Employée soumise
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Je suis les ordres de mon patron et je me rends à l’adresse indiquée, rien ne laisse présager de ce qui se passe à l’intérieur. Il s’agit d’une boutique très discrète et pour y entrer il faut posséder le code que m’a donné le boss.
D’abord, une alcôve, une dame m’accueille, je lui donne enveloppe que j’ai reçue, elle me détaille des pieds à la tête, et son avis tombe implacable
Habillée comme une pute, ce n’est pas ce que l’on attend de toi, ôte-moi ces frusques immédiatement.
Le ton employé ne souffre pas de répartie et vu le peu de choses que je porte, je suis nue en un rien de temps, dans un reste de pudeur j’essaye de cacher mon corps, dans la pénombre, je n’avais pas vu la cravache qu’elle portait, elle m’assène un coup sur mon fessier si fragile.
J’ai compris, je la laisse m’examiner et prendre les mesures dont elle a besoin, elle me fait signe de la suivre et nous entrons dans une véritable caverne d’Ali Baba de la luxure, mais nous ne sommes pas seules, il y a un homme avec elle, j’ai un geste de recul, mais la cravache se rappelle à mon mauvais souvenir
Elle me tend une première parure et je cherche en vain une cabine d’essayage, suis-je bête, il est évident que ça fait partie du jeu, je dois le faire devant cet homme présent qui ne va pas se gêner pour regarder.
Je fais une taille standard et elle note sur son carnet ce qu’elle va envoyer pour une utilisation ultérieure, ensuite elle revient avec ce que je prends au début pour une guêpière en cuir, mais il s’agit d’un corset et une fois qu’elle l’a mis à sa convenance, j’ai du mal à respirer. Elle me fait passer une paire de bas et ensuite des chaussures avec talons les plus hauts que je n’ai jamais porté.
Bien, tu portes le corset à merveille, ton mécène paye une partie de tes emplettes, mais il y a un reste à charge qui t’est dû, suis moi on va essayer les accessoires commandés par ton patron
Je la suis difficilement, mon équilibre est très compromis et je dois faire des efforts pour respirer, je me vois dans une glace ça fait ressortir mon cul, et les demi-coquilles intégrées au corset présentent mes seins à la convoitise de ceux qui en ont envie.
Elle ne me présente pas l’homme, ce doit être un employé, il est immense, le mini string blanc qu’il souligne la couleur noire de sa peau, et laisse deviner l’imposante taille de son sexe, même au repos, mais je ne suis pas raciste et ce sera une découverte
Will est là pour te donner du plaisir, tu auras du mal mais tu vas commencer par le plaisir, avec la langue, uniquement.
Will prend ma bouche puis il aspire et mordille mes seins, puis il passe à ma chatte, sa langue est diabolique sur mon clitoris et il me pénètre profondément avec sa langue, je vacille sur mes jambes, je jouis.
La directrice intervient et menotte mes poignets dans le dos, elle m’entraîne vers un ensemble constitué de poutres, d’anneaux de chaînes et de cordes. Elle me couche sur une large poutre, elle me fait écarter les jambes, elle attache mes chevilles aux pieds de la poutre avec des menottes qu’elle relie à un anneau. LIRE LA SUITE
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