Chapitre 12

Les jours semblaient passer comme dans un rêve, un rêve merveilleux et glorieux. Parfois, je ne savais pas comment je m’en sortais, ma bite me faisait constamment mal après avoir baisé mes filles de toutes les manières imaginables. Monique et Emily étaient des amours absolues.
Monique était tellement en besoin et désespérée qu’elle devenait l’esclave parfaite. Elle était obéissante et mendiait toujours ma bite, malgré le fait que je devais la punir constamment pour avoir recherché ses propres plaisirs. Peut-être que je n’étais pas un Maître aussi dur que j’aurais dû l’être. Je suppose que je ne suis pas allé assez loin pour la remettre à sa place, mais je ne pouvais pas m’en empêcher, j’adorais la façon dont elle devenait si désespérée de désir qu’elle aurait fait n’importe quoi pour moi et je ne pouvais pas m’en empêcher. Emily, elle, avait encore du chemin à faire, mais je l’aimais quand même. J’adorais l’avoir en laisse rampant derrière moi, je savais que cela l’humiliait complètement d’être traitée comme un animal de compagnie, et je l’utilisais à mon avantage chaque fois que je le pouvais. J’adorais la façon dont son visage rougissait de honte chaque fois que je trouvais quelque chose qui l’atteignait vraiment. J’aimais la façon dont ses yeux se remplissaient de larmes d’humiliation et la faisaient bouder.
Jim était en retard alors j’allumai la télé et m’assis sur le canapé, nous n’avions vraiment rien de prévu, non pas que nous ayons besoin de beaucoup d’encouragements pour trouver de nouvelles choses à faire avec nos filles. J’ai fermé les yeux et je me suis endormi pendant quelques instants, les filles m’occupaient complètement et j’avais besoin de tout le repos possible. Je me suis réveillé en sursaut quand j’ai entendu frapper à la porte. J’ai titubé du canapé et j’ai réussi à me calmer au moment où j’atteignis la porte d’entrée.
« Hey Buddy ! »
Un large sourire remplit le visage de Jim quand j’ouvris la porte. Tara se tenait derrière Jim, des bandes de cuir sillonnaient son visage et avait un bâillon entre ses dents, de la bave coulait sur son menton et j’adorais le petit anneau doré dans son nez, la façon dont il scintillait au soleil, ça m’excitait tellement.
« Bonjour salope, je parie que tu es contente d’être de retour. »
J’ai attrapé le mamelon de Tara et je l’ai tirée à travers la porte, elle a gardé les yeux fixés sur le sol. Je pense que Jim avait été assez occupé à l’entraîner. Tara avait les mains liées derrière le dos, il y avait un épais collier de cuir noir autour du cou et des menottes aux poignets et aux chevilles. C’était une fille tellement magnifique et j’ai senti ma bite sursauter rien qu’en la regardant. Jim claqua des doigts et Tara tomba à genoux sur le sol, ses yeux étaient écarquillés et magnifiquement encadrés par le bâillon qui traversait son visage.
« Tu as besoin d’utiliser la salope ? »
Jim posa sa main sur la tête de Tara, ma bite se tendait contre mon short.
« Non, non, pas maintenant, plus tard. »
Je serrai le sein de Tara dans ma main et enfonçai profondément mes doigts dans sa chair.
« Où sont tes filles ? »
Jim regarda dans l’entrée et dans les pièces de devant.
« Oh, elles dorment toujours dans leurs cages, tu veux aller les voir ? » J’ai regardé Tara. « Je pense que tes copines ont besoin de quelqu’un avec qui jouer. »
Jim sourit, je pouvais voir les seins de Tara frissonner alors qu’elle essayait de ne pas me regarder, même si je savais qu’elle le voulait désespérément.
« Ouais, allons les voir. » Jim attacha une chaîne dorée à l’anneau de nez de Tara et tira doucement. « Lève-toi connasse. »
Tara se releva péniblement, c’était une fille tellement adorable, elle avait une si belle forme au niveau des hanches et de si longues jambes magnifiquement effilées.
Jim s’est déplacé vers l’avant de notre petite procession en tirant légèrement sur la chaîne dorée attachée à l’anneau de nez de Tara, la tirant vers l’avant. Tara avait des talons qui devaient mesurer bien 12 cm qui la forçait à faire de petites enjambées pour maintenir son équilibre. J’étais derrière elle, regardant la belle fille bouger aussi gracieusement qu’elle le pouvait compte tenu de la situation. Jim nous a conduits dans ma chambre. Je n’ai pas pu m’en empêcher, j’ai tendu la main et ai passé mes mains sur le cul de Tara, je pouvais l’entendre gémir alors que ma paume rugueuse et calleuse se déplaçait sur sa peau lisse.
« Où sont-elles ? »
Jim regarda autour de lui, les filles n’étaient nulle part en vue.
« Par ici. »
Je me dirigeai vers la porte du placard et l’ouvris soudainement, quand la lumière frappa les cages, mes filles commencèrent à prendre vie. Emily était roulée en boule sur le sol, ses cheveux tombant en cascade sur ses épaules alors qu’elle était enveloppée dans une position fœtale. Les yeux de Monique papillonnèrent et me regardèrent, il y eut un instant de choc dans son regard quand elle me vit, puis Jim et Tara se tenant là. Elle se mit rapidement sur ses mains et ses genoux et baissa la tête pour fixer le sol.
« Bonjour Maître. »
Des marques rouges sillonnaient le dos de Monique là où le haut de son corps s’était appuyé contre les côtés de la cage à ossature métallique.
« Bonjour salope. »
J’ai passé ma main à travers les barres de métal et j’ai frotté son front, repoussant les longues mèches de cheveux hors de ses yeux. J’ai dû taper sur la cage de Lisa pour la réveiller, il y avait une confusion évidente dans ses yeux alors qu’elle reprenait lentement conscience, je savais qu’elle ne savait pas trop où elle était au début, mais cela a changé rapidement alors qu’elle me regardait à travers le travail de la charpente métallique. LIRE LA SUITE