Le Chemin de l’enfer 14

mardi 6 septembre 2011
par  Claire Valmont
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Sud de Paris, soirée.

Fièrement, j’accompagne mon Maître. Nous franchissons la porte d’entrée pour nous retrouver dans un grand hall. Du coin de l’œil, j’aperçois les autres concurrents. Il y a là des hommes en smoking tenant également leur challenger en laisse. Il y a des femmes, comme moi, entièrement nues et quelquefois parées de bijoux. Il y a également des hommes tout aussi dépouillés, entièrement épilés. Certains ont leur pénis orné de bijoux, anneau, bague ou chaîne d’or. Leurs Maîtresses sont, pour la plupart, en robe de soirée. Je remarque une femme, particulièrement belle qui tient en laisse son soumis, force de la nature dont l’énorme verge est décorée de façon très habile par un enchevêtrement de rubis, diamants et chaînettes d’or. Des anneaux lui transpercent les tétons d’où de fins liens d’or partent pour rejoindre ses bracelets. Mon regard s’attarde sur sa propriétaire. C’est une grande femme, brune aux cheveux soyeux et souples se terminant par une longue queue de cheval. Son visage anguleux est souriant et ses yeux bleus légèrement maquillés, fixent mon Maître. Sa robe, fuseau argenté aux mille paillettes resplendit d’éclats de lumière. Un large et profond décolleté montre sans pudicité ses seins fermes et bronzés dont les aréoles ne se dissimulent même pas. Une longue fente latérale laisse apercevoir une de ses interminables jambes gainée d’un fin bas voile blanc orné d’une jarretière noire décorée d’une rose rouge. Lassée de son observation, elle s’éloigne, comme suspendue sur ses hauts talons, entraînant son esclave dans son sillage. Mon Maître la regarde également, il sait que ce concours va se jouer entre nous.
Les organisateurs nous dirigent vers une autre salle où nous nous voyons attribué nos cartons de participation. Nous portons le numéro cinquante six. Je cherche la femme parmi les autres participants et j’aperçois le sien, c’est le vingt deux.

Je suis très intimidée par ce concours. Certains ont l’air à l’aise et ne font même pas attention à leur environnement. D’autres, comme moi, sont plus nerveux et le montrent en s’agitant ou en cherchant un réconfort en se serrant contre leur Maître.

Enfin l’attente prend fin, les premiers concurrents sont appelés. Les huissiers accompagnent les couples jusqu’à une large porte qui, je le remarque, débouche sur un long couloir. Les numéros défilent rapidement et je perçois l’appel du vingt deux. Je me tends pour observer la sortie du couple. D’un air hautain, elle maintient son soumis de façon très ferme. Je note qu’il marche à sa hauteur, mais très légèrement en retrait, à peine soutenu par la laisse. Son air jovial et fier renforce l’image du couple Maître soumis qu’ils dégagent en se dirigeant vers le couloir. J’en prends bonne note et compte bien en montrer tout autant pour notre passage. Les annonces défilent, il ne reste plus qu’une dizaine de couples dans la salle. On appelle enfin le cinquante six. Mon Maître me jette un regard et s’achemine vers les huissiers qui commandent le couloir. Avec soin, je me positionne quelques centimètres en aval et calque ma démarche sur la sienne. Mon regard brille de fierté, je sens la laisse à peine battre contre mon cou tant nous sommes à l’unisson. Epaules tendues, seins bien en évidence, je sens mes tétons se durcir d’un coup. Le couloir nous enveloppe brusquement pour nous libérer dans une immense salle où sont déjà installés les autres couples. Nous montons sur une petite estrade recouverte d’un tapis rouge où nous stoppons de concert. Placée à la droite de mon Maître j’entends « assis » et je m’exécute, prenant naturellement la pose que j’ai tant de fois répété. Face au jury, genoux écartés, je sens les pinces du bijou étirer mes lèvres et dévoiler mon clitoris et ma fente humide. Comme dans un rêve, j’entends « belle » et je me redresse, tirant au maximum mes épaules en arrière pour faire ressortir ma poitrine en joignant mes doigts sur ma nuque. Le petit coup de laisse m’indique la fin de notre présentation, nous redescendons de l’estrade pour rejoindre les autres concurrents en attendant la fin du défilé. C’est par pur hasard, que nous nous retrouvons à côté de la femme au jeune esclave bâti comme un Apollon. Je l’entends murmurer à l’attention de mon Maître.

