Les esclaves du pirate -2-

Lucas - Paul Traduction Henic
mardi 16 juillet 2019
par  Henic
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Résumé de la première partie :
Ce fut la pire semaine de la vie de Béatrice Blanchart. Sur la route vers l’île Saint Georges où elle devait épouser le gouverneur anglais, son navire a été pris par les pirates et elle a été soumise aux pires formes de viol et de torture sexuelle par le pirate Bocanegra.
Plus tard, elle a été vendue aux enchères publiques. Son propre oncle, le détesté marchand d’esclave l’a achetée pour en faire cadeau au gouverneur anglais qui est l’un de ses meilleurs clients. Mais il commence par la garder chez lui pour son propre usage. Il l’enferme dans une cage, comme une bête, et la soumet à des abus sexuels de toutes sortes. Il la sépare aussi de sa sœur Claire, le véritable objet de ses désirs sexuels.

1. Vers l’île Saint Georges

Un jour, Blanchart annonce que le moment est venu de transférer Béatrice au gouverneur. Le cœur de la jeune fille s’éclaire en entendant la nouvelle. Un navire battant pavillon britannique vient la prendre à l’île Saint Georges. Un jeune officier de marine, élégant et bien élevé, l’escorte pendant le voyage.
La cargaison comprend également trois séduisantes jeunes femmes aux longues chevelures brunes. Toutes trois sont nues et lourdement enchaînées, avec un collier autour du cou, qui les relie au mât. Le soleil est haut et brûlant. De temps en temps, un matelot jette un seau d’eau sur elles, en riant de bon cœur.
Béatrice, assise à l’ombre à la poupe, ne sait pas où porter le regard. Le jeune officier ne parle que de choses triviales, ignorant l’évidence. Elle finit par lui demander :
« Pourquoi sont-elles ainsi punies ? »
Le jeune homme la regarde :
« Est-ce que vous parlez des prisonnières, Madame ?
— Oui, qu’ont-elles fait ?
— Elles sont espagnoles, Madame. Elles sont ennemies, vous comprenez.
— Mais pourquoi sont-elles nues et enchaînées ?
— Comment dirai-je, Madame… Vous voyez, aux Antilles, les choses sont différentes. Ces malheureuses femmes ne sont pas exactement des prisonnières. Elles sont plutôt comme du butin. Des esclaves, vous comprenez. Il n’y pas beaucoup de femmes dans ces mers et cela rend très difficile la vie des représentants de Sa Majesté…
— Esclaves ? Esclaves de qui ? Demande Béatrice, indignée. Comment trois Européennes peuvent-elles être esclaves sur un navire anglais ?
— Le gouverneur Wilson les a achetées, répond l’officier après un moment d’hésitation. »
Une expression de perplexité apparaît sur le visage de la Française. Achetées ? Quel genre d’homme est son futur mari ? Elle ne peut pas concevoir la vérité. Pas même dans ses pires cauchemars.

