Pourquoi moi ?

Par Greysequoia (Traduction : Henic)
dimanche 26 septembre 2021
par  Henic
popularité : 1%
15 votes

1. Enlevée

« Liberté ! »
C’est la pensée prédominante dans ma tête lorsque je passe d’un pas lourd la porte arrière qui ouvre sur le parking. La semaine fut longue et j’attendais avec impatience ma nuit sauvage — thé à la menthe, roman mystère et mon chat. Ce que certains pourraient appeler ennui, je l’appelle bonheur. Deux jours entiers, rien que pour moi. Pas de délais de dernière minute, de fichiers égarés, de patrons délirants, ni d’heures supplémentaires tard le soir. Je vais m’arrêter dans n’importe quelle épicerie encore ouverte à cette heure, acheter une pizza surgelée et rentrer directement chez moi.
Comme je me dirige vers ma voiture, je remarque que, malgré l’absence presque totale de voitures à l’étage du parking, il y a une fourgonnette noire garée du côté conducteur de ma petite berline rouge. Un vague sentiment de malaise me parcourt et j’envisage brièvement de retourner à l’intérieur pour demander une escorte au gardien de la sécurité. Je me murmure :
« Oh, allez… Tu as lu beaucoup trop de livres trash. Maîtrise ton imagination et monte dans ta foutue voiture. »
Je sors mes clés de mon sac à main et me glisse dans l’espace entre la camionnette et ma voiture, plissant les yeux dans la pénombre pour distinguer le trou de la serrure. Je saute en l’air en entendant le bruit de la porte de la fourgonnette qui s’ouvre derrière moi et j’ai juste assez de temps pour me maudire d’avoir ignoré mon intuition quand un sac est passé rudement sur ma tête et que des bras costauds me tirent en arrière. Je crie, je donne des coups de pied et je me secoue, essayant désespérément de retirer le sac, de blesser mon agresseur, n’importe quoi. Je me balance aveuglément mes bras et sens mon poing frapper de la chair, en produisant un bruit sourd satisfaisant. Une voix d’homme jure et soudain, il y a une autre paire de mains qui me bloque les jambes tandis que la paire initiale assure une meilleure prise sur mes bras. J’entends la porte coulissante claquer tandis que la personne à mes pieds se met à attacher quelque chose à mes chevilles. J’essaie de donner des coups de pied, mais les mains sont trop rapides pour moi et je me retrouve vite avec chaque cheville enfermée dans ce qui semble être une sorte de manchette. L’opération se répète sur mes poignets pendant que je continue de crier et de me débattre, espérant désespérément qu’il y a quelqu’un à proximité qui puisse entendre.
Dès que les menottes sont bien fixées sur mes poignets, je sens qu’on les tire au-dessus de ma tête et qu’on les attache quelque part derrière moi. En même temps, mes chevilles sont écartées et attachées aux côtés opposés du plafond de la camionnette, ce qui m’ouvre les jambes et me fait paniquer encore plus. Mes cris de protestation sont étouffés par le bruit du moteur de la fourgonnette qui gronde et nous commençons à bouger, ce qui fait basculer mon poids sur mes membres étirés. J’entends l’un des hommes rire tandis qu’une main commence à caresser ma cuisse. Je commence à supplier :
« Non, non, non, s’il vous plaît…
— Tais-toi, répond-il. Lorsqu’on voudra t’entendre, on te le dira. En attendant, si tu souhaites éviter d’être bâillonnée, je te suggère de garder la bouche fermée. »
Je gémis doucement alors que la main recommence à explorer ma jambe tandis qu’une autre se met à déboutonner mon chemisier. Je serre les dents pour ne pas protester lorsque je sens l’air frais sur ma peau nue puis pousse un grincement étouffé quand je sens du métal froid glisser dans la vallée entre mes seins. Il y a un petit claquement et je sens mon soutien-gorge se séparer au milieu, m’exposant à leurs regards.
« Jolis seins, dit l’un.
— Ouais, je pensais bien qu’elle en avait une bonne paire. Une petite salope comme elle, je parie qu’elle adore qu’on joue avec, répond l’autre. »
