Les claquantes giboulées du printemps

jeudi 5 mars 2020
par  Sylvain de Perry
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Pour moi le Printemps (la saison pas le magasin) est propice à toutes les turpitudes possibles et imaginables. Agé de vingt-cinq ans, je me prénomme Augustin, cheveux châtains, yeux marrons, nez droit, bouche aux lèvres sensuelles, menton carré. Je suis cent pour cent bisexuel. Ma taille d’un mètre soixante-douze, mes torse et ventre athlétiques plaisent aussi bien aux femmes qu’aux hommes. Vous connaîtrez mes détails intimes quand je serai à poil.
Ce soir, à 22h00, je décide de sortir pour aller à mon Club. Je passe un string de cuir souple, une chemise blanche simple, pantalon de cuir noir qui me moule comme une seconde peau, veste en daim.
Même si la Maire de Paris fait tout pour diminuer les voitures dans Paris, sauf son 4x4 et ceux de certains de ses adjoints, même les écolos, qui se cachent bien sûr, je décide d’y aller avec ma Lexus, plus pratique pour rentrer à Neuilly dans la nuit ou au petit matin si je découche.
Quand je suis rue de Ponthieu, je confie ma voiture au voiturier de la boîte de nuit. En fait celle-ci est divisée en deux parties distinctes. Une pour tout le monde, l’autre, 100% privée. La cotisation de 3000€ annuels permet de sélectionner la clientèle.
Je compose le code qui ouvre la lourde porte d’accès. Le videur me salue, m’informe :
— Il y a peu de monde ce soir, Augustin. Par contre un jeune couple s’est inscrit, le patron est avec eux, au bar.
Il me déverrouille la porte d’accès à la salle. Comme le maître d’hôtel s’avance vers moi, je lui dis :
— Bonsoir Alain, réserve-moi une table tranquille, je vais voir les nouveaux qui sont avec Robert.
— Bonsoir Augustin. Ce sera champagne ?
— Je te dirai. Laisse-moi les découvrir.
— Les deux devraient te plaire.
Ici tout le monde se tutoie, pas d’inutiles courbettes.
Je vais directement au bar, salue d’un signe les présents assis dans la salle.
Robert, le patron et Président de notre Club, quitte son tabouret à mon approche, nous nous embrassons sur la bouche. Il pose sa main sur mon cul, me présente :
— Augustin, le secrétaire-général de notre Club. Voici deux nouveaux adhérents, Agathe et Patrick.
La jeune femme, blond cendré au visage angélique, me plaît d’emblée. Le garçon me trouble avec ses yeux noirs qui me fixent, me jaugent comme si j’étais du bétail. Manquait plus que ça !
Pour m’en sortir, je propose :
— Venez à ma table. Du champagne ou une autre boisson ?
Agathe sourit, dit :
— Parfait du champagne. Ça te va, chéri ?
— Bonne idée.
Je fais un signe à Alain qui nous rejoint :
— Champagne, Alain.
— Tout de suite. Je t’ai installé table n°8.
— Merci !
Je m’efface pour laisser Agathe passer devant moi, précède Patrick. Comme si nous nous étions passé le mot, nous portons tous trois un pantalon de cuir. Mes yeux s’attardent sur la croupe d’Agathe, moulée dans le cuir. Je tourne brusquement la tête et voit les yeux de son compagnon fixés sur le mien de cul. La fin de soirée s’annonce bien. Je ne regrette plus d’être sorti. Le Printemps, peut-être, propice à la montée de sève.
Nous commençons par parler de nous. Puis, très vite, Patrick entre dans le vif du sujet :
— Qu’est-ce qui te plaît en nous ?
— Le cul de ta compagne.
Je croyais le démonter par ma franchise, loupé. Il me répond :
— Moi, c’est le tien.
Et pour le prouver, comme nous sommes assis côte à côte, sa main gauche passe dans mon dos, se pose sur mes fesses, les pelote sans ambages. J’ai l’impression, malgré la finesse apparente de sa dextre, qu’il prend complètement possession de mon cul
