Disparues !

vendredi 12 février 2016
par  Henic
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3 courtes histoires, illustrées de nombreux dessins, traduites de l’anglais par Henic :
- Célébrité disparue
- Disparues en Chine
- La partenaire de rencontre

Célébrité disparue

Le sergent Esposito s’habille pour l’occasion, comme il l’avait fait le jour où il a épousé Carmela Buitráguez, quelques années auparavant. Il est affecté dans un obscur avant-poste dans le Sud. Il en est le chef mais son travail n’est que routine fastidieuse.
Il y a des éléments subversifs partout mais ils ne sont pas intéressants. Il n’y a pas d’étudiants pour se chier dessus lorsqu’ils voient le poste de police, ce qui ajoute toujours un peu de plaisir à la journée. Le subversif bizarre qu’ils attrapent s’avère toujours être un rien du tout, rien qu’un pauvre connard qui trouve là le moyen de se remplir l’estomac de nourriture. La plupart d’entre eux n’ont pas leur propre pot de fleurs à semer pour la récolte de l’année prochaine.
Mais cette semaine est différente. Il en a attrapé une bonne, une dame de la haute société qui est toujours aux bals de charité organisés par le régime militaire. C’est une superbe femme bien bâtie, dont les photos sont plutôt la source principale de stimuli masturbatoires dans une région où le commun des mortels est privé de tels stimuli. Son étoile a un peu pâli lorsque son père, le général Augusto Mendoza, fut tué après le coup d’état conduit par le général Titochet. Elle a juste disparu des journaux. Et elle est là, en tous lieux, au fin fond de ce putain de Sud lointain.
S’il joue bien sa carte, Cardoso peut gagner un meilleur poste, ou une promotion, peut-être même revenir dans la capitale, là où il y a plus d’éléments séditieux, et plus de putes. Le caporal Endrinas dit avec un sourire :
« Chef, l’élément subversif est prêt pour l’interrogatoire. »
C’est un subordonné. En fait, il est le subordonné de cet avant-poste-ci.
Boutonnant sa chemise récemment repassée, Cardoso suit le caporal jusqu’à la cellule. C’est une place dégoûtante, pleine de pisse et de vomi, de rats et de morpions. Les toilettes sont bouchées.
La jeune femme attend, tournée vers le mur. Elle est grande et physiquement splendide mais elle n’est pas à son avantage à ce moment-là. Sa chevelure châtain foncé, qui tombe sur son dos comme des vagues, est maintenant hirsute après deux jours et deux nuits de captivité. Elle a l’air fatiguée. Ses yeux sont pleins de larmes et sa robe d’été est trempée de sueur et toute froissée. Elle a un collier métallique autour du cou, qui la contraint à se tenir sur la pointe des pieds. Ses chevilles sont enchaînées au mur de telle façon qu’elle ne peut pas fermer les jambes. Ses poignets sont menottés dans son dos et ses coudes sont liés ensemble. On n’est jamais trop prudent avec des subversifs comme elle…
Cardoso l’attrape par les cheveux et tire sa tête en arrière.
« Est-ce que tu as eu assez de temps pour réfléchir, espèce de putain de rebelle ? Est-ce que tu vas avouer que tu es la pute de Fidel ? »
Il crache par terre et montre à la jeune femme la canne de bambou dont il s’est servi sur ses jambes la nuit précédente. Elle crie, terrifiée :
