Confessions d’une lopette

mercredi 21 janvier 2004
par  Eunuk
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« Mais il y a longtemps que j’ai accepté de n’être qu’un objet sexuel, qu’un jouet masturbatoire – rien de plus, rien de moins. Je ne sens rien. Je ne ressens rien. Je ne m’attends à rien et je ne veux rien. Je ne fais que fixer le plafond sans même cligner des yeux, en baillant aux corneilles pendant que Robert me besogne avec sa courgette gluante. » Ce superbe texte, du journal d’Anne Archet, me trotte dans la tête car il s’applique à ma situation comme un instantané alors que je suis à quatre pattes dans le salon. Sauf que Robert dans mon histoire vraie s’appelle Jean-Yves. Il est en train de m’enculer devant ma femme Valérie dont il est l’amant.

Lui prend vraiment son pied. IL exécute le grand fantasme de Valérie ou sa vengeance. Elle lui a dit :

— Encule le à sec ! Je veux qu’il gueule comme une chienne

L’autre, ne se l’est fait pas répéter deux fois

— Je te veux en levrette Salope !

Je bombe donc mes fesses docilement en cambrant les reins pour mieux m’offrir, et je m’écarte moi-même les deux bords de ma raie. Même quand on a un cul ouvert comme le mien une sodo à sec risque toujours d’être douloureuse et j’en ai toujours gardé des souvenirs cuisants. Alors je fais de mon mieux pour en atténuer les effets. Je sens la pression brutale de son nœud gluant et épais pointé sur mon anus qui commence à céder et cela me fait un peu mal. Mais mon trou s’ouvre. Il accentue la poussée et son gland me pénètre, mon sphincter se dilate, il s’enfonce en moi de plus en plus profondément. Je sens maintenant sa verge enfiler l’intérieur de mon rectum, et il commence à me limer. La douleur de la pénétration s’atténue.

Valérie est venue s’installer sur un sofa juste en face pour me regarder dans le pblanc des yeux et plonger au plus profond de mon humiliation. Elle retourne le couteau dans la plaie avec une ironie blessante.

— Tu es un amant un peu envahissant Jean-Yves, tu me baises et tu encules mon mari sans vaseline et tu ne luis donnes même plus le droit de me toucher.

Certes la soumission la plus vile me colle à la peau depuis mon adolescence. Mon incapacité à satisfaire réellement une femme, les humiliations permanentes m’ont fait glisser progressivement vers un état de bisexualité passive où ma seule fonction est de subir. Subir les sarcasmes et les cruautés des femmes, subir la brutalité des hommes, leur queue et assouvir leurs plus bas instincts. Comme vous le lirez dans d’autres épisodes de Valériemes confessions, mon premier et véritable dressage je l’ai subi durant mes études en faculté, où je m’étais amouraché d’une dominatrice professionnelle qui m’a macquée. Je m’étais retrouvé à faire la pute, pomponnée, maquillée, travestie et livrée à ses vieux clients qui la payaient cher pour mon corps de 19 ans. Cela n’avait pas empêché ma réussite dans les études puis une réussite sociale, avec une belle carrière de communicant à la télé. Aujourd’hui il en a coulé de l’eau sous les ponts. Je suis en apparence un homme mur très classique dégarni avec des cheveux grisonnants coupés très courts, mais avec une double vie de salope que j’essaye de cloisonner. Dans mon entourage professionnel, chez les amis de notre couple, les voisins, et tous ceux qui me connaissent comme personnage public ne peuvent imaginer que sous la peau du notable se cache une authentique pute mature, travestie à ses heures et offerte gratuitement... Ma queue reste toujours molle, ridicule, inopérante, résultat d’une éducation castratrice. Mais j’ai d’autres attraits. Ma bouche pulpeuse et mon cul bien mur, aux fesses bien cambrées encore fermes sont toujours tentants. Surtout ma soumission de salope qui plait tellement aux hommes murs et vicieux est devenue une seconde nature.

*****

Ce mois d’août s’annonce bien rempli pour moi. Au sens propre comme figuré du terme.. Nous sommes en vacances dans le Lubéron C’est ma femme et son amant qui ont choisi le lieu et la très confortable villa que nous louons non loin d’un beau village. Je n’ai plus, depuis belle lurette, qu’un seul droit conjugal celui d’être une lopette au service de mon épouse Valérie. Dix ans de moins que moi, grande mince d’une élégance sobre elle a aussi l’autorité que lui confèrent ses responsabilités dans une grande entreprise. Ceux qui ont déjà lu mes confessions savent que sur le plan sexuel je n’ai jamais pu la satisfaire malgré mes efforts, pour compenser mon absence de virilité par une pratique très experte des caresses et du cunnilingus.