2. 15 juillet 1790. Esclave du gouverneur

George Wilson, gouverneur britannique de l’île Saint Georges, ajuste les lanières de cuir autour de ses organes génitaux. Il le fait lentement, méticuleusement. C’est une occasion particulière et il veut paraître à son avantage. Il revêt son nouveau harnais et ses plus belles bottes de cuir. Un anneau autour de la base de ses testicules les soulève et soulève également son pénis qui est de toute façon en érection depuis déjà quelque temps. Son épouse lui demande :
« Êtes-vous prêt, chéri ?
— Pas encore, Louise. Je dois m’occuper d’affaires de l’État. Je vous rejoindrai au donjon dans une demi-heure. »
Son esclave, Flor, baisse la tête. Elle sait ce qui va se passer.
« Ne tardez pas, Georges, j’ai hâte… »
Georges demande à son esclave qui est à genoux devant lui :
« Mon épouse est une vrai charmeuse, tu ne crois pas ?
— Oui Monsieur, répond-elle avec un accent espagnol. »
Il la regarde affectueusement. Les cinq mille doublons qu’il a payés au vendeur Lucien Blanchart sont l’aboutissement d’un marchandage. Le temps est chaud et la jeune fille ne porte pas de vêtements. Elle passe toute la journée dans la chambre du gouverneur, enchaînée au pied de son lit, attendant les ordres. C’est sa favorite. Il ne se lasse pas du chaud contact de sa peau douce, de son odeur, en particulier de celle de son vagin. Cela accélère son pouls. Mais ce qui le rend vraiment fou est son air sauvage. C’est une bête non dressée, une bête nue aux seins nus qui se balancent. Il aime la voir à quatre pattes et faire osciller ses seins de part et d’autre, comme les pis d’une vache.
« Ma femme t’apprécie beaucoup !
— Si vous le dites, Monseigneur.
— Elle pense que sans toi et tes gros nichons, elle devrait remplir ses obligations d’épouse. Elle t’en est très reconnaissante. »
La jeune fille pousse un profond soupir et se redresse, ce qui fait ressortir ses seins. Le gouverneur dit probablement vrai. La plupart des femmes préfèrent éviter la torture si elles le peuvent.
George s’assoit dans un fauteuil confortable. Normalement, il y fait la sieste pendant que Flor s’occupe de lui. Elle s’agenouille ou se met à quatre pattes, jambes ouvertes. Il lui dit :
« Viens, et mets ta bouche là-dessus. »
Flor s’avance sur les genoux, elle se dandine comme un canard pour maintenir ses genoux légèrement écartés ainsi qu’on le lui a enseigné. Cela fait remuer ses seins et dévoile également son con. Elle abaisse sa bouche vers ses organes génitaux. Il passe ses doigts dans les cheveux de l’esclave. Pendant la demi-heure qui suit, son esclave s’active de la bouche et de la langue. Elle lèche et suce ses couilles et son pénis, jusqu’à ce qu’elle sente son sperme dans sa bouche. Puis elle continue d’aspirer jusqu’à la dernière goutte. Le gouverneur n’aime pas goutter par terre lorsqu’il jouit. Il se sent mieux après cela et s’apprête à prendre le bras de sa femme pour aller rencontrer Béatrice Blanchart. Le père de cette fille lui devait de l’argent et lorsqu’il est mort, il s’est dépêché d’accepter de la prendre en guise de paiement. Il n’a pas besoin d’argent. Il a fait un bon mariage. Ce dont il a besoin, ce sont des seins, des cons et des anus.
Il rejoint son épouse dans la vieille cave à vin, sous le manoir. Il porte toujours son harnais et ses bottes. Sa femme porte ses bottes habituelles, qui montent à mi-cuisses. Elle se passe un doigt en petits cercles autour des mamelons, chacun à son tour. Ses tétons saillent comme deux tubes. Elle dit qu’elle se sent mieux avec les tétons dressés, surtout en présence d’autres femmes. Ensemble, ils se dirigent vers la cellule.
Ralph, le gardien-chef, est avec elle ; il est aussi l’un des dresseurs d’esclaves. Tous portent des bottes. Le gouverneur fixe longuement la Française d’un regard perçant. Il n’est pas déçu. Elle a l’air superbe, sensuelle, sophistiquée. Son pénis a un petit mouvement et commence à se redresser.
La Française est à genoux. On lui a déjà dit de garder les cuisses légèrement écartées. Cela ouvre un peu sa chatte, mais pas trop, juste assez pour donner envie, pour donner un aperçu sur un plaisir mouillé et secret. Ses coudes sont attachés dans son dos à un bâton, ses poignets sont liés ensemble et une corde serrée passe au-dessus de ses magnifiques seins et les soulève. Le gouverneur adore leur taille et les grosses aréoles autour des mamelons. Béatrice porte un collier ajusté autour du cou et des anneaux aux chevilles. Une humiliante laisse à chien pend entre ses seins. Le gouverneur regarde son visage. Oui, elle est vraiment splendide ! Des yeux bleus, de hautes pommettes et une bouche ouverte de manière suggestive ! Il fait glisser son regard vers ses seins fermes, sa chatte rasée et ses cuisses longues et musclées…
Derrière la fille se tient sa jeune épouse. Incapable de contrôler son excitation, comme d’habitude, elle a déjà mis sa main droite sur sa jupe (elle ne porte jamais de culotte) pendant que son autre main se déplace nerveusement d’un sein à l’autre. Béatrice rompt le long silence :
« Je pense qu’il doit y avoir comme un… malentendu ! »
Le gouverneur croise les bras et attend.
« Je veux dire… Je veux dire…
— Oui ? Dit l’épouse. Que veux-tu dire exactement, chérie ?
— Je veux dire, ma sœur et moi sommes venues de France après la mort de notre père. J’avais compris que vous nous invitiez, dit-elle en regardant le gouverneur dans les yeux.
— Et ? Demande-t-il. »
Il est fasciné par sa respiration nerveuse, qui lui fait prendre de grandes inspirations qui soulèvent ses seins, puis les laissent tomber comme deux énormes gelées vacillantes.
« Je… Nous… avions compris que je devais… euh…
— Vas-y, chérie, dit Louise qui respire elle aussi plus fort à présent. Que pensais-tu qui devait se passer entre mon mari et toi ? »
La tête de Béatrice retombe.
« J’avais compris que je devais épouser le gouverneur. »
Un silence minéral se fait dans le donjon. Prenant des papiers dans un vieux coffre, l’épouse reprend :
« Tu as raison. Il y a eu un malentendu. Voici l’accord signé par ton père. Pour payer ses dettes, il nous a laissé quelques misérables titres de propriétés, ainsi que tes services. L’accord stipule que tu nous serviras pendant une période de dix ans. »
La bouche de Béatrice est toute sèche.
« Nous t’emploierons en fonction de tes qualités physiques naturelles, et je suis contente de dire qu’elles sont considérables.
— Mais…
— Silence ! Tonne Ralph. »
Béatrice se tait. C’est Ralph qui l’a déshabillée et attachée de cette manière obscène et cruelle. Il l’a fait lentement, en laissant ses organes génitaux la toucher, en la pelotant, en tâtant ses parties les plus intimes, en la menaçant… Elle frissonne.