— Félicitations. Très belle présentation.

— Merci, désolé, je n’ai pu assister à la votre, mais je suis persuadé que nous allons nous revoir, lui répond t-il en se penchant discrètement vers son oreille.

Le passage des derniers participants ne requièrent qu’à peine notre attention. Il se passe encore un quart d’heure avant que le jury ne publie les dix couples sélectionnés pour la finale. Sans trop de surprise, le vingt deux et le cinquante six en font partie. Je suis un peu fébrile car mon Maître ne m’a rien signifié des modalités de cette finale et je reste dans l’expectative de cette ultime confrontation. Avec soulagement je constate qu’il ne s’agit que d’un autre défilé lorsque je découvre ce que préparent les assesseurs. Un large tapis est déroulé sur la scène et une plus grande estrade est montée rapidement puis entièrement drapée d’un velours de couleur verte. Le jury s’installe confortablement dans les fauteuils qui font face à la scène. Une fois le plateau agencé, nous sommes contraints de sortir pour nous préparer. Mon Maître tâche de me tranquilliser en m’expliquant :

— Ce n’est qu’un autre défilé, qui durera un peu plus longtemps que le premier. Nous ferons simplement ce que nous demandera le jury. Sois aussi simple et belle que tout à l’heure.

C’est drôle comme ces simples paroles me galvanisent et c’est avec une certaine impatience que j’attends notre tour.

Le numéro sept est cité en premier, puis s’enchaîne les passages jusqu’à notre appel. Le couple vingt deux est encore dans l’attente de son passage.
Nous pénétrons sur la scène par le côté. Je marche à droite de mon Maître calant mes pas sur les siens. Toute tension m’a abandonné, je suis incroyablement détendue. Le regard noble, j’avance sur le tapis rouge et monte les deux marches de l’estrade. Nous faisons un large cercle complet jusqu’à l’ordre d’arrêt. Il me positionne face au jury, je tends ma poitrine dont les pointes s’érigent par l’excitation.

A l’ordre « assis », je tombe à genoux à ses côtés, écartes mes cuisses, sans trop exagérer et pose le bout de mes doigts tendus le plus près possible de mes cuisses, enfreignant ainsi les consignes rigoureuses de mon Maître, mais cette position me permet d’offrir plus intensément ma poitrine aux regards des juges. Je constate avec un certain plaisir que cette option semble plaire à quelques membres du jury qui apprécient ainsi les pointes roses de mes tétons durcis à l’extrême. Au mot « belle », je me redresse, mes mains viennent naturellement se positionner sur ma nuque. Je sens la crinière du Rosebud effleurer le sol entre mes chevilles.
Une courte pression sur la laisse me fait comprendre que la présentation est terminée. Sans effort apparent, je me redresse sur mes hauts talons et quitte la scène, toujours au même rythme cadencé du pas de mon Maître, tout en respectant scrupuleusement un léger retrait par rapport à lui.

D’autres couples viennent faire leur représentation, mais nous attendons tous l’appel du couple vingt deux, notre seul réel rival. Enfin, l’Apollon et sa Maîtresse font leur apparition. Avec fascination, nous suivons l’évolution particulièrement soignée de la femme et de son esclave, car, aucun doute ne peut subsister dans leur relation. Elle, drapée dans son somptueux fourreau est sublime, lui est tout simplement majestueux. Ses muscles roulent sous sa peau. Sa tête est massive et carrée. Ses cheveux fins et blonds sont coupés en brosse. Ses petits yeux bleus clairs accrochent mon regard que je refuse de détourner, acceptant la confrontation. Subjuguée par la beauté de ce couple, je m’angoisse de la décision du jury, alors que je sens mon Maître véritablement dubitatif.