Mais elles vaginale et je bande mou ou plutôt je ne bande pas. J’ai bien sur utilisé godes et vibros de toutes tailles et de toutes formes. Mais elle s’en est lassée très vite, y compris du double gode ceinture que je lui avais offert pour qu’elle m’encule en prenant son plaisir. Au-delà des instants d’excitation que lui procuraient ces pratiques, son mépris pour moi n’a fait que croître. J’ai tout de suite compris qu’elle prenait ailleurs ce que je ne pouvais lui donner et sans essayer d’en savoir plus j’ai glissé vers mon penchant naturel, une attitude de soumission de plus en plus vile où elle trouvait visiblement un côté jouissif. Pendant ce temps je poursuivais ma double vie de salope passive et ouverte à tous les hommes en rut, écumant les saunas, les cinés pornos, les back room de sex-shop, continuant à me travestir pour satisfaire les plus bas instincts des males de rencontre. L’inévitable s’est produit Valérie m’a pisté piégé, surpris en trav pour me mettre cyniquement face à une réalité qui finalement l’arrangeait. « J’aurais pu m’a-t-elle dit prendre mon pied avec un libertin ou même un bisexuel, mais tu n’es qu’une lope tout juste capable de servir de garage à bites. » Avant d’ajouter une petite phrase aussi énigmatique que menaçante « Je ferai avec... »

J’étais prêt à tout accepter pour qu’elle ne me vire pas. En réalité elle n’en a jamais eu l’envie. Elle s’est même très vite adaptée à la situation, pour l’exploiter à son profit avec une redoutable efficacité, comme elle le fait dans sa vie professionnelle ou je l’ai longtemps aidée à faire son trou, et où je peux encore lui servir. Libéré des conventions du couple elle s’est découverte de vraies tendances perverses qu’elle peut désormais satisfaire sans retenue. . Mon nom (c’est Alain D pour l’état civil) est devenu dans sa bouche « Salope »ou « lopette » sans compter d’autres qualificatifs aussi gracieux qu’elle utilise en fonction des circonstances. J’ai même très peur que cela lui échappe en présence de relations mondaine qui ignorent notre situation. Pour le reste elle m’impose ses amants y compris dans le lit conjugal mais elle les entraîne dans ses jeux de domination sans même évidemment me consulter.

Certains ont refusé. Mais beaucoup se laissent tenter par l’expérience qui les excite au plus haut point et que l’un d’eux particulièrement machiste et vulgaire m’a résumé ainsi : « Je viens chez toi je baise ta meuf et je t’encule. Que demander de plus ? » C’est un programme qui semble convenir parfaitement à son dernier amant en date. Jean-Yves la cinquantaine, divorcé n’est pourtant pas un loubard mais un cadre sup. diplôme des grandes écoles. Circonstance particulièrement déplaisante, c’est un de mes anciens collègues de travail que je ne pouvais piffer sans doute par jalousie. Ce qui lui donne visiblement un supplément de plaisir. J’ai du m’y faire. C’est lui qui occupe avec mon épouse (et moi) cette villa de vacances du Vaucluse. Pour l’instant il n’y est que par intermittence. Il vient baiser ma femme et repart car son travail le retient encore à Marseille mais il sera à temps plein dans quelques jours.
Jean-Yves et Valérie ont aussi programmé un séjour au Maroc de deux semaines où ils sont invités dans la luxueuse villa, pour ne pas dire le petit palais, d’un de leurs amis très pervers. Ils m’ont prévu dans le voyage. Cela ne posait aucun problème puis qu’également en congé durant la même période. Je serais très utile m’ont-ils précisé, sans se gêner, pour porter les bagages. Ils ont aussi beaucoup plaisanté devant moi sur l’attrait que pouvait exercer un « garage à bites » dans ce joli pays d’Afrique du Nord ou les ardeurs viriles trop refoulées ont souvent du mal à trouver trou disponible. Je ne me fais guère d’illusion sur ce qui m’attend pour avoir été d’un premier séjour en leur compagnie chez cet « ami. » On s’était servi de moi par tous les trous, même le personnel de maison m’avait même baptisé « la pute française ». Mais c’est un autre récit que je vous réserve.

Puis patatras ! Ce matin à la dernière minute changement de programme pour moi. Les amants décident soudainement de me laisser en plan, sans même m’en donner la raison, comme un bagage en surcharge. Me rappelant ce que j’avais subi la dernière fois je serais plutôt partagé mais que cache ce revirement soudain et c’est bien ce qui m’inquiète ? Je ne peux qu’attendre et surtout pas poser de question. Je n’en ai pas le droit. LIRE LA SUITE




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