Le gouverneur intervient :
« Je considère comme acquis que tu comprends le genre de services qui te seront demandés. De toute manière, je vais clarifier tout cela. Nous n’avons pas de domestiques, seulement des esclaves. Tu seras l’une d’entre eux, une esclave très spéciale il est vrai, mais une esclave. Tu seras l’esclave de chambre du Gouverneur de Sa Majesté britannique et lorsqu’il n’aura pas besoin de toi, tu t’occuperas de son épouse. Mon épouse a un con nerveux. Il requiert de considérables attentions. Est-ce clair ?
Béatrice se tait. L’épouse pousse un court gémissement de plaisir. Sa main est toujours sur sa jupe et elle comment à agiter son derrière d’arrière en avant.
« Tu habiteras ici jusqu’à ce que tu aies appris ton métier. Il faut que tu saches que je suis impatient et exigeant. Je te conseille d’apprendre rapidement. »
Il s’avance vers la jeune fille jusqu’à ce que le bout de son pénis soit presque au contact de son visage. Elle détourne la tête. Le gouverneur élève la voix :
« Ralph ! Enferme-la et dis aux entraîneurs de se mettre au travail sur l’Espagnole rebelle. Je veux qu’elle soit punie ce soir et que cette salope de Française ait une place au premier rang. »
Ralph fait se lever Béatrice en la tirant par les cheveux et saisit la laisse. Il tire brutalement dessus et la conduits vers une petite cage disposée dans l’épaisseur du mur. Il enlève les cordes qui l’attachent mais laisse le collier et les anneaux à ses poignets et ses chevilles.