La délibération se fait à huis clos, et il nous faut encore patienter plus d’une demi heure pour en connaître le dénouement : Nous sommes déclarés à égalité et nous devrons être départagés lors d’une ultime épreuve.

J’observe les assesseurs préparer la scène à nouveau, sans comprendre le sens de leurs actions. Ils mettent en place un ensemble de tapis de mousse du style que l’on rencontre lors des compétitions de gymnastique. Pendant ce temps, les jurés discutent avec nos Maîtres respectifs pour leurs exposer les règles de cette dernière confrontation. Quelques minutes plus tard, je suis informée de ce qui va se dérouler. Mon Maître sait que cette épreuve décisive sera particulièrement éprouvante et tente de me réconforter en me donnant quelques conseils.

Le moment de l’engagement approche. J’ai le ventre serré d’angoisse. Nous sommes, l’un et l’autre, face à face, assis, encore maintenus en laisse par nos Maîtres. Je ne peux détacher mon regard de l’énorme érection de l’Apollon. Sa queue surdimensionnée recourbée vers le haut, mesure plus de vingt centimètres. Ses parements et bijoux, toujours en place, semblent minuscules. Je sais que je ne peux plus compter maintenant que sur mon endurance physique et à la douleur, car je le vois dans son regard, il est bien décidé à me faire souffrir le plus longtemps possible. Pour ma part, mon Maître m’a simplement conseillé de subir dans un premier temps et guetter le moindre signe d’épuisement pour en profiter.