Agathe, qui a vu le geste de son mari, reste de marbre.
Pour ne pas perdre contenance, je prends ma coupe et avale le contenu, du Moët et Chandon, j’adore l’Epernay, d’un seul coup, d’un seul.
Patrick continue de mener le débat, commande :
— Chérie, puisque c’est ce qui l’intéresse en toi, lève-toi, baisse ton pantalon. (A moi). Ça te convient ?
— Tout à fait. Mais pas ici. Allons dans un studio privé.
Il faut vous préciser que dans ce Club, tout est permis. Mais, sauf pour un ou une exhib, je préfère aller dans un des studios du sous-sol :
— Suivez-moi !
Patrick délaisse temporairement mes fesses. Alain, qui a compris, s’approche avec un plateau, dit :
— Le grand studio 3 est libre, à ta disposition.
Pendant qu’il prend verres et seau sur la table, je vais vers le bar, prend la clef 3 sur le tableau derrière la caisse, passe la porte que j’ai déverrouillée en appuyant sur le bouton de contact en bas du tableau. Un petit palier, puis l’amorce de l’escalier. Le couple me suit. Au sous-sol, un couloir avec six portes numérotées et en vis-à-vis. J’ouvre la 3.
Le studio fait cinquante mètres carrés avec, outre un espace douche, deux fauteuils, une chaise à haut dossier droit, un canapé convertible, le tout en cuir, une croix de saint André, un pan de mur où sont fixés des martinets, gants de cuir, une longue table où reposent plugs et godes de toutes tailles, tube de gel et préservatifs à emballages individuels, les deux autres murs sont recouverts chacun d’un grand miroir.
Notre Club est plutôt orienté S. M.
Alain dépose le plateau sur la partie vide de la longue table, nous désigne nos verres respectifs, explique aux nouveaux :
— Si besoin vous avez un réfrigérateur. Pour du champagne, vous le demanderez par le téléphone près de la porte.
Il nous quitte. Par précaution je verrouille la porte dans son dos par le loquet sous la clenche, tend les verres au couple,
Je m’assieds dans le canapé, Patrick à ma droite. Il remet illico sa main sur mon cul.
Après avoir bu un peu de son verre, Agathe se lève, le dépose sur le plateau, se place face à nous, déboutonne son pantalon, s’arrête là. La main de Patrick se fait plus pesante sur mon derrière :
— Si elle le baisse, tu en feras autant après. Toujours d’accord ?
Je déglutis, accepte :
— Oui.
Patrick ajoute :
— Quand elle sera cul nu, je te donnerai une fessée. C’est notre prix.
Je rétorque :
— C’est cher.
— Peut-être, mais tu peux encore refuser. Nous nous quitterons bons amis. Nous pourrons même nous revoir une autre fois…
La main de Patrick quitte mon cul, va directement sur ma bite bandée, la serre au travers du pantalon :
— … Vu ton état, tu devrais accepter.
Sa main ne bouge pas. Je capitule
— J’accepte.
— Sois plus précis.
— J’accepte… Que tu me donnes… Une fessée.
Agathe baisse son pantalon sur un signe de Patrick, se retourne. Lui dit :
— Regarde ce beau cul. Te plaît-il vraiment ?
Le derrière est superbe, bien rond, musclé.
Patrick poursuit plus sèchement :
— Agathe, à poil. (A moi) Après ta fessée tu pourras le caresser voire plus. Mais n’allons pas trop vite. A toi !
Je me lève, face à Sophie, nue maintenant, fesses vers Patrick, ôte ma chemise que je jette sur un fauteuil libre, baisse mon pantalon.
Je n’ai pas honte de mon derrière que je trouve un peu gros, mais il est musclé. Patrick claque de la langue sur son palais, quitte la canapé, m’ordonne d’un ton de commandement :
— A poil ! LIRE LA SUITE


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Commentaires

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samedi 14 mars 2020 à 17h10 - par  Sylvain

MILLE MERCIS à Christine pour le choix de la photo illustrant ce récit printanier. Sylvain.