Le week-end de Sarah

Chapitres 5 à 9
lundi 9 août 2021
par  Henic
popularité : 1%
40 votes

5. Une vraie raclée

Tom arrive quelques minutes après le départ de Jack, tenant à la main la raquette que le jeune homme a utilisée à bon escient. Tom a également une paire de ciseaux. Il la fait rester immobile alors qu’il coupe habilement le tissu autour de son dos et le jette sur le sol. Ensuite, il examine le paysage de son cul et arrivé à la conclusion que Jack a « fait quelques trous ici et là mais c’est tout.
« Que proposez-vous alors, Maître ? demande-t-elle, et il la fait se pencher. »
Il la frappe sauvagement, sur chaque globe puis entre eux. Il la frappe sans relâche et sans pitié pendant une demi-heure avant de s’arrêter. Quand il cesse, elle se sent très rouge, à vif et sanglante. Elle imagine de grandes rivières de sang alors qu’en réalité ce n’est qu’un filet ici et là. Certains d’entre eux atteignent le sol.

« Que penses-tu de tout cela, Mary ? Demande-t-il à la fille qui les a regardés avec des yeux comme des soucoupes alors qu’il frappait son esclave. Il aurait pu demander à Terri mais elle a toujours le bâillon en place.
« Est-ce qu’elle le méritait ? Demande Mary d’une voix sourde et silencieuse.
— Pouvez-vous lui répondre, Sarah ?
— Oui Maître. Oui Mary. Je le mérite et... si je peux être si audacieuse... encore plus. »
Tom délie les filles et les emmène. Il revient momentanément avec une bouteille d’alcool à friction, un chiffon et une serviette. Il les lui montre :
« Si tu en as assez, nous pouvons y mettre fin ici. Tu t’es plutôt bien comportée.
— Non ; merci, Maître.
— Oh, bien. Je n’ai plus de visiteurs pour toi avant demain mais je ne veux pas que tu te sentes négligée. Alors, sur tes mains et tes genoux, le cul en l’air. Bonne fille. Ça va piquer... beaucoup ! »
Il lui enlève complètement son body et le jette. Fidèle à sa parole, le chiffon qu’il imbibe d’alcool et avec lequel il frotte généreusement ses coupures, pique beaucoup. Presque aussitôt, un feu déchaîné déchire sa croupe, la faisant sangloter de terribles sanglots. Elle s’agite de cette façon, afin d’atténuer les flammes mais elles ne diminuent pas. Des larmes coulent sur son visage et, au milieu de tout cela, il réussit peu ou prou à mettre ses mains derrière son dos, à les serrer en place et à la conduire. Elle sent alors le bâillon remonter dans sa bouche. Malgré cette intrusion, cependant, elle réussit à hurler assez fort.
« Je te l’avais dit, non ? dit-il entre ses explosions de bruit. Il est trop tard pour arrêter maintenant. Tu auras cet incendie pendant un certain temps et tu y seras la bienvenue. »
Elle gémit profondément à cette nouvelle. C’est presque un grognement. D’une manière ou d’une autre, elle se retrouve dans la pièce avec la femme enceinte, et attachée à l’un des chevaux. Celui-ci a un gode et un plug anal sur sa selle. Les deux la pénètrent lorsqu’elle est forcée de s’asseoir. La lubrification qui se dégage de sa chatte y aide. Avant qu’elle ne s’en rende compte, elle est fixée en place. Et elle continue à couler et à pleurer.
Soudain, il attrape son visage et embrasse férocement les deux lèvres.
« Penses-y, encore deux jours. »
Ses yeux se brouillent de larmes. Il leur faut un certain temps pour s’éclaircir. Quand c’est fait, il est là avec du café et un sandwich à la tomate et à la laitue. Bien que ses fesses la dérangent toujours, elle mange et boit quand qu’il lui présente les aliments. Elle ne savait pas qu’elle avait si faim et soif.
« Comment vas-tu ? Demande-t-il d’un ton neutre en lui enlevant le bâillon. »
Il ressort proprement et elle réussit d’une manière ou d’une autre à ne pas déverser de bave sur lui. Elle lui répond :
« Terrible, Maître. »
Le feu baisse très lentement mais maintenant, elle se sent bien et vraiment embrochée dans deux de ses trous. Il la frotte avec une serviette et se dirige vers Jackie pour voir comment elle va.
« Tu t’es bien reposée, explique-t-il à la femme enceinte. Mais ce n’est pas un camp de repos, n’est-ce pas ?
— Non Maître, roucoule la fille. »
Il l’enlève de la chaise et la fait se dégourdir les jambes. Sarah observe qu’elles sont longues et galbées. Puis il la fait marcher de plus en plus vite dans la pièce. Il l’encourage avec un fouet en crin de cheval qu’il prend à un crochet sur le mur. Elle commence à bondir d’une manière que Sarah pense être mal à l’aise et s’arrête. Elle plaide pour ne pas continuer et il la punit ici et là pour sa désobéissance. Il lui donne vingt coups de fouet sur le cul et ce sont vraiment des coups cruels. Puis il la ramène vers la chaise où elle est de nouveau attachée. Il l’essuie avec une serviette et lui dit qu’elle s’est assez bien débrouillée. Il lui donne également une bouteille de lait, qu’il met à ses lèvres pour qu’elle puisse le boire, malgré ses mains liées à la chaise. Sarah la regarde boire : elle aussi a soif. LIRE LA SUITE


5. Une vraie raclée 21
6. Reliée à Jackie 24
7. Sarah et Lucy 28
8. Le problème de Lucy 32
9. Épilogue 37

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