Nos Maîtres nous détachent et se reculent tous deux, nous abandonnant dans l’attente du signe de l’arbitre. A peine l’ordre lancé, la brute se précipite sur moi, me prenant à bras le corps pour me plaquer au sol. Sa force est surhumaine. Il m’a bloqué les bras dans le dos et tire sur mes épaules au risque de les déboîter, me contraignant à me mettre à genoux, tête contre le tapis. Je suis totalement à sa merci, incapable de faire le moindre mouvement. Il se tient derrière moi, me tenant les poignets d’une seule main. Il arrache mon string, dont les pinces me déchirent les lèvres. Je pousse un hurlement de douleur, mais cela ne lui suffit pas. Il m’extrait le Rosebud et le lance vers mon Maître pour le narguer. Profitant du trou béant laissé par l’acier, il m’embroche profondément et me laboure violemment sans tenir compte de mes cris de détresse et de souffrance. Sa queue est immense et me ravage brutalement. Il m’a lâché les poignets pour mieux me maintenir les hanches. Ses sauvages allées et venues déclenchent un orgasme monstrueux qui me tétanise. Mes hurlements se sont transformés en gémissements et je me surprends même à accompagner et suivre ses mouvements. Cela lui déplait fortement. Il veut me dominer pour m’humilier devant tous. Alors, il me rejette loin de lui. Je vole un instant pour retomber brutalement sur le dos à l’autre bout du tapis. Ne me laissant pas le temps de me remettre, il m’attrape par ma queue de cheval et me traîne au centre de la scène. J’essaye de me tenir à quatre pattes tant bien que mal. Il se met debout et m’oblige à approcher ma tête de son énorme vit, mais je refuse obstinément d’entrouvrir la bouche pour le recevoir. Je reçois une première claque qui m’assomme à moitié, puis une deuxième encore plus forte. Au moment où je vais pour crier, il s’enfourne dans ma bouche et ses deux mains me maintiennent, m’obligeant à l’avaler jusqu’à sa garde. Ses chaînes et bijoux d’ornement me raclent le palais et me déchirent les lèvres. Ses mains, accrochées à ma crinière m’obligent à le recevoir par de grands aller retour. Sa verge, d’une longueur démesurée, bute régulièrement au fond de ma trachée, m’asphyxiant presque complètement. Ce supplice dure une éternité, puis comme outré de mes si faibles réactions, il m’éjecte à plusieurs mètres de lui. Je m’affale sur le ventre, à demi étourdie, secoué de hoquets et cherchant à reprendre mon souffle. Ce répit est de courte durée, il est déjà sur moi, me traînant par un pied pour me ramener au centre du tapis. Mes cinquante kilos sont ridicules pour ce colosse qui me suspend à bout de bras devant lui par une cheville. J’essaye de me débattre et lui lancer des coups de pieds, mais trop éloignée, mes efforts ne faisant que m’exténuer, je me calme et ne bouge plus, résignée à subir sa fougue. Il m’attrape l’autre cheville, m’écartèle et me remonte pour me mordre violemment le périnée. J’hurle de douleur et me débats dans tous les sens pour échapper à ses crocs. Fier de lui, il me lance une fois de plus, cette fois au pied de mon Maître. Je porte mes mains au centre de la douleur. Je les sens poisseuses, les retournant, je les découvre pleine de sang que je vois maintenant s’écouler entre mes cuisses. J’essaye de limiter l’hémorragie en appuyant fortement sur la blessure. Cette douleur me vrille totalement. Je comprends surtout que ce combat n’est pas égal, alors que le colosse commence à me tourner autour pour mieux trouver l’endroit où me prendre. Il s’abat d’un coup sur moi et me saisit la gorge d’une main entre ses doigts puissants, m’étranglant sévèrement en m’étouffant. Je respire à peine et tente de lui faire lâcher prise, mais peine perdue, la strangulation continue de plus belle. Je suis à la limite de l’asphyxie. Il me lâche enfin et je me tiens la gorge et tousse en essayant de reprendre haleine. C’est ce moment qu’il choisit pour me saisir l’intérieur des genoux et les relever pour me plaquer les épaules au sol. Il s’assoie sur mes cuisses. Ainsi ouverte et impuissante, il me crache dans l’anus et dans le vagin, et souriant passe sa main qu’il me montre rougie par mon propre sang. Sa victoire semble totale. Sûr de sa puissance, il se guide pour me perforer à loisir me pilonnant le cul ou le vagin sauvagement. Son érection est toujours aussi puissante et je sens cette longue tige s’introduire ou m’abandonner, changer de trou, revenir. A chaque fois qu’il sent mon orgasme venir, il stoppe son jeu, attendant que je me calme. J’essaye bien de me débattre, mais sa puissance est telle que toute défense est illusoire. Je suis désespérée de voir mon Maître contempler notre déchéance. Son regard me fait comprendre que rien n’est perdu. C’est évident maintenant : Ce colosse est trop fier et trop sûr de lui. C’est là sa faiblesse. Je dois simplement guetter le moment d’inattention que forcément il aura quand il me croira totalement vaincue…

