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Mathilde se découvre des dons de dominatrice
vendredi 20 septembre 2013
par  ricsoumis
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Cette histoire est issue d’une rencontre réelle mais a été, par la suite, enrichie de mes fantasmes. Bonne lecture, Eric (ricsoumis@yahoo.fr)

J’ai rencontré Mathilde lors d’une soirée organisée par une amie artiste, avec laquelle je partageais un atelier.
Mathilde avait un caractère assuré qui lui donnait l’impression d’être chez elle, dans n’importe quel environnement. Aussi, durant cette soirée je ne voyais que sa longue chevelure épaisse et ondulante, virevolter au grès de la musique que Marc, en DJ professionnel, enchainait avec virtuosité. D’ailleurs, Mathilde sortait avec Marc, un grand type assez costaud mais à l’attitude un peu débonnaire. Nous avons bu et dansé jusque tard dans la nuit. Vers 2h du matin, j’ai oser l’embrasser dans le dos de Marc.

...


Notre histoire débuta simplement et tendrement comme deux personnes de 30 ans qui apprennent à se connaitre et à s’aimer. Nous passions des soirées entières à nous raconter nos vies respectives. Je faisais également connaissance avec sa chienne Myrtille, un magnifique husky blanc immaculé qu’elle considérait un peu comme un alter-égo. Je n’avais d’yeux que pour cette femme dont la beauté égalait son appétit de la vie.
Cependant, mon manque d’assurance au lit et mon petit appétit sexuel, qui en découlait, commençait déjà à la chagriner, même si ses paroles restaient réconfortantes. Je me sentais malgré tout obligé de m’expliquer et c’est avec tact et délicatesse que Mathilde me poussa à m’épancher sur mes troubles sexuels, mon manque de confiance dans mes érections, mon sentiment d’infériorité. Elle m’écoutait avec attention et semblait même y prendre du plaisir. Bien sûr à l’époque, j’interprétais son léger sourire comme de la satisfaction, car je lui prouvais là toute la confiance que j’avais en elle et mon envie de ne rien lui cacher.

Trois semaines après notre rencontre, nos soirées au lit s’étaient transformées en un rituel, où je devais verbaliser mon impuissance. Puis comme elle me l’avait expliqué et pour me faire pardonner, je descendais entre ses jambes pour lui offrir, avec ma langue, le plaisir qui lui revenait.
Elle me caressait les cheveux, et par la même occasion me guidait de ses mains, en insistant lorsque le plaisir se faisait plus intense. Elle plaquait mon visage sur son sexe, préférait lorsque mon nez s’enfouissait dans sa vulve et que ma langue caressait son cul. Il était naturel que je passe plus d’une demi-heure dans cette position et désormais Mathilde ne me libérait qu’après avoir joui. Alors elle me tournait le dos, en me souhaitant bonne nuit. Je remontais à ma place et lui répondait : « Bonne nuit ma chérie, fait de beaux rêves ».

Un mardi matin, Mathilde n’était pas de bonne humeur. Je lui demandais ce qui n’allait pas et elle me répondit furieuse :
"Ecoute Eric, ce n’est pas possible !
— Quoi ??
— Quant tu vas aux toilettes, tu pisses sans relever la lunette et résultat, le matin quand je m’assois, c’est Dégueulasse !
— Je suis désolé chérie, je vais y faire attention.
— Non, je ne vois pas pourquoi je pisse assise et tu ne pourrais pas en faire autant !
— Mais enfin ...
— Ecoute je suis chez moi, et je ne vois pas ce qu’il y a à redire !
— Tu as raison, abdiquais-je, si tu penses que c’est mieux.
— Bien sûr que c’est mieux ! Plutôt que d’avoir le cul salopé par ta pisse !"
C’était la première fois que je voyais Mathilde dans une telle furie et pour ne pas subir ses foudres, j’acceptais illico son ordre.

