12- Scène et giton
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Personnages : Axel Philippe La mère
Je n’ai guère le temps, ni la possibilité de réagir, entravé comme je le suis, les cuisses ouvertes, presque à l’équerre. Je ressens un mélange de honte et d’excitation. La main de maman m’empoigne la queue tendue. Elle se met à me branler avec une détermination que je ne lui connaissais pas. Je ne m’attendais pas à cela de sa part. Qu’elle accepte aussi facilement de montrer à cet inconnu ce qu’a pu être nos relations, fut un temps. Avant qu’elle ne change de tout au tout avec moi, il y a deux ans. Avant qu’elle me délaisse, et qu’elle se mette même à me mépriser, comme si mon homosexualité affichée avait définitivement casser quelques choses entre nous. Depuis mes premiers flirts avec des hommes mûrs, j’ai le cruel sentiment que je ne l’intéresse plus. Elle qui avait toujours été si proche de moi, même envahissante, abusive même, jusqu’à décider de mon existence, dans ses moindres détails. Elle avait fait de moi un jouet. Et ce jouet elle l’a jeté au fond d’un panier, le jour où elle m’a croisé sur la plage dans les bras d’un retraité, résident dans notre quartier de Port Vénus. Et au fond de ce sordide endroit, avec ce type dont la perversité n’a d’égal que le charme et la fascination qu’il peut exercer sur ses proies, je redécouvre maman, telle qu’elle était, il n’y a pas si longtemps finalement. Celle qu’elle avait toujours été, avant que je la trompe avec ce vieux. Je ressens alors un bonheur inouï, en même temps qu’une incroyable jouissance de pouvoir éjaculer dans sa main si accueillante.
Un terrible sentiment de honte m’envahit en sentant ma main remplie de sperme. Je réalise que je viens d’accomplir un acte abominable pour une mère. Mais suis-je encore une mère, en encaissant les dernières charges dans mon cul de cet être ignoble prédateur ? Cet homme monstrueux qui m’a fait commettre l’irréparable. Je comprends, en recevant ses giclées de sperme au fond de mon anus, que plus jamais je ne pourrais regarder Axel avec les yeux d’une maman. Après ce que je viens de commettre. Cet homme a gagné, nous sommes devenus, mon petit Axel et moi, ses choses dont il peut user sans aucun scrupule. Que sommes-nous d’autre pour lui ? De belles salopes, c’est tout.
Saisie par l’émotion, les premières larmes s’écoulent de mes yeux en serrant plus fort mon pauvre enfant contre ma poitrine généreuse. Nos destins, à tous les deux, étaient liés maintenant. Définitivement.
Je comprends tout de suite que ma petite lopette a joui. Il râle d’une petite voix de femelle. Je suis parvenu à ce que je voulais. Je les ai compromis tous les deux. Ce n’était pas bien difficile. Ce sont tout simplement de belles salopes, la mère comme le fils. Les chiens ne font pas des chats, n’est ce pas ? Tout ceci m’excite incroyablement et mon plaisir ne tarde pas à être irréversible. Je me déchaine dans le cul de la mère, accouplée à son fils. Je les ballotte dans tous les sens, jusqu’à ce que j’explose dans son cul offert. Je libère un flot de sperme abondant que lui remplit le cul. Je comprends à ses soubresauts qu’elle aussi jouit intensément, elle aussi. Je reste quelques instants planté au fond de son cul, le temps de reprendre mon souffle, puis je me retire. Je regarde ma queue sortir, encore tendue, souillée.
Je me dégage pour regarder sous le ventre de ma petite lope. Sa mère lui tient encore sa queue dans la main, une main barbouillée de sperme.
― Alors salope, c’est bon de branler la bite de son fils ?
Je la saisis fermement par le bras pour la maintenir face à moi.
― Ton travail n’est pas terminé. Tu vas me nettoyer sa queue. Et tâche de t’appliquer ! Montre-moi que tu sais aussi bien tailler une pipe que ta lopette de gamin !
― Oh non, je vous en prie... Pas ça...
Je suis totalement désemparée par ce qu’il me réclame maintenant. Il me faut me plier en deux, accroupie sous le ventre d’Axel, pour lui sucer la queue. Si j’ai accepté de le masturber, c’est surtout en souvenir de ce que j’avais pu commettre avec lui, quand il n’était encore qu’un tout jeune adolescent. Ce n’est pas si vieux, après tout. Mais là, que je puisse pratiquer une fellation sur mon garçon, c’est trop me demander, si vite. Je le supplie encore :
― Je vous en prie Monsieur... Je vous en supplie… Vous ne pouvez pas me demander ça...
― Je ne te le demande pas, je te l’ordonne !
Le ton est ferme, bien décidé à être obéi par cette pouffe siliconée. Je la force se coucher sous le ventre de son fils, et place son visage à hauteur de son sexe.
― Allez, vas y nettoie le ! Elle n’attend que ça, cette petite salope. Que sa chère maman prenne sa queue dans sa bouche. Ici, tu n’es qu’une servante, ma chose, mon esclave. Quand j’ordonne, tu obéies, sinon, c’est la punition assurée. Et demande à ta petite fiotte, si je n’hésite pas à punir toute désobéissance ou tout comportement que me déplait.
― Aïe…
Il me fait mal, son poignet agrippé à mon bras qu’il serre dans un étau pour me faire comprendre qu’il n’est pas du genre à se laisser émouvoir par une femme. Cet homme me fait terriblement peur. Je n’ai aucune idée de ce qu’il pourrait me faire subir. Mais il me suffit simplement de tourner la tête vers le présentoir, où sont suspendus tous de sortes d’accessoires sado-maso que seul un amateur éclairé sait utiliser. Vautrée par terre sous le ventre d’Axel, je comprends en levant la tête sur son jeune sexe tendu que je n’ai pas le choix. Sauf à me rebeller au risque d’être brutalisée, voir torturée dans ce terrible endroit. Je n’ai guère d’autres alternatives que de m’exécuter. Et comment m’enfuir d’ici ? La porte a été fermée. Et même si je pouvais m’échapper d’ici, où pourrais-je aller ? Je n’irai sans doute pas bien loin, juchée sur des talons aussi hauts, à moitié à poil. Il habite loin de tout, j’ai pu le constater en arrivant en taxi tout à l’heure. La plus proche propriété doit être à plus d’un kilomètre. Il aurait tôt fait de me rattraper. Et puis, je ne peux pas abandonner Axel aux mains de ce pervers, au charme pourtant si attirant.
Toujours maintenue à terre, assise sur une cuisse, mains posées à terre devant moi, le sexe triomphant d’Axel me fait face, dans toute sa beauté arrogante. J’ai toujours éprouvé une attirance particulière, à la limite fétichiste pour les attributs sexuels des hommes. Et ceux d’Axel ne font pas exception à la règle. Je n’ai pas eu l’occasion de découvrir la beauté de son jeune membre d’aussi prêt, depuis quelques temps. Spontanément, poussée par un désir incontrôlé, je glisse alors ma main sous ses couilles, et approche mes lèvres de son gland. Tout doucement, je l’absorbe entre mes lèvres humides. Cà y est j’ai commis l’irréparable.
Le cou enchâssé dans mon carcan, je me contente de subir, incapable de pouvoir seulement me révolter face à l’ignominie de cet homme. Le Maître réserve à maman le même sort qu’il me réserve. Il a décidé de l’humilier, la rabaisser pour montrer qu’il est le plus fort, le plus puissant. LIRE LA SUITE
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