Infidélité punie
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II
La dextre de Maître claque alternativement les fesses de Marc, sur un rythme égal. L’homme préfère serrer les dents pour montrer sa volonté de ne pas céder sous la fessée. Être puni oui, mais ne pas se laisser dépasser, envahir par ce jeune homme choisi par sa femme pour le punir.
Très vite, Marc se rend compte que la douleur de son derrière fessé commence à augmenter. La cadence et la puissance des claques données par cette fine main masculine ne varient ni en intensité ni en force. Elles sont presque rigoureusement identiques. Pourtant, plus la fessée dure, plus Marc sent la douleur augmenter.
À cela s’ajoute un élément supplémentaire. Comme, par sa position allongée sur les cuisses de Maître recouvertes par le cuir du bermuda, sa hanche gauche est collée sur le bas ventre de son fesseur. Il sent la bite sous le cuir prendre de l’ampleur, comme si un petit bras poussait.
Marc n’a soudain qu’une envie : s’extraire de ce châtiment. Il se met à le crier tout en s’agitant dans le but de s’échapper :
— Assez ! Lâchez-moi ! Je veux partir… Aaaaaaaye !
Pour montrer son désaccord, Maître augmente la puissance de ses claques, annonce de sa voix froide et coupante :
— Pas question !
Les claques sont plus fortes maintenant, à croire que le Maître n’attendait que ça. Marc commence à pédaler, à frapper le parquet de ses pieds nus, à replier ses mollets vers se cuisses pour tenter vainement de protéger son cul nu, se met à pleurer sans pouvoir s’arrêter, alors que la dure fessée l’enrage :
— Pluuuuuuus… sur… mes… fesses ! Je… vous… en… priiiiiiie ! Ça… suffit !... Nooooooon !... J’ai… trop… maaaaaaal !...
Marc a l’impression d’avoir le derrière en permanence trempé dans une cuvette d’eau bouillante. Ses mains par terre lui évitent de choir. Il a beau se tordre sur les cuisses en cuir de son fesseur, la main posée sur ses reins le cloue littéralement dans la position parfaite pour subir sa correction.
La voix du Maître, toujours aussi froide et à peine audible, résonne lugubrement aux oreilles de Marc :
— Les dix dernières !
La main sur ses reins augmente la pression.
Une lourde claque frappe le bas de la fesse et le haut de la cuisse droite. Marc hurle sous la puissance douloureuse de la frappe. Neuf autres claques choient exactement au même endroit, ponctuées par un cri strident de l’homme fessé dont les larmes redoublent.
Fesse et cuisse gauche subissent dix autres claques avant que la main plaquée aux reins ne relâche la pression.
— Debout !
Il faut que le Maître secoue ses cuisses pour que Marc comprenne que son châtiment est fini. Comme hagard, il se lève, s’éloigne au moment où la porte de la pièce s’ouvre et une jeune femme nue pénètre dans les lieux, ferme le battant, demande sans un regard pour Marc qui frotte ses fesses rouge pivoine :
— Avez-vous fini, Maître ?
— Oui. Mets-lui de la crème apaisante. Après tu le prépareras avec du gel et la ceinture afin que je le garnisse pour cette nuit. Quoiqu’il te demande, tu ne lui réponds pas. Ne t’inquiète pas s’il bande, c’est normal, la fessée l’a excité.
— Bien Maître. LIRE LA SUITE
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