« Vous n’avez pas le droit de m’arrêter. Je n’ai rien fait. Je n’ai rien à voir avec les affaires politiques de mon père… Je le jure ! »
Elle sait que sa situation est délicate maintenant que son père a été descendu.
« D’accord. Si tu ne veux pas coopérer, nous allons appliquer le règlement. Endrinas, tu la déshabille et je lui fais une fouille au corps.
— Non… Ne faites pas ça… Noooon ! Nooooon ! NOOOOOOOOOOON ! »
Un par un, les vêtements de la jeune femme tombe, à mesure que le soldat les coupe avec sa machette. La robe est fendue de haut en bas, le soutien-gorge de dentelle est soigneusement découpé au niveau des bretelles puis par derrière. La culotte est coupée à moitié puis arrachée.
Patricia est là, debout, toute tremblante, essayant de maintenir les fesses serrées. Elle serre les poings, attendant l’abus sexuel qu’elle suppose devoir se produire… Non seulement ses jambes mais également ses seins, son derrière, même son vagin, sont terriblement exposés à la canne. Elle ne peut pas serrer les jambes. Il poursuit :
« Tu as beaucoup de poids là où il faut ! Ça va être un plaisir de te fouiller… et de te faire avouer. »
Sa voix tremble un peu lorsqu’il passe devant elle et fixe ses seins lourds… Puis il met la canne entre ses dents et s’accroupit entre ses jambes. Ses mains passent sur ses cuisses, sur son sexe qu’il lèche. Il joue autour pendant quelques minutes avec ses doigts et sa langue jusqu’à ce que son épaisse toison pubienne soit mouillée par ses propres sécrétions et par sa salive… Il reprend, la voix rauque et instable, chargée de désir et de menaces…
« Vous, les filles de la ville, vous avez la peau douce… Bonne viande pour les riches ! Et vous êtes agréablement douces à l’intérieur aussi ! »
Les mains de Cardoso parcourent tout le corps à présent, faisant rouler les seins, puis elles descendent en griffant jusqu’au vagin – le pot à miel, ainsi qu’il l’appelle -, puis plus bas vers les cuisses, de haut en bas et de bas en haut…
Elle essaie de fermer les jambes mais c’est impossible. Il est à genoux devant elle, passe sa main par derrière et trouve son anus. Il respire lourdement.
Il lui lèche les cuisses. Il les a vues dans les magazines, il les a même découpées et placées au-dessus des toilettes afin de les voir lorsqu’il a besoin d’une petite branlette. A présent, il les lèche. Que pourrait-il demander de plus ?
« Une putain comme toi peut rapporter beaucoup d’argent dans ce loin. Dommage que je doive te renvoyer à la capitale ! »
Patricia se mord les lèvres. On la tuera s’ils la renvoient là-bas… En posant deux doigts sur son anus, il lui demande :
« As-tu quelque chose dans ton cul, espèce de salope aux gros seins ? De la drogue, peut-être ? Des capotes pour Fidel ? »
Elle est sauvée par le téléphone. Endrinas dit :
« C’est pour vous, Sergent. »
Les deux hommes s’en vont au bureau et Patricia pousse un soupir de soulagement. Elle est seule, son corps est couvert de contusions, ses épaules lui font mal, ses jambes sont tétanisées par les crampes et son moral est au plus bas. Elle se demande s’il y a moyen d’en sortir. Peut-être pourrait-elle acheter sa liberté avec de l’argent, ou des faveurs sexuelles à ce soldat aussi grossier qu’idiot ?
Cardoso revient.
« Des nouvelles de la capitale. On dirait qu’ils sont en ébullition, là-bas !

