Plaisir d’exhibition

mardi 13 février 2007
par  Crabou
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Il fait très beau en ce soir d’été. Nous avons décidé de passer un week-end de détente et de plaisir. Je voulais revivre une soirée similaire à celle que nous avions vécue dans cette ville il y a deux ans.

J’ai envie de prendre un pied d’enfer et donc pour cela de faire monter la pression pendant toute la soirée pour finir en apothéose. Pour aller souper ce soir, j’ai mis une courte jupe blanche taille base très moulante puis qui s’évase en un grand volant à partir du milieu des fesses et un peu transparente laissant entrevoir mon string d’un beau vert. Elle met bien en valeur mon merveilleux cul. Mon chemisier est blanc également et encore plus léger, voilant à peine mes seins. Une paire d’élégantes chaussures à haut talon complète ma tenue et amplifie la cambrure de mes reins.

Nous sommes dans un restaurant assez sélect en train de siroter notre apéro et d’examiner la carte. Après avoir passé commande, je me lève et me rend aux toilettes situées à l’autre bout de la salle. Quelques regards me suivent. J’en revient très vite et en approchant, je vois l’air intrigué de mon mari : j’ai une main grande ouverte et l’autre fermée et semblant contenir quelque chose. Arrivée près de lui, je tend la main et lui dit :

— Mets cela dans ta poche en déposant mon string dans sa main tendue.

Je me rassois en prenant soin de relever l’arrière de ma jupe pour que mes fesses soient en contact direct avec la chaise. Je me sens déjà excitée alors que la soirée ne fait que commencer.

Après avoir mangé l’entrée, je me penche pour prendre une boîte dans mon sac. Au passage, cela donne l’occasion à mon mari de plonger son regard dans mon décolleté et il ne s’en prive pas.

— Ouvre là

Deux boules de geisha apparaissent.

Tu sais ce qu’il te reste à faire me dit mon mari. Je me lève à nouveau, prends les boules en main sans vraiment les cacher et me rends à nouveau aux toilettes. Lorsque j’en reviens, j’ai cette fois les mains grandes ouvertes, ne laissant aucun doute aux convives attentifs quant à l’endroit où se trouvent maintenant les deux boules. Ma démarche s’en trouve d’ailleurs modifiée car je roule plus les hanches pour profiter mieux des sensations que me procurent ces petites boules.

Pour le désert, je décide de terminer d’adaptation de ma tenue. Une nouvelle boîte tendue à mon mari contient cette fois un collier à fixer au tour du cou et qui se prolonge par 4 petites chaînes terminées chacune par une petite pince.

A la toilette, je me caresse un peu puis pose une pince sur chaque téton. Cela fait un peu mal mais la sensation sera bien plus grande quand Jean me les enlèvera. C’est maintenant au tour de mes petites lèvres de recevoir leurs pinces. Je rajuste ma jupe et laisse les trois boutons supérieurs de mon chemisier ouverts. La chaîne qui plonge entre mes jambes est ainsi bien visible et mes seins seront découverts chaque fois que je me pencherai.

Lors de mon retour dans la salle, j’avance sans me presser pour apprécier les regards qui se coulent dans mon décolleté ou collent à mes fesses. Une fois assise, je pose un pied nu sur l’entrejambe de mon mari pour vérifier que mon scénario lui fait bien de l’effet. C’est le cas.

Le souper se termine.

— Allons danser un peu. Je connais une boîte où l’on peut s’exercer à la Samba.

L’ambiance est bien lancée quand nous arrivons. Très vite, un homme m’invite à danser et je ne décollerai quasi plus de la piste. La chaleur aidant, mon chemisier épouse encore plus fidèlement ma poitrine, mettant en évidence aussi les pinces qui la décorent. Lors de certains mouvements, ma jupe virevolte dévoilant le bas de mes fesses.

A un moment, mon cavalier me plaque contre lui et m’entraîne dans une série de mouvements de hanches très appuyés. Heureusement que la musique couvre mes gémissements que j’étouffe aussi en me mordant les lèvres car mon sexe n’a pas résisté à l’effet ravageur des boules de geisha et un violent orgasme m’oblige à m’accrocher à mon cavalier pour ne pas tomber.

Lorsque je m’arrête pour reprendre mon souffle, je constate que mon mari est aussi très excité car son pantalon léger ne cache pas sa superbe érection.

— Avant de rentrer si nous allions prendre un dernier verre dans un café un peu particulier dont j’ai entendu parler.

Nous entrons et prenons place sur une banquette. Tout est peint en noir et quelques couples portent des tenues fétichistes, d’autres sont habillés plus classiquement bien que généralement relativement sexy tout de même. Nous commandons à boire et sirotons notre verre en observant les autres personnes présentent. Lorsque nos verres sont vides, je me penche vers Jean et lui glisse discrètement dans l’oreille.

— Demande moi d’enlever mon chemisier et d’aller commander deux autres verres au bar.

Il prend la carte, l’examine un moment puis à voix bien haute pour être sûr d’attirer l’attention des gens autour de nous m’ordonne d’abandonner mon chemisier puis d’aller commander deux cocktails sans me demander mon avis sur ce que je veux boire. Je m’exécute bien volontiers. Je tire une véritable jouissance devant le regard étonné des gens sur ma façon d’afficher aussi ouvertement ma soumission et mes seins en public. L’effet est encore plus grand quand ils découvrent les pinces qui ornent les tétons et la chaîne qui plonge entre mes jambes, suggérant qu’elle se termine elle aussi par des pinces attachées à un endroit encore plus sensible.

Nous buvons alors notre verre tranquillement. Certains nous regardent ouvertement, d’autres à la dérobée uniquement. Une fois ou deux, je me rends aux toilettes, juste pour avoir le plaisir de déambuler torse nu dans la salle.

— J’ai envie de rentrer, appelle un taxi.

Jean m’annonce qu’il arrive dans deux minutes.

— Sortons déjà, nous l’attendrons sur le trottoir.

Mon mari me tend mon chemisier.

— Non garde le !


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