7- Suite des aventures sexuelles de C, mon épouse.

dimanche 2 octobre 2011
par  Cadan
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Pour repartir, nous avons dû traverser la salle. Là, quelques habitués nous regardèrent longuement. Évidemment, la tenue ultra provocante de C attirait l’attention et les commentaires.
— Pas mal la nouvelle pute d’Ali.
— T’as vu ces nichons ?
— Et ce cul !
— Je lui mettrai bien mon chibre entre les fesses.
— Le mec a dû payer cher pour pouvoir l’emmener.
La route du retour a été silencieuse. Mon épouse regardait par la fenêtre, des larmes coulant lentement le long de ses joues. Moi, de mon côté, je ne pouvais m’empêcher de repenser à tout ce que j’avais vu ce soir. Et quand je jetais un coup d’œil sur la femme assise à côté de moi, je savais que je n’avais pas rêvé.
Arrivée à la maison, C a immédiatement monté les escaliers vers la salle de bains. Je ne pouvais m’empêcher de regarder son cul, bien visible sous la mini-jupe, d’imaginer l’instrument fiché au plus profond de son anus, de deviner les traces du fouet que je lui avais donné.
J’entends l’eau couler dans la baignoire. Je monte. Elle s’est totalement déshabillée et les vêtements de son nouveau statut gisent par terre, dans un coin de la salle de bains. Elle me regarde, surprise et inquiète. Je regarde son corps et la revois, saillie dans cette chambre minable.
— Je dois soigner tes fesses et tes seins. Tourne-toi.
J’enduis longuement la peau zébrée d’une pommade cicatrisante et, incapable de dire quoi que ce soit, je redescends dans le salon et me sers un whisky.
Une heure plus tard, je l’entends descendre. Bientôt, elle est là, debout face à moi. Elle a les cheveux mouillés, elle est complètement démaquillée et a revêtu la robe de chambre informe qu’elle porte toujours après le bain. Elle me regarde sans un mot.
— Que va-t-il se passer maintenant ? dis-je enfin.
— Je ne sais pas.
— Il y a une telle différence entre ma femme devant moi et la putain que j’ai baisée et vue se faire baiser cet après-midi.
Elle ne répond pas et baisse les yeux. Soudain, une révélation.
— Tourne-toi et relève ta robe de chambre.
C’est bien ma femme, mais le plug est enfoncé entre ses fesses. Elle l’a remis.
— Comment t’appelles-tu ?
— Lola.
Ali et Marie avaient raison. La jeune institutrice que j’avais épousée est devenue la chose de Monsieur Ali. Elle lui obéit, même quand il n’est pas là, même quand il ne lui rappelle pas son chantage. Il lui a enlevé toute idée de rébellion.
Elle est montée se coucher sans un mot. Quant à moi, ce soir-là, j’ai dormi sur le canapé.
Le lendemain, après une journée de travail, elle a l’école, moi, sur la route, nous nous retrouvons face à face.
— Eh bien, tu es là ce soir ?
— Tu sais bien que Maître Ali m’a donnée une journée de repos.
Je la regarde. Elle est vêtue d’un jean et d’un sweat-shirt, avec des chaussures de sport, comme je l’ai toujours connue.
— Qu’est-ce qui va se passer maintenant ?
— Je t’aime, mon chéri. Je n’ai pas envie de te perdre.
— Tu n’y retourneras plus ?
— Si tu me le demandes, non. On essaiera de se débrouiller pour l’argent que je dois et pour les photos qui sont en sa possession.
C’est à moi de décider. Mon épouse met sa vie (sexuelle) entre mes mains. La raison me dit d’arrêter ça. Mais, en même temps, mon sexe se rappelle les images d’hier. Et c’est incrédule que je m’entends dire :
— Nous n’avons pas les moyens financiers pour rembourser Ali ni pour partir loin d’ici. Je suis malheureux, mais tu dois continuer encore un peu de temps.
Elle ne dit rien. Nous nous installons pour dîner dans un silence pesant. Ainsi, j’ai fait un choix. Mon épouse va continuer à se prostituer, et moi à prendre un plaisir malsain à le savoir, à l’imaginer, à le voir.
Le téléphone sonne. Je décroche.
— Allo, ici Ali. Demain, tu m’amènes Lola pour dix-huit heures. Qu’elle ne s’inquiète pas pour ses vêtements ! Il y aura ce qu’il faut ici.
Et il raccroche, sans me laisser le temps de parler.
— Qu’y était-ce ?
— Tu dois t’en douter. C’était Ali. Je t’emmène demain, pour dix-huit heures. Tu n’as pas à t’habiller de manière particulière.
Ma femme me regarde longuement. Elle sait que je viens de livrer son corps à des inconnus. Pourtant, elle ne dit rien. Et ce silence m’excite. LIRE LA SUITE

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Commentaires

Logo de domisexy
vendredi 9 décembre 2011 à 15h00 - par  domisexy

Bonjour, Cadan, j’adore vos récits, je suis impatiente de lire la suite des aventures de C, vous nous faites languir, s’il vous plait racontez nous, humblement, domi la soumise.
PS vous pouvez lire mes aventures sur le site et me voir en photos aussi bien sur mes histoires q’en galerie, n’hésitez pas me dire ce que vous en pensez.

lundi 28 novembre 2011 à 20h19

Bonjour Cadan, avez-vous prévu un suite à votre réçit ?