Ralph gronde et, passant ses mains à travers les barreaux, il tord les seins de la jeune fille et lui pince les tétons en disant :
« Fais attention à ce que tu vas voir. Plus tard, ce sera ton tour. »
Deux hommes immenses, la tête rasée comme le gouverneur, traînent l’Espagnole dans le donjon. Elle est grande, avec une longue chevelure ondulée. Elle proteste bruyamment en espagnol. Ils l’ont déshabillée et ont attaché ses coudes dans son dos. Elle pleure. Les larmes tombent sur ses seins.
Ils s’arrêtent devant la cage et commencent à jouer avec la fille. L’un lui tire les tétons pendant que l’autre lui tient les bras. Elle crie. Ils rient. Leurs mains deviennent plus hardies et plus cruelles, elles courent sur tout son corps, leurs doigts pincent, leurs ongles griffent jusqu’au sang…
Ils la suspendent par les chevilles, les jambes largement écartées, la tête et les bras pendant. Puis ils la fouettent avec un chat-à-neuf-queues, sur tout le corps, sexe compris, celui-ci étant largement ouvert et sans défense.
« Prends-ça sur la chatte, espèce de putain espagnole ! »
SSSWWIIIIIIIISSSSSSSSSS ! CLAAAAC !
« AAAARRRHHHHH ! »
L’épouse du gouverneur continue de se masturber mais elle se rapproche. Le gouverneur s’assoit dans un fauteuil et regarde. Béatrice ne peut détacher son regard de la scène. Elle regarde avec horreur les marques rouges qui apparaissent partout sur le corps de la jeune fille.
Puis les hommes attachent les coudes de la fille à un bâton, ils la font se plier en avant au-dessus d’un cadre de bois qui tient son cul haut levé, puis ils enfoncent un morceau de bois poli dans son vagin. Ils la font sucer le pénis d’un des gardes pendant que l’autre punit son postérieur avec le chat-à-neuf-queues.
Personne ne parle. Les seuls bruits sont les cris de douleur qui résonnent sur les murs de pierre, les bruits occasionnels de léchage lorsqu’elle suce les pénis des gardes, et les grognements porcins du gouverneur et de son épouse qui se masturbent maintenant tous les deux.
Les garde l’attachent ensuite à une table, ligotée comme une dinde dans une position des plus humiliante. Ses pieds sont tirés en arrière par-dessus sa tête et enchaînés au mur, et un bâton est attaché sous ses genoux et sous ses seins. Cela l’oblige à montrer en même temps son cul et sa chatte. Les hommes mettent un tube dans son anus et y versent deux litres de lait brûlant.
Béatrice se tient aux barreaux de sa cage, les jointures blanches du fait de la pression. Elle n’en croit pas ses yeux. Le lait sort des entrailles de la jeune fille, il la nettoie et salit le sol. Puis les hommes allongent la fille par terre et lui baisent le cul. Ils la baisent jusqu’à n’en plus pouvoir et l’allongent sur le dos, les jambes bien écartées comme une grenouille en train de nager. Ils pissent dans son con, puis sur son ventre et ses seins. La pisse entre dans ses zébrures rouges et autres blessures ouvertes. Elle s’évanouit.
Ils la sortent en la traînant par les cheveux.
Le gouverneur et sa femme s’en vont, épuisés par plusieurs orgasmes.
L’obscurité et le silence tombent sur le donjon. LIRE LA SUITE

Sommaire
1. Vers l’île Saint Georges 2
2. 15 juillet 1790. Esclave du gouverneur 3
3. 16 juillet 1970. Une esclave et le membre de son maître 9
4. 17juillet 1790. Une esclave achève sa formation 12
5. 18 juillet 1790. La bouche et le sexe d’une courtisane 14
6. 1er août 1790. Deux semaines plus tard... 18
7. La sœur de Béatrice 21
8. Officialisation 23
9. Chez Mademoiselle Ironhand 26
FIN 31


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