Patricia voit qu’il regarde ses seins en lui parlant et inconsciemment, elle se détourne, essayant de les lui cacher. Il lui tourne autour et touche ses mamelons.
« L’ordre est de ne pas te renvoyer là-bas. Tu y as peut-être des soutiens. Le seul soutien que tu as ici est ceci, dit-il en soupesant ses gros seins dans ses mains en coupe, et en les suçant.
— S’il vous plaît… Ne faites pas ça… Plaide-t-elle en regardant Cardoso.
— Mes ordres sont de te faire disparaître. Pas de détails. »
Patricia se met à trembler. Il la caresse et ouvre ses fesses d’une manière plus familière et plus possessive qu’avant.
« Bon. C’est moi qui donne les ordres ici, et je pense que ce serait du gaspillage si tu disparaissais sous un mètre de terre. Donc, voici le plan. Tu veux l’entendre ? »
Patricia hoche la tête, essayant d’ignorer le doigt qui frotte l’entrée de son anus.
« Tu vas rester ici avec moi. Tu seras nue jour et nuit ! Je m’occuperai de toi et tu t’occuperas de ma queue. Ce n’est pas un mauvais marché, hein ? »

Avant qu’elle puisse répondre, il lui met un vieux chiffon dans la bouche et l’attache bien serré. Il enlève le collier et les chaînes des chevilles et la jette par terre. Elle est trop faible pour résister. Il al retourne brutalement, soulève ses fesses et la pénètre par derrière. Il maintient sa tête contre le sol, appuie son sein droit sur le ciment froid et la viole, douloureusement, en lui murmurant des obscénités, gémissant et grognant :
« Tu aimes ma bite ?... C’est une vraie bite de macho pour toi !... Tu as de la chance… Aaaaarrh… Tue s ma putain privée à présent… Aaarrrhhh… Je vais t’enfermer et je ne te sortirai que pour tirer un bon coup… Je t’apprendrai à sucer comme il faut… Aaaarrrhhhh… Tu me nettoieras le cul avec ton visage… Et je sucerai ta chatte… Je te mordrai les seins… Je te mangerai le cul… Je te lécherai la chatte… Je… Aaaaaaarrrrrrhhh ! AAAAARRRRRHHHHHHH ! »
La semaine suivante, Patricia Mendoza, dont les photos et les sourires avaient rempli les magazines, découvre ce que signifie être dans les mains d’un psychopathe tordu et cruel. Enfin, il a quelqu’un qu’il peut dominer. ET il ne rate aucune occasion d’humilier sa prisonnière et d’en abuser sexuellement. Il lui ordonne de faire les tâches les plus dégradantes, de prendre les positions les plus absurdes, et de pratiquer les actes sexuels les plus obscènes. Et si elle désobéit, il la punit.
Ce que Patricia en vient à détester le plus sont les dîners intimes avec son geôlier. Il l’habille d’une robe blanche qu’il a coupée très court pour dévoiler son sexe. Elle n’a pas de culotte. Il lui fait porter des bas couleur chair et des chaussures rouges à hauts talons. Ses poignets sont menottés dans son dos et elle mange ce qu’elle peut directement dans l’assiette.
Quelquefois, elle est debout près de lui, les jambes largement écartées, à moitié accroupie, et il lèche alternativement sa nourriture et sa chatte. Quelquefois, il lui met du miel à l’intérieur et il le lèche complètement. Après le dîner, elle se donne en spectacle pour lui, arpentant la pièce comme un mannequin, adoptant diverses poses pour exposer les parties de son corps qui l’intéressent sur le moment, en général ses seins ou son vagin. Elle doit se tortiller par terre sur le dos, ou sucer une bouteille ou une bougie. Quelquefois, elle doit se masturber contre n’importe quoi et n’importe où dans la pièce – le coin de la table, le dos d’un fauteuil, la rampe de l’escalier…
El elle doit avoir des relations sexuelles. D’habitude, il s’assoit sur une chaise dure. Elle lui enlève ses vêtements avec les dents. Puis elle suce ses orteils, ses testicules et son pénis. Elle descend sur lui, les jambes largement écartées. Il joue avec son clitoris et avec ses seins pendant qu’elle s’agite en rythme, de haut en bas. Les sécrétions vaginales, le sperme et le miel coulent le long de ses cuisses.
Aujourd’hui, Cardoso est au téléphone avec ses supérieurs, des officiers :
« Tout est en ordre, mon colonel. Elle a été neutralisée… Oui, c’est exact, elle est « portée disparue ». »
Patricia entend la conversation, nue et agenouillée sur son bureau. Elle suce un énorme phallus en bois sculpté pour elle par Cardoso. Il la tire vers le haut et vers le bas avec une corde passée dans une poulie.
« A vos ordres, mon colonel… Merci… Merci. »
Il raccroche.
« Suce, espèce de putain. Muscle-toi ! Tu vois quel macho il est ? Tu vois comment il m’a félicité ?
Patricia redresse son dos douloureux, désobéissant aux ordres. Il bondit, en fait le tour et appuie sa tête contre la table. Il soulève son derrière bien haut et saisit la canne.
SSSSSSSSWWWWWIIIIIIIISSSSSSSSS !
« AAAAARRRRRRHHHHHHH ! OUUUUUUUUUUUAAAAAAAAHHHHHH ! »
Il ouvre largement ses jambes et frotte lentement la canne de haut en bas entre les lèvres de son sexe. Il la retourne sur le dos, place ses jambes sur ses épaules et fait courir ses doigts rapidement et brutalement sur son clitoris. Il tient ses lèvres ouvertes de la main gauche et passe plusieurs fois l’énorme phallus sur son clitoris. Puis il l’introduit lentement en elle. Elle est trop fatiguée pour protester…
Tel est l’enfer sur terre de Patricia. Et il n’y a qu’une semaine qu’elle a disparu… LIRE LA SUITE





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