La destinée sulfureuse d’une petite chienne en devenir 1
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Mon récit débute le jeudi 27 octobre 2011 en début de soirée lorsque je rentre du travail. En poussant la porte d’entrée de ma maison je constate que ma compagne, Sophie, a préparé une valise qui attend patiemment son départ. Je me dis : « Mince, ma chérie doit avoir un déplacement professionnel imprévu et nous allons pas pouvoir profiter de l’absence des enfants qui passent les vacances de la Toussaint chez leurs grands- parents. »
Je monte l’escalier, pousse la porte de la salle de bain et trouve ma chérie finissant de s’apprêter dans une tenue que je raffole. Elle porte ses belles bottes noires, ses collants en laine avec une petite jupette grise et un joli chemisier d’une blancheur éclatante. Elle se tourne vers moi et me dit froidement :
« Mon chérie j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle à t’annoncer ! Je commence par laquelle ? »
Surpris par le ton de la voix de Sophie, je pâlis d’angoisse et lui réponds fébrilement :
« Par la mauvaise. »
Elle rétorque immédiatement :
« La mauvaise qui en réalité n’en n’est pas forcément une pour toi car je suis sûr que cela va t’exciter de savoir que je vais passer ce week-end avec un amant. Un bel homme qui me fait des avances depuis pas mal de temps. »
Pas le temps d’apprécier le terrible coup de massue qu’elle venait de m’asséner, qu’elle rajoute froidement :
« La bonne c’est que je t’ordonne d’aller immédiatement mettre ta tenue de petite chienne pour venir préparer ta maîtresse à passer un délirant week-end »
Malgré la vive douleur de cette nouvelle déconcertante ma verge devient d’une raideur vertigineuse et je ne peux que répondre à l’injonction de ma compagne bientôt adultère. Il faut que je vous précise que nos jeux amoureux s’accomplissaient avec plus de ferveur voluptueuse lorsque qu’elle acceptait de prendre le rôle d’une maîtresse et qu’elle m’ordonnait de lui honorer ses pieds. Pour rendre nos ébats encore plus grisants, elle m’avait acheté une chainette pour mettre autour du cou et un string que je devais enfiler pour incarner le rôle qui m’excitait le plus. Mais tout ce cérémonial de soumission me procurait d’extraordinaires érections dont ma compagne pouvait profiter en accueillant dans son intimité un braquemart qui l’emmenait quasiment à coup sûr au septième ciel ou tellement proche. Une fois pénétrée amoureusement en elle, elle décidait le moment de mon éjaculation et donc de son extase suprême en titillant avec un de ses petits doigts mon anus terriblement sensible. Cette façon de faire l’amour nous comblait tous les deux, moi en développant mes travers de soumission et elle en orchestrant magistralement l’arrivée de son orgasme. Mais avait-on atteint une certaine lassitude pour que brutalement ma compagne accepte l’offre immorale d’un amant ? En tout cas, ce n’était pas le temps de tergiverser et dans une excitation incomparable je vais me mettre dans la tenue demandée.
Quand je me représente à elle, elle est assise sur son fauteuil de travail et elle m’ordonne de lui retirer ses bottes et de lui lécher les pieds. Au bout de cinq bonnes minutes de léchage, elle me dit :
« Ma petite chienne, je veux que tu viennes passer ta tête sous ma jupe et que tu viennes préparer mon minou à de délirants instants. »
Totalement surexcité avec un pénis débordant du string, je glisse mon visage le long de ses bas et passe ma bouche sous sa jupe courte et je constate qu’aucune barrière de tissu n’obstrue l’entrée de son éden jubilatoire. Quelle surprise quand ma langue commençant son exploration vaginale constate que du sperme est encore présent dans l’intimité profonde de mon amour. Instantanément Sophie m’enserre la tête de ses deux mains me dit perversement :
« Ma petite chienne, je veux que tu es le goût du laitage de mon amant afin que tu puisses t’imaginer ma joie des délices que je vais recevoir pendant mon absence. »
Et là ni tenant plus, l’excitation étant à son paroxysme ma verge déverse à son tour de belles giclées sur le carrelage. Sophie constatant ma déchéance sensuelle me repousse se lève, prend son manteau, sa valise et me dis en partant enjouée de la tournure des évènements :
« A dimanche soir si tu acceptes encore de me partager… »
Elle me laisse totalement anéanti, allongé sur le sol du bureau, mon sexe dégoulinant encore de sperme chaud. Je m’en voulais de m’être laissé submergé par ses désirs pas conventionnel et de plus j’étais atterré de voir que malgré la réalité dramatique qui me tombait dessus j’étais brûlant de désirs. Je me sentais devenir une vraie petite chienne dépravée. Mon sommeil fut rythmé par de longs sanglots et par d’intenses érections. Mais mon raisonnement d’amoureux trompé pleurant amèrement sa déconvenue était régulièrement absorber par la pensée de savoir ma compagne enlacée dans les bras d’un autre et de jouir avec le sexe d’un autre. Cette humiliation me procurait des sensations fortes et irrésistibles. A bout de forces psychiques et morales je parviens à m’endormir mais le réveil est brutal et le rappel de la dure réalité des choses me fait de nouveau fondre en larmes.