Très rapidement, par la suite, Mathilde m’imposa, avec la même facilité, de m’assoir également chez moi, afin de conserver, me disait-elle, cette règle d’hygiène et de bonne conduite. Ainsi, après un mois de vie commune, je n’avais plus l’occasion d’uriner debout. Mais aussi, comme Mathilde avait pris l’habitude de venir vérifier ma position, elle m’avait imposé de la prévenir lorsque j’allais aux toilettes. La porte devait rester ouverte. Les toilettes, étant dans sa salle de bain, elle finit par aller et venir indépendamment de ma présence sur les WC. Pour elle cependant, la salle de bain était toujours fermée à clé. Un jour, alors que j’avais une envie pressante et que je la suppliais d’ouvrir la porte, elle m’expliqua qu’une femme avait besoin de son intimité et que cela n’était pas difficile à comprendre.
Notre vie au quotidien était des plus merveilleuses. Je remerciais la chance d’avoir mis sur mon chemin une femme aussi compréhensive et pleine de vie. J’étais attentionné et j’adorais lui faire plaisir. Elle passait ses journée à écrire (oui, Mathilde est romancière) et après ma journée à l’atelier, je la retrouvais avec toujours plus d’entrain. J’étais amoureux et heureux de cette romance.
Un soir, alors que je terminais mon cunnilingus dans les soubresauts et les cris de jouissances de Mathilde, je me permis de lui demander, alors qu’elle s’était déjà retourné pour dormir, si elle ne désirait pas me faire une pipe, que peut-être cela donnerait de la vigueur à mon érection et que je pourrais la pénétrer. Elle se retourna avec vigueur et me lança d’un ton devenu subitement autoritaire :
« Ce n’est pas possible çà ! Je déteste çà et çà me fait extrêmement mal à la mâchoire ! En plus, je trouve cela dégradant ! »
Joignant le geste à la parole, sa main glissa à nouveau dans mes cheveux et fît fermement pression sur ma tête afin que ma bouche embrasse à nouveau son sexe. Je comprenais qu’il me fallait, comme elle me l’avait dit, simplement plus de temps pour trouver mon excitation. Alors, dans un soupir, j’entendis indistinctement la voix de Mathilde :
« Mmmh, ...voilà, c’est mieux comme çà ... »
Quelques temps plus tard, j’avais, pour prendre une douche, malencontreusement fermé la porte de la salle de bain, mais sans la verrouillée. Mathilde était alors entrée sèchement mais plutôt que de hausser le ton, me dit amoureusement :
« Eric, je ne comprends pas ta pudeur ! J’aime voir ton corps, il est agréable et bien proportionné. Je t’interdis de me le cacher, dit-elle en riant, tu n’as pas à en avoir honte, même si ton sexe n’est pas bien grand. Tu sais que je n’y attache pas beaucoup d’importance ! »
J’étais heureux de ce compliment et je réalisais que c’était la première fois que Mathilde me formulait de tels mots d’amour.
Aussi lorsque nous nous retrouvâmes au lit, je pus constater avec satisfaction, qu’une fois sorti d’entre ses jambes, je bandais convenablement. Mathilde était accueillante ce soir là et elle accepta que je la pénètre, malgré son commentaire taquin : « Quelle fougue ce soir ! »
Cependant, alors que j’étais allongé sur elle dans la position du missionnaire, Mathilde me repoussa le torse des deux mains. Je ne comprenais pas mais acceptait la position très cambrée qu’elle m’imposait, en plantant mes bras tendus dans le matelas. C’est alors que sa main droite plongea en direction de son sexe et qu’elle se mit à se masturber.
« C’est drôle, tu es un peu comme mon godemichet ». J’étais heureux et je pris sa remarque comme un compliment.

