur de son sexe dit le dresseur, il faut le laisser faire
Catherine ferme les yeux et gémie, son rythme cardiaque s’accélère, le chien continue la masturbation commencée par le garde dans le fourgon. Le chien se régale de ses sécrétions vaginales, proche de l’orgasme elle lâche de petits jets d’urine que le chien lape avec bonheur. Par réflexe, oubliant la situation, elle commence à se caresser les seins, tirant sur ses longs tétons. Malgré la honte qui la tenaille, la langue du chien lui fait du bien. Elle pense aux hommes qui la regardent, cette pensée l’excite et d’un seul coup elle jouie en criant. L’homme retire le chien.
— Allons finit la plaisanterie dit le chef sous la douche vite, il indique aux femmes une porte qui donne sur des douches collectives.
— Allez sous l’eau vite, le médecin vous attend pour la visite….et lavez vous bien entre les cuisses
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