Kidnapping et soumission

Tome 13
mercredi 26 mai 2021
par  manumaitre
popularité : 1%
0 vote

Le supplice de Lola continue

Le Maître ouvrit la porte de la chambre alors que Lola sortait doucement de son sommeil. Il tenait dans ses mains un plateau qu’il déposa au bout du lit.
« Allez salope, tu manges, tu prends une douche et traîne pas surtout, la journée sera longue. Et n’oublie pas de te maquiller outrageusement. »
Lola prit le plateau et commença à manger. Dix minutes plus tard, Lola se leva et prit une douche revigorante. Lola ouvrit la porte et demanda au Maître comment elle devait s’habiller. Le Maître lui tira le bras :
« Tu es là pour divertir les cadres de Monsieur Yamamoto, donc tu n’as pas besoin d’habits, salope. »
Lola suivit le Maître. Elle reconnut la salle de réception de la veille. Les hommes qu’elle avait sucés la veille étaient attablés et prenaient leur petit-déjeuner. Lola et le Maître Shibari montèrent sur l’estrade. Un portique était installé sur la scène. Le Maître guida Lola sous le portique lui demanda de se mettre au sol sur le ventre jambes repliées sur celui-ci. Le Maître opéra alors un bondage en ligotant ses jambes et reliant les cordes sur son torse. À l’aide d’une télécommande, le Maître fit descendre deux chaînes et les relia à deux endroits différents du bondage. Lola s’éleva doucement dans les airs. Elle sentit alors sa chatte s’humidifier et son anus s’ouvrir lentement. Lorsqu’elle fut au niveau du visage du maître, celui-ci lui posa un ball-gag formé d’un anneau qui lia derrière la tête de Lola. De la salive commença alors à former un filet qui tomba lentement vers le plancher de l’estrade. Les cadres de l’entreprise japonaise regardaient Lola geindre dans ses cordes. Le maître Shibari faisait tourner de temps en temps les chaînes pour que les convives puissent voir Lola sous différents angles. Certains quittaient leur table pour prendre quelques clichés avec leur portable dernier cri.
Monsieur Yamamoto monta sur l’estrade et prit le micro :
« Mes chers collaborateurs, vous avez tiré ce matin un numéro. Celui-ci est votre ordre de passage. Lola, que vous connaissez déjà par ses talents de suceuse de queues, surtout les vôtres !!!!, sera maintenant à votre disposition. Je vous ai déposé quelques petits ustensiles pour lui prouver qui est le Maître à bord.... Messieurs ! Je vous en prie ! Que celui qui a tiré le numéro 1 vienne sur l’estrade et se serve. Et pas plus de 1 coup. »
Le cadre qui avait tiré le numéro 1 se leva de table et monta sur l’estrade. Monsieur Yamamoto parla discrètement à l’oreille de son collaborateur qui acquiesça d’un signe de tête. Son patron s’éclipsa pour s’assoir dans un coin de la scène et être aux premières loges pour observer Lola être soumise à ses nombreux collaborateurs.
Le cadre s’approcha de Lola qui présentait ses attraits largement ouverts, une chatte lourdement annelée et une paire de fesses qui invitaient au sexe sans limites… Il dégrafa son pantalon qui tomba à ses pieds, baissa son caleçon et enfourna son sexe tendu dans l’anus ouvert de Lola qui grommela dans son ball-gag. Le cadre limait sans vergogne le cul de Lola. Les anneaux de ses lèvres cliquetaient sous les assauts de l’homme. Il déchargea dans un râle continu et laissa ramollir son sexe avant de le sortir du fondement de Lola. Le cadre se rhabilla et prit alors la cravache qui se trouvait dans un carcan en cuir. Il leva le bras et la cravache s’abattit sur les fesses suivie d’un cri étouffé. Une trace rouge zébra les fesses de Lola qui éructait bruyamment l’air de ses poumons pour atténuer la douleur qui lui montait au cerveau, ce cerveau qui lui annonçait que chaque convive allait l’enculer et lui battre les fesses…
Le second cadre monta les marches d’escalier après avoir salué son collègue comme l’aurait fait un samouraï. Il se passa la langue sur la lèvre inférieure en voyant cette paire de fesses zébrée et cet anus luisant qui palpitait de temps à autre. Il descendit sa braguette et se positionna derrière Lola pour lui pénétrer le cul. Une fois sa sodomie terminée, le cadre prit en main un martinet à neuf brins et asséna un violent coup dans un mouvement de bas en haut atteignant la chatte de Lola qui hurla dans son bâillon. Sous la douleur son anus s’ouvrit et du sperme coula pour tomber sur le sol.
Le troisième cadre arriva alors sur l’estrade. Le ballet ne faisait que commencer. LIRE LA SUITE


ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
- d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
- d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)

ALLOPASS OU PAYPAL
OFFRE DECOUVERTE (1 jours)
ABONNEMENT 7 JOURS
ABONNEMENT 15 JOURS
ABONNEMENT 1 MOIS





ABONNEMENT 3 MOIS





ABONNEMENT 6 MOIS





SE DESABONNER


Entrez votre pass abonné

OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)


Commentaires

Logo de Henic
lundi 14 juin 2021 à 23h10 - par  Henic

J’avais un peu oublié les aventures de Sweet Pussy et de N°1 ; j’ai donc repris l’ouvrage depuis le début.
Manumaître ne fait pas dans la dentelle et je ne partage pas son goût pour les modifications corporelles poussées à ce point : tatouages, piercings, augmentations mammaires et autres me semblent d’inutiles mutilations qui fabriquent des monstres de foire.
J’ai trouvé la fin de l’histoire originale particulièrement triste, de cette mère qui ne peut plus revoir sa progéniture, et la reprise sans véritable nouveauté.
L’ensemble est plein d’action et de mouvement, habilement menés et contés, mais d’une tristesse considérable.

Logo de Sylvain de Perry
jeudi 27 mai 2021 à 17h34 - par  Sylvain de Perry

Après 8 mois d’attente, Manumaître achève son récit « Kidnapping et soumission ». Le lecteur, même s’il n’est pas amateur de tout, apprécie ce final en apothéose. Une parfaite réussite pour l’amateur qui y trouvera son plaisir. Nul doute que le récit suivant de cet auteur sera de la même veine. Sylvain.