La punition de Cécile

Par Charly de Grens
lundi 3 février 2020
par  Jeanne Franval
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CHAPITRE 1

Je m’appelle Cécile, j’ai 25 ans. Mariée à un homme de 45 ans, sans profession, j’ai commis la faute de le tromper, et surtout de me faire prendre en flagrant délit. Depuis j’ai largement eu le loisir de m’en repentir !

Mariée très jeune à un mari très pris par ses affaires, je menais une vie riche et oisive, et c’est sans doute cette oisiveté qui me poussa à prendre des amants, plus que des besoins sexuels que d’ailleurs mon mari satisfaisait assez bien. Jolie blonde aux yeux bleus, mince, je n’avais aucun mal à me faire draguer et en abusais en toute insouciance. Ce que j’ignorais, c’est que mon époux se méfiait de moi et avait chargé un détective privé de me surveiller.

Ce jour-là, j’étais chez mon amant du moment, Bruno, un beau brun ténébreux qui me baisait divinement. Il était en train de me sauter en levrette, moi à quatre patte, seulement vêtue, si j’ose dire, de mon porte-jarretelles et de mes bas, allant et venant puissament dans mon vagin, quand tout à coup la porte s’ouvrit avec fracas sous un violent coup d’épaule, et mon mari apparut tenant un révolver à la main ! J’eu alors l’impression que mon sang se glaçait dans mes veine, cependant que je sentais la verge de Bruno débander rapidement dans mon sexe. Je crus ma dernière heure arrivée, j’étais épouvantée ! Mon mari ne tira pas, mais dit d’une voix glaciale en nous menaçant de son arme :

—  Allez, la séance est terminée. Cécile, rhabille-toi en vitesse, je te ramène à la maison.

Honteuse, plus morte que vive, j’enfilai rapidement mes vêtements, la chatte encore gluante du sperme de l’assaut précédent, me sentant sale, humiliée, terrorisée. Redevenue décente, je suivis mon époux, tête basse. Une fois dans la voiture, il m’ordonna de déposer tous mes bijoux dans la boite à gants : je n’osai protester et lui obéis. Durant tout le trajet jusqu’à notre grande maison en banlieue chic, il ne me dit plus un seul mot, me laissant le prier, le supplier, pleurer toutes les larmes de mon corps, lui demander humblement pardon. C’est seulement de retour chez nous qu’il ouvrit la bouche pour m’ordonner de venir avec lui en me prenant fermement par le bras, me faisant mal ; les jambes flageolantes, je le suivis donc et il me conduisit dans les sous-sols de la villa et ouvrit une porte de cave et me poussa à l’intérieur, me disant :

—  Ta conduite inqualifiable mérite une punition. Le temps que j’avise de ton sort, tu vas vivre ici, dans cette cave. Le confort en est largement suffisant pour une petite salope comme toi. Un conseil, économise l’eau : cela peut durer un certain temps !

La-dessus, il rabattit la porte et j’entendis la clef tourner sinistrement dans la serrure : j’étais prisonnière. Secouée de sanglots, j’observai le réduit d’environ deux maîtres sur trois dans lequel j’étais enfermée. Il ne comportait aucune fenêtre ou soupirail, et était faiblement éclairé par une petite ampoule pendue par un fil au plafond. Comme me l’avait laissé entendre sarcastiquement mon époux, le confort était réduit : un mauvais matelas étroit posé par terre, dans un coin un seau hygiénique à côté d’un tabouret sur lequel etait posé un gros pain et à côté duquel s’alignait quelques bouteilles en plastique d’eau minérale. Pour l’inventaire, c’était tout !

Folle d’angoisse, je m’éffondrai sur le matelas et pleurai tout mon saoul : qu’allait-il m’arriver ? Mon époux, bien que m’ayant fort bien traitée jusqu’ici, était d’une jalousie féroce, et je redoutais sa colère. Son calme actuel ne présageait rien de bon : il aurait pu nous tuer tous les deux avec Bruno, il ne m’avait même pas frappée ! De plus, visiblement, cette cave avait été prévue pour me recevoir : il devait connaître mon inconduite depuis un certain temps, de même qu’il n’avait pas pu arriver par hazard chez mon amant... Toutes ces reflexions n’auguraient rien de bon pour moi...

