Caroline -3-

Chap. III - Retour chez Jean
mardi 31 janvier 2012
par  Marsajean
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Je croyais que Pierre serait choqué en voyant les marques sur mes seins, mais cela l’a seulement fait rire.

—  Je vois que François est passé à la vitesse supérieure, tu devrais faire attention, il va faire de toi une pute, une vraie avec des clients et tout le reste.

—  Tu trouves ça normal ? Je te signale que je suis ta femme.

—  Je le sais que tu es ma femme, mais je ne t’oblige pas à suivre les délires de François.

—  C’est pourquoi j’ai décidé de ne plus aller chez lui.

—  Tant mieux !

Et nous n’en avons plus parlé.

Mes bonnes résolutions n’auront pas tenu longtemps, à peine un mois, le temps d’être à nouveau le premier mercredi du mois.
C’est plus fort que moi et je me prépare pour rendre une nouvelle visite à Jean. Je n’ose pas téléphoner à François pour le prévenir que je vais rechuter et aller payer une de ses quittances de loyer.

Le problème c’est que je me lance à l’aveuglette puisque j’ai refusé de revoir François depuis le début du mois passer, je vais me jeter dans les mains de Jean sans même savoir si François voudra bien me revoir après.
Il est bien venu deux fois à la maison avec ses potes, mais il n’a fait aucune allusion à mes visites manquées chez lui. Il s’est contenté de se faire sucer et de ma jouir sur le visage pour le plus grand plaisir de ses amis, y compris Pierre puis, il s’est joint à ses amis pour venir me pisser dessus au milieu de la terrasse. C’est lui qui a eu l’idée de prendre le tuyau d’arrosage et de me laver dehors à l’eau froide en insistant avec le jet sur mes seins et mon ventre.

Je suis devant la porte du proprio de François et mon cœur bat la chamade. Mon sac est ouvert sur le sol et j’attends qu’il soit exactement treize heures pour enlever ma robe et sonner. J’écoute anxieusement les divers bruits de l’immeuble, personne ne monte vers l’étage où je me trouve. Je pousse sur le bouton de la sonnette et j’enlève prestement la robe que je roule en boule dans mon sac. Je sens la transpiration couler sur mon front, mon ventre se liquéfier, mes seins se gonfler et les mamelons se durcirent. Le bruit de la poignée qui tourne provoque un soupir de soulagement et je m’apprête à faire un pas dans l’appartement, mais Jean me regarde goguenard.

—  Tu as oublié la laisse et le collier, tu as dix minutes pour aller chercher tes vêtements, me dit-il en refermant la porte.

Merde ! La laisse, je l’ai oubliée à la maison. Vite, je remets la robe et je cours dans les escaliers pour rejoindre ma voiture et rentrer chez moi. C’est la course folle pour arriver à temps, je sens que si je ne suis pas à l’heure, il va me le faire payer d’une façon ou d’une autre. À la maison, je dois fouiller partout avant de mettre la main sur le collier et la laisse que j’ai cachée dans le fond de la garde-robe.
Avec la circulation, j’arrive devant la porte de Jean juste douze minutes après en être repartie. Je sonne, me déshabille et je mets le collier et la laisse. Je suis en nage et essoufflée quand l’homme ouvre la porte. Il me barre la route, car comme moi, il a entendu le bruit d’un pas dans les escaliers, cette fois, je ne vais pas y échapper et je vais être exhibée nue et tenue en laisse comme une chienne à un voisin de Jean. C’est le même homme que la dernière fois, je ferme les yeux tandis que Jean salue son voisin.

—  Bonjour, monsieur Raccel, comment allez-vous ?

Je suppose que l’homme est ébahi de voir une femme nue devant la porte de son voisin et prend son temps pour répondre.

—  Bien ! Je vais très bien, mais pas aussi bien que vous, répond-il.

Morte de honte je continue à fermer les yeux et à prier pour que Jean me fasse entrer dans son appartement.

—  Bah ! C’est une pute, si ça vous dit, vous pouvez passer dans une heure.

Cette fois j’ouvre la bouche pour protester, mais Jean tire un coup sec sur la laisse pour me faire comprendre que je dois me taire.

