Le dressage de Tuli -2-

Chap 2 Le baptême
dimanche 29 janvier 2006
par  Master Leten
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Je me prénomme Elise, je vais sur mes 23 ans et je suis une dominatrice. Je suis une blonde aux yeux noirs mais pas vraiment belle. J’ai un visage quelconque et un corps du même acabit, c’est—à—dire que personne se retourne sur mon passage dans la rue et si d’aventure un homme le faisait tout de même, mes fesses plates aurait sûrement tôt fait de lui faire reprendre sa route.

Mais je m’en fiche parce que les mecs ne m’intéresse absolument pas, par contre leurs copines c’est une tout autre histoire. J’ai compris très tôt que j’étais lesbienne et le manque d’entrain qu’à toujours mis la gente masculine à me poursuivre de ses assiduités m’a sûrement aidé à l’accepter paisiblement. Je n’ai jamais connu ne serait—ce qu’un baiser d’un garçon, et je ne suis plus vierge aujourd’hui c’est que dans ma première année de lycée ma petite amie, une jolie brune, me dépucela à l’aide d’un gode.

Cependant je mis plus de temps à comprendre que je prenais mon pied à dominer mes partenaires. Il était difficile de trouver des partenaires qui aimaient être dominés, se placer entièrement sous ma coupe. La plupart qui acceptait de m’être soumise m’imposaient des limites bien trop élevées me laissant souvent frustrée après nos ébats. Mais Hélène, ma douce Tuli, changea tout ça…


****

Quel plaisir de se faire lécher les pieds par Hélène !

Les asiatiques perçoivent les pieds comme tout aussi érogènes que le sexe ou les seins et sur ce point je suis on ne peut plus d’accord avec eux. J’adore me faire lécher les pieds, sucer les orteils même quand cela ne rentre pas dans le cadre de la domination de ma partenaire. Mais là le plaisir de la langue d’Hélène sur mes pieds m’amenait au bord de l’orgasme.

Elle était là, son superbe culs relevé, son adorable torse et son merveilleux visage plaqués au sol, les mains dans le dos et je l’observais avec bonheur faire des efforts méritoires pour arriver à caresser la plante de mes pieds du bout de sa langue. Elle était tout simplement sublime dans cette position et je décidais de le lui la faire adopter le plus souvent possible.

Je finis tout de même par ôter mes pieds de devant son visage avec regret, elle commençait à fatiguer et j’avais encore beaucoup de projets pour elle dans les heures à venir.

— Tu es une bonne lécheuse de pannards, Hélène, mais je n’ai jamais eu aucun doute là dessus, lui dis—je.

Elle avait les yeux fermés et ne les ouvrit pas, mais je vis ses joues rosir délicatement, rajoutant encore à la séduction de ma belle camarade de classe. J’avais envie de l’embrasser, de la serrer contre moi, de lui faire l’amour et de lui murmurer des mots doux à l’oreille. Mais je ne pouvais pas me le permettre, pas encore du moins. Je l’avais humiliée et rabaissée comme jamais elle ne l’avait été jusque là, mais je n’avais pas encore brisé suffisamment son caractère pour qu’elle me soit définitivement soumise. Je voyais parfaitement qu’elle était encore partagé entre rebellions face aux traitements que je lui faisais subir et peur que suscitait mon petit chantage. Elle ne me serait totalement soumise seulement quand ses deux sentiments auraient disparus et remplacés par le seul désir d’être dominé par moi, et j’avais jusqu’à dimanche soir pour y parvenir.

Je me levais du lit pour faire le tour de ma belle larve qui se tenait à mes pieds et je me plaçais derrière sa majestueuse croupe, caressant tendrement les deux beaux globes de chair. Mais l’objet de toutes mes convoitises se trouvait dans le sillon qui les séparait. Son sexe état le plus beau que jamais vu, c’était une pensée étrange certes mais cela n’en était pas moins vrai. Il était fin et délicat tout comme l’était le visage de sa propriétaire. D’ailleurs il n’y avait rien en Hélène qui ne soit pas parfait, de ses mignons orteils jusqu’à son ravissant petit nez, tout en elle approchait la perfection. Même sa poitrine menue était exquise en tout point. Une autre aurait été peut—être jalouse qu’une telle perfection puisse exister sur une de ses semblables, mais pas moi, et au contraire j’en étais ravie… puisque j’allais posséder ce joyau.

Et sa possession était en bonne voie. Je fus au comble du bonheur quand j’aperçus l’abricot tellement débordant du plus divin des breuvages dont les cuisses de ma charmante soumise étaient dégoulinantes. Jusque là j’avais eu la terrible appréhension de ne trouver qu’un sexe aussi sec que le sahara. Ca aurait été la chose la plus terrible au monde pour moi, car cela aurait voulu dire que quoique je fasse, jamais je n’aurais pu faire d’elle mon esclave malgré mes belles paroles. J’aurais alors du la libérer et la laisser partir. Mais là, Hélène comblait mes espérances les plus folles, elle prenait plaisir à sa propre déchéance : elle était la soumise parfaite. LIRE LA SUITE




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