Nous étions désormais en été, et lorsque je rentrais du travail, elle me fit une surprise. Elle avait fait les boutiques et m’avait acheté des vêtements. Lorsque j’ouvris les paquets, je découvris tout d’abord un Marcel, bleu ciel. J’étais surpris car je ne portais jamais ce type de vêtement que je trouvais ringard. Le col rond descendait très bas et laissait apparaître largement les poils de mon torse et les fines bretelles me donnais l’impression d’être nu. Dans le deuxième paquet se trouvait un short en matière extrêmement légère et très ample (un peu comme un short d’athlétisme), en plus j’avais l’impression qu’il était légèrement transparent. Elle dû lire ma surprise sur son visage car Elle me dit sur un ton vexé et déçu : « si çà ne te plait pas, je les rends ! Mais je pensais te faire plaisir, il fait chaud et je trouve qu’ils t’iront très bien. » Je lui répondis un peu gêné que j’étais très touché de son attention, que ce premier cadeau me faisait très plaisir et que malgré ma surprise, j’allais les garder et que peut-être je les mettrais à la maison. Elle me sauta dans les bras, heureuse et me dis qu’au contraire nous allions fêter çà par une ballade. Elle me demanda donc d’enfiler ces nouveaux vêtements. Au moment de passer le short, elle m’arrêta et me dis que mon caleçon n’était pas nécessaire car cela faisait double emploi avec la résille qui se trouvait déjà dans le short. Malgré mes hésitations, son « allez fait moi plaisir » finit de me convaincre. Nous nous sommes donc retrouvé dans le bois de Vincennes, à nous balader, elle toujours très classe, dans ses habits Bourgeois-Bohême, et moi, un peu ridicule avec cette tenue qui me donnais la sensation d’être complètement nu. Elle marchait avec assurance et naturel à quelques pas de moi. Lorsqu’elle se rapprocha, je pensais que c’était pour m’embrasser mais sa main glissa dans la jambe de mon short et avec un grand sourire elle me prit directement le sexe. Je ne pus lâcher qu’un « Chérie » teinté de surprise et d’appréhension que l’on nous voit. Sous sa poigne, ma bite se mit à durcir et Mathilde me dit à l’oreille :
« Ne fait pas ta mijaurée, c’est tellement amusant, j’ai l’impression de sortir Myrtille et il me faut bien une laisse ! » J’étais tellement vulnérable que j’en restais les bras ballants. Lorsqu’un couple de jogger arriva à notre niveau, Mathilde s’écarta prestement, lâchant sa prise qui se retrouvait raide en dehors de la résille. Apeuré, m’approchant d’elle comme un animal terrifié dans un environnement hostile, je lui suppliais :
« Mathilde, tout le monde peut voir mon érection ! »
— Ne fait pas l’idiot, c’est naturel d’être excité en présence d’une belle femme comme moi !
— Oui mais les joggers ont vu mon sexe !
— Ne t’inquiète pas, je ne pense pas qu’ils aient été traumatisés par la vision. Même quand tu bandes ta bite n’est pas bien grosse et d’ailleurs elle dépassait à peine de ton short !..."
et elle se mit à rire, d’un rire qui me désarma complètement. Alors que nous nous remirent en route pour entrer à son appartement, je mis mes mains dans les poches de mon short afin de rendre cette érection plus discrète. Mais Mathilde ne l’entendait pas de cette oreille et exigea que je sorte mes mains, sous peine de prolonger la balade et l’humiliation. C’est donc aux vues de tous, que nous rentrâmes chez elle, sans bien sûr avoir échappé à quelques regards de travers et rires étouffés de passants.
J’étais obligé de me rendre à l’évidence sur ma situation. J’étais follement amoureux de cette femme et je sentais bien qu’étant donné mes piètres dispositions d’amant, je devais, pour la garder, accepter ses lubies. Je sentais naître en moi un sentiment bizarre, de perte d’indépendance virile mais qui me rassurait en même temps car Mathilde était toujours à mes côtés et je sentais qu’elle était attachée à moi. C’est justement cette période qu’elle choisit pour faire évoluer notre relation.
Un week-end où nous retrouvions tous les deux, elle décida de m’expliquer amoureusement ce qu’elle souhaitait pour moi :
"Eric, je veux que tu saches que j’ai fait preuve d’une écoute sincère lorsqu’au début de notre histoire tu m’as fait part de ton impuissance. Dans le fond j’étais triste, et j’ai cru que notre histoire s’arrêterait là. Mais j’ai fait un travail sur moi, et je pense qu’aujourd’hui je suis celle qui te comprend et qui sait quels sont tes besoins et tes désirs.
— Oh Mathilde je t’aime !
— Ne me coupe pas s’il te plaît, laisse moi finir ce que j’ai à te dire !
— Bien
— Je disais donc que je suis celle qui peut t’accompagner pour te révéler à toi même. Mais pour que notre relation est une chance de continuer, il me faut ta confiance. Es-tu prêt à me faire confiance, éric ?
— Mais oui ma chérie, je t’aime par dessus tout.
— Tout d’abord, tu m’appelles Mathilde et tu me vouvoies afin de marquer ton respect à l’égard de celle qui va coacher ta vie.
Son ton était posé et elle me disait ces mots avec franchise et naturel.
— Chérie, çà ne se fait pas ?
— Je t’ai dit Mathide et est-ce que çà se fait d’être avec une femme et de ne pas être capable de l’honorer comme il se doit ?
— Mais Mathilde ...
— Voilà qui est mieux. Il faut te rendre à l’évidence que j’ai des attentes comme n’importe qu’elle femme et que je veux bien faire un effort pour m’adapter mais il va falloir que toi aussi tu évolues. Cela me paraît naturel, non ?
— Oui bien sûr
— A partir d’aujourd’hui, je vais mettre en pension Myrtille chez des amis car je ne peux m’occuper de vous deux, il me faut du temps pour écrire ! Ensuite, je vaudrais que tu organises ton temps différemment et que tu ne travailles à l’atelier que l’après-midi afin de prendre soin de notre couple le matin. Et je voudrais que l’on mette cela en place dès aujourd’hui.
— Je comprends Mathilde, que souhaitez-vous que je fasse ?
Ce vouvoiement m’avait fait l’effet d’une douche froide, mais dans le fond je trouvais cela romantique.
— J’aimerais que tu viennes à mes genoux pour me demander çà, comme le ferait un prince à son amoureuse.
Elle était assise à son bureau et fît pivoter son fauteuil d’un quart de tour. Son regard était plein de contentement.
Je me levais de mon siège et allais me positionner à genoux devant elle. Elle me caressa doucement les cheveux.... Zone Abonnés

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