La chambre de la mère

Par Serge Frapart
mardi 8 septembre 2009
par  Collectif, Serge Frappart
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Pendant que Maître Torti découvrait les affres bienheureuses de la sodomie, Danièle vient se réfugier dans sa chambre. Le désordre qu’elle découvre lui fait monter le rouge aux joues. Elle si pointilleuse sur le désordre dans son univers est toute angoissée de trouver ses tiroirs ouverts et vidés. Ce qui lui fait tourner les sangs c’est surtout celle qui s’en prend à ses affaires, Amélia est à genoux devant le tiroir de son armoire normande et inspecte les coffrets un à un. En effet cette Amélia, après avoir vainement fouillé la chambre d’Adrien, s’en est prise à celle de son amie, en effet quelle cachette plus originale pour un mari pervers que d’enfouir cette clé dans les affaires rarement bougées de son épouse. Elle n’a pas entendu la maîtresse de maison arriver dans son dos, son attention est centrée sur ce qu’elle trouve mais qui ne ressemble aucunement à une clé de coffre-fort.

Danielle est déçue du comportement de son amie, elle qui ne lui cache rien de ses états d’âme, venir fouiller ainsi dans son intimité ! Elle ressent l’impression d’un viol, un viol psychologique qui accentue les brûlures du fouet encore présentes sur ses fesses. Cela la met en rage et d’une seule foulée attrape la touffe luxuriante des cheveux roux d’Amélie. Elle tire et l’entraîne loin de l’armoire malgré les cris de surprise et de douleur de la propriétaire.

— De ta part ma chérie, je trouve cela révoltant, tu es la dernière à laquelle je m’attendais venir fouiller dans ma chambre !

— Mais ma brave, tout est permis a dit ton mari, de son vivant il se permettait lui-même tant de choses que maintenant j’en profite à mon tour.

— Que veux-tu dire par là ?

— Ben oui, tu ne t’en doutais pas ? Toutes tes amies proches ou lointaines, lorsqu’elles séjournaient ici, avaient l’obligation de satisfaire les lubies de ton cher mari, cela te permettait de te reposer avec tes migraines ou tes escapades que tu me racontais si joliment.

— Tu couchais avec Adrien ? Je m’en doutais mais de te l’entendre dire me fait un coup au cœur. Et les autres, Sophie, Angèle et les autres aussi ? Décidément je suis une conne de n’avoir rien compris !

— Mais non, c’était un jeu pour lui, cela agrémentait les situations souvent scabreuses mais que le résultat était à la hauteur ! Pendant que tu te satisfaisais toute seule, nous nous amusions dans le grenier et crois-moi, Adrien prenait un pied monstre. Un soir, tu te rappelles, Angèle était venue nous rejoindre avec une péronnelle toute jeune fraîche sortie de l’école, juste dix huit ans nous disait-elle. Il nous a prise toutes les trois ensemble, en plus la péronnelle était vierge du cul, tu aurais entendu ses hurlements dans la nuit. Elle n’a pas pu s’asseoir pendant le reste du séjour malgré tes attentions de mère poule.

— Ah oui, je m’en souviens, je l’ai soignée et gardée au lit pendant trois jours ensuite, elle pleurait tout le temps sauf lorsque je l’ai soulagée en la branlant le matin du troisième jour. Elle m’a fait une cour pendant plus de six mois ensuite mais refusait de venir à la maison.

— Je sais, tu la rejoignais chez elle jusqu’au jour ou sa mère t’a menacé de raconter tout à ton mari.

Elles éclatent de rire en évoquant ces souvenirs, la tension est redescendue et elles se regardent d’un nouvel œil. Danièle sent encore la correction reçue et ses idées reviennent au niveau de ses fesses ou plutôt celles de son amie. Elle n’a jamais osé aller trop loin avec elle malgré l’envie lancinante pendant leurs confidences. Elle remarque que les confidences étaient plutôt à sens unique car Amélia n’a jamais abordé ce genre de récit.

— Tu ne m’as jamais raconté cela, pour ta peine je vais t’administrer une correction, se prétendre amie et cacher l’infidélité de son mari avec toutes les autres est impardonnable !

— Mais enfin Danielle, je t’ai souvent laissé entendre l’éventualité des jeux de ton mari, tu n’as jamais voulu me laisser te raconter, tu refusais d’admettre l’évidence alors je n’ai pas insisté.

Danielle pousse son ami vers le lit et l’oblige à se courber sur la couette, à genoux sur le tapis, ses fesses rebondies sont à disposition. La robe est relevée sur les hanches, le string invisible entre les hémisphères tendres et roses.

— Ne fais pas cela ma chérie, ne me frappe pas, tu pourrais le regretter !

— Rappelles-toi, tout est permis dans la maison jusqu’à la découverte de la clé. J’ai envie de me venger de mon mari, tu es présente, cela me suffit pour l’instant.

La première claque résonne en écho à la dernière parole, les autres se suivent et produisent des sons qui diffèrent suivant le contact et les mouvements du postérieur tentant de se protéger. Une trentaine de claques pleuvent sur les fesses qui rougissent peu à peu, les cris se transforment doucement en gémissements car Amélia, malgré son refus, adore que l’on s’occupe de son fondement de cette manière. Adrien la maintenait sous pression des nuits entières grâce à ses fesses si adorables. Pour reprendre quelques forces la main se pose sur la motte offerte par l’éloignement des cuisses, l’humidité qu’elle y découvre la fait regarder de plus près. Son amie mouille comme une folle, son jus imprègne ses cuisses et tache son tapis. Elle glisse un doigt entre les lèvres pour vérifier plus en détail, le soupir d’extase qui s’échappe des poumons d’Amélia lui explose dans les oreilles. Le silence qui avait suivi la bourrasque est remplacé par ce soupir si parlant qu’elle commence aussitôt un mouvement de limage. Le fondement réagit à ce nouveau supplice, il ne se dérobe aucunement, il accompagne, anticipe même la pénétration. C’est bientôt quatre doigts qui forcent cet antre chaud et humide. La dilatation ne semble pas déranger son amie et l’idée de lui faire un peu mal la traverse, elle insère son pouce entre ses doigts et force avec ce cône obtenu. La main est avalée d’une seule poussée, elle marque un temps d’arrêt devant sa prouesse.

— N’arrête pas, oui, c’est bon, tu as enfin compris ce qui me fait du bien, ouiiiiiiiiiiiiiiii ! Plus fort, ma chérie, oh merde pourquoi n’avons nous pas testé cela plus tôt, que de temps perduuuuuuuuuuuu ! Je viensssssssssssss ! Je jouissssssss LIRE LA SUITE


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