Cette fois il se déchaîne dans mon tréfonds, il recherche ma jouissance. Je lui offre en explosant littéralement. Lui se retient, toujours aussi maître de lui. Mon hurlement de plaisir le satisfait tellement qu’il reste planté en moi sans bouger, dominant la foule du regard. Il se retire d’un coup et me lâche. Je m’écroule vidée et épuisée de cette jouissance brutale et absolue. Sa verge est toujours aussi raide et rougie de mon sang. Par fierté, il se tourne vers le public pour lui montrer sa virilité. C’est le moment de relâchement que j’attendais. Je me dépêche de me réfugier aux pieds de sa Maîtresse, comme si je cherchais à implorer sa clémence. Mais c’est là, devant elle, que je veux lui rendre la monnaie de sa pièce. Je m’assoie sur mes talons, mes bras entourant mes genoux tout en baissant la tête en signe de soumission. Il s’approche de face, dédaigneusement, me croyant domptée. C’est son erreur ! Dès qu’il est à ma portée, je me détends pour lui saisir ses bourses à pleine main. Mes ongles acérés par la lime d’Aïcha s’enfoncent profondément dans la tendre peau. Le hurlement qu’il pousse est terrifiant, mais pris par la douleur, il se plie en deux. Mon autre main s’empare d’une de ses chaînes et tire violement dessus, lui arrachant le téton. Je lui broie les noix de ma main gauche, du sang coule de ses bourses, tant mes ongles ont pénétré profondément dans sa peau. Il s’abat lourdement à genoux, se tordant sous ma pression. Il cherche à se dégager en se plaçant sur le ventre, mais je tiens bon. J’arrache son Rosebud que je remplace immédiatement par ma main qui s’engouffre sans résistance à sa place. Je le ravage à mon tour, mais cette fois encore plus sauvagement : Mes ongles lui racle la paroi et lui laboure ses chairs intérieures. Je retire ma main, elle est rouge de sang. Je lui réintroduis immédiatement en recommençant le même traitement. Cette fois, la brute est terrassée, mais ce n’est pas suffisant à mes yeux. Il mérite un autre châtiment, l’idée m’en vient d’un coup. J’arrache mon soutien gorge, dernier vestige de mon accoutrement, me relève d’un bond et profitant de sa douleur, je lui plante mes talons dans l’aine. Immédiatement ses mains se détendent pour se protéger de mes coups. Je m’en empare et les ligature aussi rapidement que possible dans les lanières de cuir. Il est sur le ventre, ensanglanté, impuissant, mains liées dans le dos, mais ma vengeance n’est pas encore assouvie, je veux l’humilier devant sa Maîtresse, trop fière, elle aussi. Je lui lance des coups de pieds dans les côtes, talon en avant pour qu’il se mette sur le dos. Impitoyablement, je lui inflige une dernière blessure au creux des reins pour bien lui faire comprendre que je veux qu’il se retourne. En gémissant, le monstre pivote lentement. Ses yeux sont maintenant remplis d’une terreur sans nom : Je lui fais peur !

Je ne lui laisse pas le temps de se rétablir, je le considère encore comme trop dangereux. Je me jette sur lui à plat ventre, plaquant le bout de mon talon contre sa gorge, juste sous son collier, le menaçant de le perforer. Comprenant ma menace, il reste tranquille. Sa bandaison a disparu, annihilée par la terreur et la panique. Je m’empare de ses bijoux d’ornement et les lance vers sa Maîtresse, puis la regardant droit dans les yeux, je baisse la tête pour que ma langue effleure le frein de sa verge molle et sanguinolente. Mes caresses précises et sensuelles ne tardent pas à lui redonner toute sa vigueur. Je déploie toute la technique apprise chez mon Maître lors de ses soirées. Il tarde tout de même à se libérer, alors j’y lance mes dernières énergies, le branlant de plus en plus rapidement. Je l’entends enfin gémir doucement et se contracter. Je tire la langue pour le recueillir. Il lâche enfin sa semence que je garde précieusement. Je le libère et me redresse au dessus de lui pour lui lacérer les pectoraux avec mes ongles pointus, lui arrachant sa deuxième chaînette au passage en lui déchirant l’autre téton. Son hurlement est tel qu’il me surprend un instant. Sa bouche est encore ouverte quand je lui crache son sperme dans la gorge. Cette fois, je le sais vaincu. Je l’abandonne aux soins de sa Maîtresse qui, elle aussi a compris sa perte. Mes dernières forces me guident à l’autre bout du tapis où en chancelant et incapable d’aller plus loin, je m’écroule aux pieds de mon Maître.

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Commentaires

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samedi 24 septembre 2011 à 06h58 - par  Bizber

Au stade où nous sommes, nous pouvons espérer avoir bientôt des nouvelles de Claire et retrouver tout l’érotisme de ce récit qui nous tient en haleine depuis près d’un an.
Vivement la suite

Bizber

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mardi 6 septembre 2011 à 06h06 - par  Henic

On dirait un combat similaire à celui décrit dans « l’esclave du château ».
A vrai dire, je n’apprécie guère ces moments de gladiateurs bestiaux.