Où Maîtresse fait ma toilette
par
popularité : 1%
Quand vous me libérez enfin, nous sommes de retour chez vous, dans le garage au sous-sol. Vous me faites sortir sans ménagement. Votre brutalité me surprend. Je ne crois pas avoir fauté en quoique ce soit. Sans doute, désirez-vous me prouver que vous êtes la Maîtresse. Une Maîtresse dure et implacable. Comme un petit animal apeuré, je me jette à vos pieds, affolé, sans bouger. Vous me montrez vos bottes toutes crottées.
— Regarde-moi ça, de ta faute, mes bottes sont sales !
Vous me tendez une griffe dont on se sert pour nettoyer les sabots des chevaux. En appui sur le capot de la voiture, vous collez la semelle de votre botte sur ma poitrine et m’ordonnez de nettoyer. Par pure cruauté, vous pesez de toute votre force sur votre pied pour me planter votre talon effilé dans la chair tendre de ma poitrine. Je me mords les lèvres pour étouffer mes gémissements. Un mauvais sourire se lit sur vos lèvres. L’une après l’autre, je nettoie vos bottes, consciencieusement, servilement comme vous souhaitez que je me comporte à présent devant vous. Je me sens parfaitement conscient d’être ravalé au rang de chien. Au lieu d’éprouver du dégoût, une immense satisfaction m’envahit.
Depuis si longtemps, dans mes rêves les plus secrets, j’imaginais une Maîtresse comme vous : dure, exigeante et si belle. Satisfait, vous me repoussez méchamment du pied et je m’étale de tout mon long sur le sol froid. Désireuse encore de vous amuser de votre petit soumis, vous saisissez la laisse de votre chien accroché au mur, que vous fixez à l’anneau de mon collier. Je dois maintenant me traîner derrière vous, à quatre pattes, jusqu’à la salle de bain, à l’étage. Là, vous m’ordonnez de me mettre nu. Je m’exécute, abandonnant sur le sol mon top et mes bottes. Nu, je me présente debout sur les genoux, bien cambré, les épaules en arrière, les cuisses ouvertes, comme vous m’avez appris. Vous m’avouez être éblouie par la beauté de mon corps et ravie par mes dispositions à l’obéissance. Vous me relevez pour m’examiner avec beaucoup d’attention. Vous me faites l’éloge de mes fesses rondes et fermes et me flattez ma croupe au passage, comme une cavalière le ferait avec sa monture. Mais vous revenez très vite à la réalité pour me pousser brutalement dans la baignoire :
— Allez à la douche maintenant, grand dégoûtant.
J’obéis pour me placer debout dans la baignoire d’angle. Vous avez saisi la douchette, et le robinet ouvert à fond, vous m’aspergez d’eau. C’est effroyable, l’eau est glacée. Je crie et tente désespérément de me protéger comme je peux. Folle furieuse, vous hurlez et me frappez à tour de bras.
— Qui m’a donné une poule mouillée pareille ! Tu vas te redresser et enlever tes mains ! Vite !
J’obtempère. Presque au bord de l’évanouissement, je dois lutter de toutes mes forces, dents serrées, poings fermés, contre l’envie de me jeter à vos pieds pour vous implorer votre clémence que je sais inutile. Vous êtes une Maîtresse et je sais que tout cela fait partie de mon dressage. LIRE LA SUITE
ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)
OFFRE DECOUVERTE (1 jours) | ABONNEMENT 7 JOURS | ABONNEMENT 15 JOURS | ||
---|---|---|---|---|
ABONNEMENT 1 MOIS |
ABONNEMENT 3 MOIS |
ABONNEMENT 6 MOIS |
SE DESABONNER |
OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)
Commentaires