Au cours des jours suivants, les choses reviennent à la normale, c’est-à-dire aussi normales que ma vie peut l’être. Chaque soir, Becky me soumet à d’intenses séances d’excitation. Elle m’emmène au bord de l’éjaculation, puis s’arrête. Chaque nuit, je suis sûr que je vais jouir, mais chaque nuit me prouve que j’ai tort. Pratiquement chaque instant de ma journée est rempli de visions pour plaire à Becky. Je peux la sentir, la goûter et la voir. Je voudrais tellement me masturber, mais c’est destiné à être refusé. Pourtant, mon sentiment de loyauté envers Becky est si fort que je me sens à chaque instant sous son contrôle.
Le vendredi soir, j’irai encore une fois aux extrêmes pour gagner son affection. Je fais tout ce que je peux pour en faire une occasion spéciale, même si ce n’est qu’un vendredi soir parmi d’autres, soixante-six jours après le début de ma longue période d’abstinence. Mes boules aspirent à exploser dans la passion. La douleur a presque disparu de mon cul, mais l’image de cette soirée est encore vive dans mon esprit. Cela ne fait que me rendre plus déterminé à plaire à ma Becky. Je combats mes pulsions sexuelles toute la journée, et au moment où Becky rentre du travail, je dégouline de liquide séminal. Elle m’a forcé à rester nu les deux derniers jours. Elle sait que cela augmente l’intensité de mes désirs. Becky remarque la fuite de liquide séminal à l’instant où elle franchit la porte.
« Je vois que tes pensées se posent encore les mêmes questions, Denny. »
Elle pose un paquet sur la table.
« Aurais-tu un petit… problème ? »
Je présente rapidement les excuses et je baisse la main pour dissimuler mes pulsions masculines.
« Je suis désolé, Maîtresse. Puis-je vous apporter… un verre, ou quelque chose comme ça ? »
Becky m’ignore et se rend directement dans sa chambre. Elle se tient devant le placard et se déshabille tout en cherchant quelque chose d’autre à se mettre.
« Je sors un moment, Denny. »
Je ressens un cruel sentiment de déception. Becky n’a même pas remarqué à quel point je me suis donné du mal. J’ai travaillé si dur pour rendre lui rendre les choses spéciales.
« J’ai préparé le dîner, Maîtresse. »
Elle m’ignore encore tandis qu’elle trouve ce qu’elle voulait et l’enfile. Elle regarde sa montre.
« Denny, je reviendrai plus tard, je suis… Je vais rencontrer Ron pour quelques verres. »
Elle se dirige vers la salle de bain et retouche son maquillage.
« Ensuite, nous reviendrons ici… pour le dîner. »
Becky remarque ma déception lorsque je baisse la tête.
« Tu nous serviras ce soir, Denny. »
Elle se retourne, se regarde à nouveau dans le miroir, et baisse la voix :
« Je veux que tu sois bon, avec ton meilleur comportement. »
Elle se retourna pour me regarder, un demi-sourire sur le visage :
« Tu vois ce que je veux dire, Denny, n’est-ce pas ? »
Je baisse les yeux vers le sol.
« Oui Maîtresse. »
Elle soulève ma tête avec son doigt.
« J’ai une surprise pour toi ce soir, Denny, c’est-à-dire, si tu es un bon garçon. »
La voix de Becky est si apaisante. Elle va me laisser jouir. Je le savais.
Je suis Becky jusqu’à la porte et m’agenouille à ses pieds pour lui souhaiter une bonne soirée.
« Maîtresse, puis-je demander… Euh… Vous poser une question ? »
Becky répond sèchement :
« Tu peux. »
Je déglutis difficilement et regarde Becky. Elle est si belle, si sexy.
« Maîtresse, est-ce que… est-ce que Ron sait… Est-ce qu’il est au courant pour moi ? »
Elle sourit et regarde sa montre.
« Il le sera… dans environ dix minutes. »
J’ai peur qu’il me voie.
« Mais Maîtresse, et… Et s’il… ne veut pas de moi ici ? Et s’il ne m’aime pas ? »
Becky rit. 
« Et s’IL ne veut pas ? C’est ce que JE veux. Il fera tout ce que je veux qu’il fasse. Et je veux que tu sois ici, comme tu es maintenant, quand nous arriverons ! Est-ce clair, Denny ? »
J’ai ce sentiment familier d’anxiété au creux de l’estomac, mais je sais que je dois obéir.
« Oui Maîtresse, je serai là, comme vous le souhaitez. »
Elle montra le paquet.
« Ouvre ça quand je serai partie. Tu le porteras ce soir. »
Elle ramasse ses clés et franchit la porte, mais se retourne pour regarder en arrière.
« Au fait, Denny ! Je veux que les bougies soient allumées, comme tu l’as fait l’autre soir. Fais les choses spéciales. »
Elle s’arrête un instant et hausse les sourcils.
« Je te suggère de bien accomplir tes tâches ce soir, Denny. Je t’appellerai quand nous quitterons le bar. »
Puis elle s’en va.
Je me demande ce que la soirée va apporter. J’imagine toutes sortes de choses. J’essaie de m’encourager autant que possible. Ce ne sera peut-être pas si mal. Peut-être que j’aimerai ça. J’aime faire plaisir à Becky, et si je peux lui plaire, elle me laissera peut-être jouir. Mais, me fera-t-elle sucer sa bite ? Est-ce qu’il éjaculera dans ma bouche ? M’humiliera-t-elle totalement devant lui ? Mille pensées me passent par la tête en ouvrant le paquet. Au moins, je n’aurai pas à être nu devant lui, du moins pas tout de suite. Mes yeux s’illuminent à la vue de ma nouvelle tenue. LIRE LA SUITE

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