La dépravation de ma femme
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Marc est déjà parti au travail, elle lui a préparé ses affaires, dont un joli minuscule string rouge vif, qui tient par deux petites attaches en métal sur les côtés, elle a insisté pour le regarder s’habiller. Elle le trouve vraiment très sexy et elle a une brutale montée de désir en voyant le sexe de son mari remplir complètement le petit bout de tissu, surtout qu’il a accédé à sa requête en débarrassant son sexe de tous ses poils.
S’il n’avait pas été si pressé, elle aurait bien voulu se faire baiser comme ça debout contre l’armoire, mais il est vraiment en retard et il n’aime pas ça.
Marylou finit de déjeuner, passe à la douche, elle vérifie que les poils de son minou n’ont pas repoussé, elle se maquille très légèrement, réfléchissant à la manière dont elle va s’habiller, elle n’a jamais mis autre chose que des vêtements qui ne trahissaient rien de sa silhouette
Elle sait que les histoires de fesses sont légion dans la grande compagnie où elle travaille et que le droit de cuissage n’a pas disparu. Elle choisit le porte-jarretelles en latex et des bas en soie à couture de couleur chair, elle ne met ni slip ni soutien-gorge, sa résolution de rester sage a disparu, elle adore ce mélange de femmes sophistiquée en tailleur, et totalement salope dans le port de ses dessous érotiques.
Elle passe un petit pull avec col en V, ses pointes de seins excitées par le contact de la laine sont tendues, elle passe ensuite un tailleur d’été en tissu très léger dont la jupe est courte.
Elle se regarde dans la glace de l’armoire de sa chambre, elle se trouve bien foutue. Elle complète l’ensemble par les escarpins. Elle a un moment de doute quand elle monte dans sa voiture, que vont penser ses collègues.
Elle est toujours timide, effacée, et pourtant elle voit passer tout le monde et connaît tous les secrets de ses hommes et femmes qui usent du téléphone et passent par elle pour communiquer.
Elle a remarqué le regard du livreur dans le camion, qui de son poste surélevé à une vue plongeante sur ses cuisses, on voit la limite des bas, tant pis ça lui fera une vision érotique dont profitera sa femme, elle ne fait rien pour redescendre sa jupe, en découvrant même un peu plus en levant la jambe pour accélérer.
Elle arrive dans l’immeuble qui abrite sa société, elle prend place rapidement derrière son poste d’accueil, glissant ses jambes sous le bureau, elle a quand même un peu peur de la réaction des gens et ne veut pas que tout le monde sache qu’elle porte autre chose que des collants.
Elle se méfie surtout de son chef de service qui a la réputation d’être un voyeur. Les employés arrivent petit à petit et elle se détend, personne ne lui a fait de réflexion sur sa nouvelle tenue, elle a maintenant un petit moment de détente, elle en profite pour régler les jarretelles pour accrocher ses bas les plus hauts possibles de façon à pouvoir rester assise et se déplacer sans faire trop attention à ce qu’elle ne doit pas montrer.
Mais elle n’a pas trop de chance, car son chef passe à ce moment sur la mezzanine, il regarde ce charmant spectacle, il se rend compte qu’il travaille avec cette femme depuis dix ans et qu’il n’a jamais vu qu’elle était jolie. Il va falloir que les choses changent.
Il y a de la promotion dans l’air si elle accepte d’être sage, il ne doute pas de son pouvoir et ne considère même pas ses activités comme du harcèlement sexuel, il a de gros besoins, sa femme et sa maîtresse ne l’inspirent plus, il lui faut de la chair fraîche.
Elle baisse sa jupe, il a envie de voir plus que ce qu’il a aperçu, mais il va prendre son temps, il appelle sa secrétaire du moment, une petite intérimaire qui a rapidement compris que le fait qu’elle soit jeune mariée n’était pas un obstacle pour lui, et que si elle voulait que la mission se prolonge, il vaudrait mieux passer sous le bureau de son chef que de taper vite sur le clavier.
Elle porte un jeans taille base avec un petit caraco qui laisse le nombril avec son piercing apparent, dès qu’elle se penche le string apparaît, les jeunes s’habillent comme ça et son mari ne l’en empêche pas alors.
Elle entre dans le bureau il ferme la porte à clé, sans un mot elle se met à genoux et le déshabille pour faire apparaître le sexe tendu qu’elle commence à sucer.
– Tu ne mets jamais des bas avec un porte-jarretelles quand tu sors avec ton mari ?
Elle fait oui de la tête, appliquée à bien le sucer pour se débarrasser de cette corvée et retourner faire ce pour quoi elle est théoriquement payée
« Dès demain tu viens en jupe avec bas et porte-jarretelles, pour le haut tu peux garder ce que tu portes actuellement, je pense que je vais t’offrir un poste en CDD, tu es intéressée ?
Elle ne peut pas répondre, s’il a besoin de faire souvent l’amour il ne tient jamais longtemps, heureusement, il se répand dans sa bouche à longs jets.
– Tu peux établir un contrat un CDD de six mois pour toi, je le signerais cet après-midi, mais avant, je te baiserais, un nouvel emploi mieux rémunéré ça mérite mieux qu’une fellation, qu’en dis-tu ?
Elle acquiesce d’un mouvement de tête, elle a besoin de ce poste, de toute façon avec son mari ils fréquentent d’autres couples et vont en boîte échangiste et au sauna, alors elle fait comme si c’était dans ce cadre libertin, il n’est pas beau son patron, mais il a du charme et de la prestance.
Marylou est à son poste, toute à sa tâche elle n’a pas remarqué le regard de son voyeur de chef, certains jeunes hommes se rendant compte du changement dans sa tenue et son comportement sont venus toute la matinée pour des demandes futiles de façon à la regarder de plus près
Le plus âgé d’entre eux, très observateur, a même deviné qu’elle porte des bas en voyant les petites bosses faites sous la jupe par les attaches des jarretelles sur les bas.
Il a fait un pari avec ses deux potes, il lui faut maintenant prouver ses dires, il connaît Marylou depuis qu’elle est dans la société, et s’il a essayé de la draguer au début, il a vite compris que ce n’était pas le genre de la maison. Il a la réputation de ne pas avoir froid aux yeux et de ne pas se gêner avec les femmes. LIRE LA SUITE
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