L’éducation de Kate
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« Effectivement, Jade, notre maîtresse t’a convoquée. Tu es à l’heure. Entre, elle t’attend. As-tu obéi à ses demandes ? Voyons voir. Mets-toi à poil. »
– Mais, Madame, la porte est grande ouverte, on va nous voir.
– Et alors et tu ne discutes pas mes ordres. J’attends. »
Elle ne bouge pas, tétanisée. Elle ne s’attendait pas à cet accueil. Comme Audrey m’a bien dressée ces derniers temps, maintenant, je n’hésite plus à maltraiter une fille quand nécessaire ou qu’on me l’ordonne.
Je la tire brutalement dans l’entrée par le chemisier et je ferme la porte.
« Je t’ai dit de te mettre à poil. Ne m’oblige pas à répéter une troisième fois sinon il t’en cuira. »
Toute tremblante, Jade déboutonne très lentement son corsage, trop lentement à mon goût, puis elle l’enlève.
Elle ne porte pas de soutif depuis un temps déjà, car elle n’a pas de marque du tout. Sa poitrine est splendide. Lourde et ferme.
Je lui caresse les seins et lui pince légèrement les tétons du bout des ongles. Elle fait des petits aïe et détourne la poitrine. Sensible, la petite. Tant mieux. Si Madame m’y autorise, je vais me régaler à lui caresser les seins à la main, mais aussi, avec un martinet.
« La suite. Ça traîne, plus vite. Madame nous attend. »
Elle défait le zip de sa jupe et la laisse tomber. Elle ne porte pas de culotte.
« Mains derrière la tête, passe devant, je te guide. »
Elle enjambe la jupe à ses pieds et se met à trottiner.
Derrière elle, je me régale de voir ses fesses dodues tressauter quand elle se dandine devant moi. Qu’est-ce qu’Audrey a dû se régaler les yeux, au début, avec moi et mes fesses bien plus fermes que celles de Jade ! De temps en temps, je la pousse dans le dos pour qu’elle continue à avancer.
En trébuchant presque, les yeux pleins de larmes, elle arrive devant Maud qui la détaille du regard sans sourire.
Maud me regarde et fait une mimique interrogative en la désignant de la tête.
« Oui, Madame, elle a respecté certaines de vos consignes. Elle n’avait pas de sous-vêtements.
– OK pour le devant, le dos maintenant. Tu te tournes et tu te penches en avant et tu ouvres tes fesses à deux mains. »
Jade s’exécute en se tremblant. Elle ne s’attendait pas, ni à cet accueil, ni à étaler son corps comme une marchandise. J’ai connu ça, ça nous passe assez vite.
Elle m’a l’air d’une parfaite salope qu’il faut dresser pour qu’elle fasse une bonne esclave, c’est tout.
Comment Maud a-t-elle pu amener cette fille à venir se foutre à poil de son plein gré dans son salon ?
Audrey m’a raconté par la suite que Maud l’avait quasiment harcelée tous les jours en lui téléphonant ou en passant au magasin pour lui rappeler notre visite.
Comme moyen de pression, elle se servait de la vidéo qu’elle avait tournée la semaine dernière pendant que Jade, à poil entre mes jambes, me faisait jouir.
« C’est bon, tu peux te retourner. Inspection, Kate, tu l’aides à se mettre dans la bonne position.
– Oui, Madame. »
– Jade, rappelle-moi ce que je t’ai dit à propos de tes poils sur ton pubis ?
– Vous m’avez demandé de me raser pour que j’aie un minou lisse… Madame, se dépêche-t-elle d’ajouter. »
Nous ayant entendu parler à Maud, elle semble avoir compris et retenu cette règle.
« Et alors, Jade, tu commences à peine ta soumission et déjà, tu me désobéis. Je ne suis pas contente du tout. » LIRE LA SUITE
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