Lundi matin, Grace est dans sa chambre, à l’hôtel où Royston l’a hébergée. Comme la semaine précédente, les vêtements qu’elle doit porter pour la journée ont été livrés par le même groom dans sa chambre.
La veille, elle était à nouveau dans le studio photo de Nakamori. Nakamori l’avait félicitée pour l’excellente série de photos en bikini qui a été prise d’elle, et lui a donné un chèque postdaté de dix mille dollars. Grace est soulagée d’être effectivement payée comme Royston l’avait dit — elle a besoin de l’argent pour rembourser le montant qu’elle avait volé. Mais Nakamori lui dit aussi que, pour encaisser dans le chèque, elle doit continuer à lui servir de modèle ; après la série de maillots de bain, c’est la série lingerie, qui est la séance qu’elle doit faire ce jour-là.
Grace pleurniche, pensant à la lingerie séduisante, transparente et souvent délicate avec laquelle elle a posé la veille. Mais au moins, elle a le chèque de dix mille dollars avec elle. Elle s’encourage en se disant que dans un mois, elle aura fini de rembourser les dettes de son péché et laissera derrière elle ces souvenirs cauchemardesques !
Elle est surprise lorsque le groom lui remet une enveloppe avec le sac de vêtements et chaussures. Les instructions dans la note dans l’enveloppe lui indiquent qu’il y a un choix ce jour-là sur quoi porter, mais que ce choix n’est pas le sien. Elle doit mettre les deux ensembles de vêtements et demander au groom de décider pour elle !
Pour le haut : une chemise boutonnée blanche (à porter avec les deux boutons du haut défaits) avec un soutien-gorge corbeille transparent noir OU un haut moulant à lacets avec une veste et un soutien-gorge push-up rose en dentelle. Pour le bas : une longue jupe noire fendue sur le côté (la fente monte jusqu’à mi-cuisse) avec un string noir, OU une mini-jupe beige trop petite d’une taille, avec un string beige en tissu très fin.
Grace ravale sa fierté puisqu’elle est forcée de mettre ces vêtements devant le groom, qui est visiblement ravi de faire son choix. Pour achever son humiliation, il y a une paire de talons hauts de dix centimètres qui ont un petit graphique imprimé sur le bas de la chaussure, entre le cou-de-pied et le talon. C’est une caricature d’une femme prise par derrière par un homme. La note lui indique qu’elle doit porter ces chaussures qui sont un appel au sexe.
Quelques heures plus tard, c’est avec beaucoup d’inquiétude que Grace entre dans la salle du conseil de son entreprise, portant le soutien-gorge corbeille noir et la chemise boutonnée blanche avec deux des boutons du haut défaits, et la mini-jupe extrêmement courte et moulante. Dans la salle du conseil, il y a huit hommes et deux femmes, pour la plupart de niveau cadre intermédiaire à cadre supérieur. Son patron, M. Shih, et le patron de Royston, M. Ko, sont également présents. Grace espère que George n’est pas là. Pas de chance, il est assis au fond. Elle espère qu’il ne remarquera rien, car elle pense au vibromasseur fermement installé entre sa culotte et son clitoris.
George sourit quand il la voit entrer. Elle a l’air étonnamment sexy comme d’habitude. Royston lui fait signe de passer, et lui demande de s’asseoir devant la salle, à côté de lui. Il a commencé la présentation, à en juger par le diaporama déjà affiché sur le grand écran de la salle de conférence.
Lorsque Grace s’assoit, elle a conscience que le siège dans lequel il veut qu’elle soit assise est assez bas, et qu’il lui est difficile de s’asseoir tout en portant une jupe aussi courte, sans révéler son entrejambe aux autres personnes dans la pièce à laquelle elle fait face. En effet, elle est tout à fait sûre que tous les yeux des cadres masculins regardent ses jambes, tout le temps que Royston parle. En particulier, elle se sent un peu effrayée de la façon dont M. Ko la regarde. M. Ko a la réputation de changer fréquemment de secrétaire, de jeunes secrétaires qui s’habillent de manière sexy. C’est avec un soulagement mitigé qu’elle se lève quand c’est son tour.