Cependant, il y a encore une journée de travail avant le week-end et le fait d’aller travailler me fera peut-être oublier, pour quelques heures, mes idées noires, sombres et cependant voluptueuses. Je me dépêche de prendre une douche presque froide pour tenter de ramollir mon sexe qui continuait de pointer sa fierté malgré ma détresse affective. J’avale ensuite un maigre petit déjeuner, le seul qui peut cohabiter avec le terrible nœud de mon petit estomac. Puis, je sors en prenant au passage dans la boite aux lettres, le journal du jour amené pendant la nuit par un porteur. Quelle ne fût pas ma surprise que de voir qu’une belle enveloppe accompagnait ma presse habituelle. Je l’ouvre fiévreusement et je découvre une dizaines de photos de ma compagne dans des positions niant toute fausse hypothèse sur le plaisir évident qu’elle prend dans les bras d’un autre. Je la vois se faire pénétrer dans différentes positions avec sur son visage une expression de sublime contentement. Mais le photographe a toujours pris soin de mettre en avant mon épouse adultère et je n’ai pas accès au visage de mon terrible concurrent.
Inutile de vous dire que ce courrier continue de faire vivre cette incroyable ambiguïté intérieure d’un cœur qui saigne et d’une queue qui danse. J’étais effondré et en même je ressentais une profonde jouissance de cette humiliation. Tant bien que mal je range les photos dans l’enveloppe et les laisse dans la boite aux lettres car il n’était raisonnable de les emmener au boulot. Je travaille dans une administration et quelques personnes connaissent Sophie. Malgré mon abattement je presse le pas pour ne pas rater mon bus. Ma journée de travail se déroule pas trop mal sans tenir compte des quelques remarques narquoises de mes collègues sur les cernes bien marqués de mon visage.
Il est onze heures du matin quand la sonnerie de mon portable retentit. Je sors du bureau et vais dans la cage d’escalier pour répondre à cet appel en toute discrétion d’autant que le numéro de l’appel est secret . Une voix féminine avec un accent des pays de l’est me dit :
« Mr Reingalau, bonjour, je suis Sarah Anatlus, je suis détective privé et voudrait vous entretenir à propos de photos vous concernant. » Sans me laisser le temps de reprendre mon souffle, elle poursuit : « j’ai un planning très chargé et l’idéal c’est de se retrouver à seize heures au bout de la rue des mariniers dans votre commune de Vancay pour que je vous informe de certains faits. »
Reprenant mes esprits, je lui réponds douloureusement : « Si c’est pour m’informer de la tromperie de ma compagne, c’est trop tard ! »
Elle me répond sèchement : « Mr Reingalau ce que j’ai à vous dire et à vous montrer dépasse le simple cadre d’un adultère et je vous conseille fortement d’être au rendez-vous sous peine de graves problèmes. Je vous laisse et vous dis à tout à l’heure à seize heures précise. »
Sur ce, la communication s’interrompt et me laisse totalement dubitatif et mes pensées vont bon train : « Qu’est-ce que cela signifie ? Comment cette femme a eu mon numéro de portable ? Que veut-elle me montrer ? Pourquoi depuis ces dernières heures le calme routinier de ma vie a été complétement rompu ? » L’enchainement de toutes ces interrogations réussi à remettre en branle ma verge qui est toujours partante pour ressentir des sensations fortes. Déboussolé par ce coup de téléphone et en étant dans une santé mentale fragile, je me remets à laisser échapper des larmes. Plus l’amertume m’envahissait plus mon désir grandissait et je décide donc en regagnant mon bureau de demander une sortie anticipée afin de pouvoir être à l’heure au rendez-vous fixé par mon étrange interlocutrice.
Inutile de vous dire que le repas du midi fut sans grand appétit et c’est le coca que je bois à profusion qui me donne l’énergie nécessaire pour réaliser mon travail convenablement. Ma demande de récupération de mon crédit d’heure étant acceptée, je quitte mon lieu de travail à quinze heure et prend le bus de 15H22 pour me rendre à l’arrêt le plus proche de la rue des mariniers. Je connais bien cette rue de ma commune d’adoption car en logeant le Cher elle nous conduit en dehors de la ville et j’aime m’y promener pour profiter de balades apaisante dans une luxuriante nature au bord de la rivière. En effet la fin de la rue des mariniers marque le début d’un sentier qui serpente au bord de l’eau dans une faune sauvage et aquatique. Il est 15H55 quand je me trouve juste à l’endroit où le goudron s’arrête et laisse la place à un sentier pour marcheur ou pêcheur. En ce cœur d’automne, le plafond du temps est bas et un léger brouillard commence à prendre ses aises sur le Cher. L’endroit est désert et je commence à me demander ce que je suis venir faire dans cette énigmatique galère. Le fond de l’air frisquet a réussi à calmer quelque peu les ardeurs de mon membre reproducteur au contraire l’angoisse de l’attente m’étreint fortement. Il est juste seize heure quand je reçois le texto suivant :
« Mr Reingalau vous êtes a l’heure, c’est bien ! Je vous demanderai d’avancer sur le sentier pédestre jusqu’à mon prochain appel. Sarah Anatlus. »
Ce message codé dégrippe mon phallus et c’est avec une belle bite gonflée que j’avance sur le chemin en terre. Milles interrogations se bousculent dans mon esprit mais j’avance mécaniquement conquis par l’inconnu de cette escapade. J’ai bien parcouru un bon kilomètre quand la sonnerie de mon portable retentit. LIRE LA SUITE
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