Je halète en sentant des doigts saisir un téton et commencer à le tordre et à le serrer brutalement, ce qui envoie un étrange mélange de douleur et de plaisir qui me traverse le corps. Les doigts se déplacent vers mon autre mamelon et lui prodiguent le même traitement, avant que je ne sente un pincement aigu sur le premier, accompagné d’une poussée de sensations. Je gémis et lutte contre mes liens tandis que les hommes rient à nouveau.
« Tu aimes les pinces à linge, hein salope ? Demande l’un d’eux en en appliquant une sur mon autre téton, attends juste de savoir où va aller la dernière. »
Je grimace en sentant à nouveau le métal froid sur mon corps, cette fois à ma taille. On coupe ma jupe, puis on achève de découper les restes de mon chemisier et de mon soutien-gorge, me laissant juste ma culotte et mes chaussures à talons. Je sens des doigts passer légèrement sur mon monticule, effleurer mon clitoris et me faire tressaillir. Au fur et à mesure que les doigts descendent, j’en arrive à la réalisation horrible que je suis mouillée.
« Non ! Pensé-je en paniquant à nouveau, « je ne peux pas, je ne peux pas aimer ça… Cela doit être une réaction de peur, je ne peux pas aimer ça ! »
L’homme décrit le contour des lèvres de ma chatte avec son doigt et pousse un grognement :
« Tu vois, je t’ai dit que c’était une salope. Trempée, et on n’a même pas encore fini de la déshabiller. Si ça te fait mouiller, tu vas adorer ce qu’on a prévu pour toi, petite pute. »
Là-dessus, il tranche ma culotte et m’enfonce brusquement un doigt. Je crie et j’essaie de me cambrer pour m’éloigner de lui, mais l’autre homme me gifle brutalement en disant :
« Reste tranquille, on sait que c’est ça que tu veux ! »
Je suis étendue, les jambes écartées de manière obscène, toujours aveuglée par le sac, des pinces à linge sur les mamelons, alors que le premier homme commence à me doigter. Il enfonce d’abord deux, puis trois doigts en moi, utilisant son pouce pour frotter grossièrement mon clitoris en même temps. Son partenaire tord les pinces à linge sur mes tétons et les frappe de temps en temps, surchargeant mon cerveau avec des vagues alternées de plaisir et de douleur. Je sens ma chatte commencer à se contracter autour de ses doigts et je gémis, luttant pour ignorer les sensations. L’homme raille :
« Jouis petite salope, jouis pour moi. Je sais que tu veux jouir partout sur mes doigts comme une bonne petite pute. »
Je me tords et halète, luttant inutilement alors que la combinaison de la peur, de l’adrénaline, du plaisir et de la douleur me fait passer en hurlant par-dessus le bord, dans un orgasme.
Je sens les doigts sortir de ma chatte et s’essuyer sur mon ventre. La voix dit :
« Belle chatte serrée. J’ai hâte de la baiser. En attendant, je ne veux pas que tu t’ennuies trop. »
Je sens que l’on enfonce quelque chose dans ma chatte puis que l’on m’attache au sol. Les vibrations de la camionnette se propagent le long de ce qui doit être une sorte de gode, pour entrer directement dans ma chatte, et la faire se contracter malgré mon récent orgasme. Je ressens chaque bosse, chaque tournant, et je gémis. L’homme ricane :
« Oh, bien sûr. Comment pourrais-je oublier ma promesse, salope ? »
Je sens son doigt caresser mon clitoris une fois, puis je crie lorsque la pince à linge est fixée dessus.
« Je t’avais dit que tu l’aimerais… » LIRE LA SUITE

Table des matières
1. Enlevée 2
2. Violée 6
3. Forcée 10
À suivre 15



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Commentaires

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lundi 27 septembre 2021 à 11h26 - par  de Perry

Après la lecture de ces quinze pages, on se demande si les hors d’oeuvres subis par la femme n’étaient déjà pas une punition. Apparemment pas vu l’annonce finale d’un geôlier. La traduction est EXCELLENTE, le traducteur sait choisir le vocabulaire adéquat pour rendre ce parfait récit très excitant. Vivement la suite. Sylvain.