Alors qu’elle commence à parler, le vibrateur dans ses lanières s’allume soudain.
« Ouh… crie-t-elle doucement, en trébuchant d’un demi-pas en avant, sa main droite tenant le dossier d’un des fauteuils se retenir.
— Est-ce que tu vas bien Grace ? »
Royston feint de s’inquiéter. Grace s’imagine en train de l’étrangler à mains nues, sur-le-champ, car elle sait qu’il doit avoir secrètement allumé le vibreur avec sa télécommande. George, avec un œil pour détail comme toujours, fixe la chaîne autour de sa cheville, qui arbore maintenant trois perles, au lieu de deux l’autre jour.
« Euh… Oui… Ça va, répond-elle en se stabilisant. »
Elle essaie d’empêcher ses mains de se porter à son entrejambe, alors que l’intensité exaspérante des vibrations assaille sa chatte.
Plus tôt dans la matinée, Royston l’a appelée à la salle du conseil. Ils étaient seuls, car il restait encore une heure avant la réunion. Elle sait qu’il a voulu qu’elle fasse la présentation avec lui, mais soupçonne qu’il l’a fait seulement pour lui donner des coups, afin qu’il puisse être vu la commander devant d’autres collègues et chefs de service, et de l’embarrasser en lui faisant exposer son corps dans les vêtements sexy qu’il lui fait porter. Elle ne savait pas qu’il avait des plans plus diaboliques pour l’humilier. Quand il sort le vibromasseur, elle refuse catégoriquement. La semaine précédente, elle a eu un vibromasseur enfoui dans sa chatte alors qu’elle se promenait dans le bureau et il lui a fait des ravages alors qu’elle était assise dans sa cabine, jusqu’à ce qu’elle parvienne enfin à l’orgasme. Mais là, c’est différent — être dans la salle du conseil devant ses patrons et ses collègues avec un vibrateur qui bourdonne dans sa chatte est totalement hors de question ! Et s’ils le découvrent ? Elle serait fichue.
« Espèce de taré… avait dit Grace à Royston, crachant presque ses mots.
— Je m’attendais un peu à cette réponse, a souri Royston avec confiance en s’asseyant à moitié sur la table de conférence avec une jambe au sol, c’est pourquoi j’ai préparé ce petit clip à montrer avant de commencer la présentation. »
Il appuie sur un bouton de la télécommande qui est dans sa main.
« C’est une bonne fille maintenant… »
Une voix familière joue sur le système audio. L’image sur le grand l’écran devient nette. Grace se voit à l’écran, pratiquement nue, se mettre sur les mains et les genoux.
« Faisons une petite marche, hein, ma petite chienne, continua la voix masculine. »
On tire sur la laisse attachée au noir collier en cuir autour de son cou. La fille docile dans le clip vidéo est seins nus et ne porte que le bas du bikini le plus petit, qui montre plus des trois quarts de son cul. Cela a été capturé sous différents angles par quatre caméras vidéo cachées dans le studio où elle a eu la séance photo !
Grace pâlit, fixant l’écran. Elle imagine tout le monde dans la salle du conseil en train de rire. Rire d’elle. Grace a déjà vu les photographies prises sans son consentement au studio de Nakamori ce jour-là — des photos d’elle avec le collier et la laisse, d’elle à quatre pattes. Mais c’est pire — voir une image émouvante et vivante d’elle-même, rampant sur le sol, descendant du canapé à quatre pattes, comme une… salope obéissante.
La rêverie de Grace a été interrompue par Royston qui lui dit :
« Allons faire la présentation maintenant, on y va ? » LIRE LA SUITE

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