Et le temps se mit à couler, monotone. Je ne savais absolument pas quelle heure il pouvait être, puisque je n’avais plus ma montre. Je ne pouvais non plus me baser sur la lumière du jour, car mon cachot n’était éclairé chichement que par l’électricité. Je suis absolument incapable de dire le temps que dura ma réclusion : plusieurs jours en tout cas. Aucun bruit ne me parvenait et je me mis à vivre aux rythme de mes besoins naturels et de ma faim ou de ma soif : je mangeais un peu de pain, buvais quelques gorgée d’eau ou me soulageais sur le seau hygiénique qui sentait de plus en plus mauvais. Moi aussi, je devais puer : pas moyen de se laver, même pas de papier hygiénique pour m’essuyer la vulve ou l’anus. Je dormais par moment, un sommeil lourd peuplé de cauchemars horribles qui me réveillaient en sursaut baignée de sueur.

Ma déchéance s’amplifiait avec le temps qui passait : je me sentais sale, pas coiffée, mon maquillage avait coulé depuis longtemps, mes vêtements étaient sales et froissés, en particulier ma petite culotte, mes bas déchirés. De plus le seau hygiénique, malgré son couvercle, répandait une odeur pestilentielle.

J’étais dans un état lamentable de crasse et d’abattement quand la porte de mon cachot s’ouvrit alors que je ne l’attendais plus. A ce moment, j’étais debout dans ma cellule et je n’eus pas le temps de réagir : deux hommes bâtis en armoire à glace et vêtus de blouses blanche se jetèrent sur moi et m’enfilèrent rapidement une camisole de force par dessus mes vêtements, emprisonnant mes bras croisés devant moi. Je protestai violemment, en pure perte. Je fus jetée sur le matelas et pendant que l’un des hommes me maintenait, l’autre glissa ses mains sous ma jupe ample pour me retirer ma culotte. Je ruais, hurlais en vain et même, profitant que j’avais la bouche grande ouverte, l’homme en profita pour y fourrer mon slip souillé qu’il tassa dans ma bouche en guise de baillon. Pour compléter mon mutisme, il me colla une large bande de sparadrap sur les lèvres. On coiffa ma tête d’une cagoule de tissu noir, on relia mes chevilles entre elle par une paire de menotte, je fus enroulée dans un drap, empoignée et posée sur une civière sur laquelle je fus sanglée au niveau de la poitrine, du ventre, des cuisses et des jambes.

Je sentis qu’on emportait le brancard jusque dans une voiture, sans doute une ambulance, où il fut glissé. Le trajet dura un certain temps. Je ne voyais rien, ne pouvais m’exprimer, ma petite culotte emplissant ma bouche, sans compter le sparadrap. Puis on me déchargea de la voiture et on me posa quelque part.

Au bout d’un moment d’attente, je sentis qu’on s’affairait autour de moi, une voix féminine s’exclamant dégoûtée :

—  Qu’est-ce qu’elle peut sentir mauvais !

On me désangla, me déballa de mon drap et on me retira ma cagoule. Ma civière était posé sur le sol d’une grande pièce entièrement carelée, et deux jeunes femmes en blouse blanche étaient accroupies près de moi, dont une de race Noire. Plus loin, deux types massifs, également en blouse blanche, debouts, tenant chacun un long fouet à la main. Les deux filles commencèrent à me libérer : chevilles, camisole de force, sparadrap sur ma bouche de laquelle l’une d’elle retira ma culotte sale qui l’emplissait, ma disant gentiment :

—  Ici, tu peux gueuler tant que tu voudras : personne ne t’entendra !

On m’ordonna de me mettre debout et de me déshabiller entièrement. LIRE LA SUITE



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