—  Avec plaisir, mais pourrais-je voir l’endroit ? Les fesses sont magnifiques et je suppose que ses seins doivent être splendides, mais j’aimerais en être sûr.

—  Naturellement, je vous comprends, approuve Jean.

Il me pince le bout d’un sein.

-  Tourne toi que monsieur puisse juger la marchandise.

Rouge pivoine de honte et les larmes aux yeux, je me tourne lentement pour que l’homme puisse voir mes seins et mon ventre. Puis, Jean tire sur la laisse pour me faire entrer dans son appartement. Je fais un pas, mais Jean fait claquer ses doigts et me montre le sol.
Je ne comprends pas ce qu’il veut ou plutôt, je ne veux pas comprendre. Jean tire sur la laisse pour m’obliger à me pencher. Je finis par me retrouver à quatre pattes et je le suis ainsi au salon.
Il se laisse tomber dans un fauteuil et sort son sexe. Je n’ai pas besoin de directives pour comprendre et j’ouvre la bouche pour prendre la queue que je commence à lécher et à sucer. Après dix petites minutes, il me repousse et me prend par le bout des seins.

—  Alors, petite pute, tu as mérité une punition pour être en retard et surtout pour avoir oublié tes accessoires.

—  Je vous en prie, cela ne se reproduira plus, je vous le promets.

—  Je suis sûr que tu n’oublieras plus, mais je dois te punir malgré tout.

—  Ne me faites pas mal, je vous en supplie. Vous ne croyez pas que faire venir votre voisin est déjà une punition ?

—  Non ! Pas du tout, il était prévu de le faire venir aujourd’hui.

—  Je vous en prie, je ne suis pas une putain, faites de moi ce que vous voulez, mais pas votre voisin.

Jean se lève et prend la laisse pour m’entraîner vers la petite pièce où il m’a torturée le mois dernier.
Cette fois, il me couche sur le ventre pour que je lui présente bien les fesses. Il m’attache les poignets et les chevilles aux montants de la table. Il me caresse les fesses et passe une main sur ma chatte qui est dégoulinante.

—  T’es vraiment une salope, me dit-il en passant la main sur mon visage.

Je n’attends pas son ordre et je sors la langue pour lécher ma liqueur intime. Il a raison, je suis une salope et j’attends avec impatience ce qu’il va me faire subir. Il se recule et avant que j’aie compris ce qui se passe, un bruit sec suivi par une violente douleur aux fesses me font me cabrer dans mes liens. Je n’ai pas le temps de crier qu’un deuxième claquement et une autre douleur tout aussi violente que la première me coupent le souffle.

—  Arrhhgg ! Je… Vous… En… AArrhhgg ! Supplie… Arrêtez.

Mais rien ne semble pouvoir arrêter les coups qui continuent à pleuvoir sur mes fesses. Je n’ai pas compté, mais j’ai l’impression que mes fesses sont en charpie et que je ne pourrai plus m’asseoir avant longtemps.

—  Ça, c’est pour avoir été en retard, me dit Jean.

Je suis en larme et je sens mon visage barbouillé de larmes et de sécrétions nasales.

—  Tu as encore droit à une punition, ajoute Jean en me détachant.

Il sort une petite chaîne d’une vingtaine de centimètres de long terminée à chaque extrémité par un petit clip comme sur les boucles d’oreille.

—  Le mois prochain tu n’oublieras plus ta laisse, car je veux que tu la mettes chez toi. Tu prendras une capote que tu mettras sur la poignée et tu te l’enfonceras dans la chatte. Avant de mettre ta robe, tu placeras les clips sur tes tétons. Tu as bien compris, petite pute ?

—  Oui Jean !

Une gifle magistrale me projette sur le sol aux pieds de Jean.

—  Monsieur Jean, me crie-t-il aux oreilles. Pour toi je suis monsieur Jean.

—  Bien monsieur Jean ! Excusez-moi.

Il veut attraper la laisse, mais juste à ce moment-là, la sonnette de la porte retentit.

—  Je crois que c’est notre ami Adrien qui arrive. LIRE LA SUITE


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