3 - Les transformations de la pièce 69

Chapitre 3. Le réveil nocturne
mercredi 10 août 2011
par  kingliart
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Deux hommes devant elle, souriant : c’est ce qu’elle vit dès qu’on lui enleva le bandeau. Elle s’était endormie d’épuisement quand enfin la machine infernale avait cessé de la remplir et la vider d’eau. Ce sont les gestes du gardien pour lui retirer le phallus fixé dans son derrière qui la réveillèrent. Une fois libérée une main charitable lui défit l’étau de la bouche et lui permit de refermer un peu sa bouche. Mais rapidement on lui mit un autre engin dans la bouche, un bâillon en forme de phallus qui fut fixé avec force. A nouveau donc, impossible de parler. Mais cette fois elle aurait la mâchoire moins distendue : elle pensa que c’était confortable ! Et immédiatement les larmes lui vinrent aux yeux en réfléchissant à l’indignité de cette pensée : elle se satisfaisait de n’avoir qu’un simple petit phallus en caoutchouc dans la bouche plutôt qu’un étau qui l’écartelait. La main charitable lui enleva ensuite son bandeau.

Il faisait nuit et l’étable était plongée dans l’obscurité. Un projecteur l’éclairait et l’aveuglait en même temps. Il lui fallut du temps pour voir, plutôt imaginer que voir, en levant les yeux. Deux silhouettes. Deux hommes devant elle, souriaient. Elle mit du temps à reconnaître celui qui l’avait installée au poteau de la cour le matin même pour la faire courir et le contrejour lui fit deviner plus que voir, Georges. Il souriait… ils souriaient… « bêtement », pensa-t-elle. Mais ses pensées s’arrêtèrent là ! Elle était toujours sur le banc, la poitrine écrasée, les cuisses tétanisées et écartées, son anus fatigué (c’était bien la première fois qu’elle éprouvait cette sensation), la bouche bâillonnée, les bras attachés et il souriait. Lui, son amant. Elle n’arrivait pas à formuler un véritable sentiment à son encontre : de la haine, de la perplexité, de la curiosité, de la colère… oui de la colère. Elle le regarda avec un regard sévère. Il rit ! Oui, il se mit à rire : « Ma chérie ! Tu dois être épuisée pour t’endormir pendant qu’on t’encule ! » … Elle rougit de honte !

« Je vois que tu veux me bouffer ! C’est ça ? Tu veux peut-être m’expliquer ton sentiment ? Ah oui, dommage, ici à l’étable, les femelles n’ont pas le droit de parler. C’est d’ailleurs la première fois que je viens ici. Il ya plein d’attractions. Je vais en essayer quelques unes grâce à Monsieur Duchateau qui t’a bien prise en main. Il m’a assuré que tu vas devenir une attraction fort attirante. Avec tes atours naturels joliment mis en valeur comme maintenant, ajouta-t-il en lui caressant les fesses et la poitrine recouverte par sa combinaison latex. Tu es à croquer. Je n’ai pas voulu attendre la fin de la semaine. Comme tu ne peux pas parler durant ce petit séjour, je vais devoir faire confiance aux bons soins des assistants de M. Duchateau. Le gardien m’a dit que tu étais bien bonne ! Ah ah ! Nous venons de prendre de grandes décisions, alors je voudrais t’en faire part…

L’homme qui se tenait à ses côtés s’approcha pour lui délier ses bras et lui dit de se mettre à genoux. Comme elle semblait hésiter il s’approcha d’elle et la gifla : « Quand je donne un ordre j’attends qu’il soit exécuté de suite ! De plus, vous allez être instruite : les leçons orales sont mieux reçues à genoux », ajouta-t-il avec un sourire en coin. « Vous êtes à genoux pour montrer votre respect envers vos maîtres, pour signifier votre soumission et aussi par commodité car ainsi vous être prête à exécuter une fellation ! » dit l’homme qui aussitôt déboutonna sa braguette et posa son sexe sur le bâillon devant ses lèvres. Il délia la courroie qui retenait le bâillon et inséra sa verge dans la bouche. « Pompe-moi maintenant avec de l’entrain ! ». Elle s’appliquait à le sucer avec douceur mais il commença à s’impatienter et il devint plus exigeant avec elle, allant et venant dans sa bouche avec force et régularité. Son sexe dressé lui cognait la gorge mais elle fit tout son possible pour accepter l’insertion brutale. Il jouit rapidement, heureusement pensa-t-elle, et en s’extrayant de sa bouche et en lui demandant de nettoyer sa verge.

« C’est pas mal, 69, pas mal du tout !... AH oui j’oubliai de vous dire que votre amant a décidé de vous rebaptiser « 69 » ce qui est amusant et explicite. Maintenant, Georges, voulez-vous l’honorer de votre membre tout de suite ? »
— Non, je vais me servir de ma chérie un peu plus tard, après avoir visité vos étables si vous n’y voyez pas d’inconvénient.
— Aucun ! En ce cas, poursuivons l’instruction.

Une indignité supplémentaire, pensa-t-elle. Et son amant qui choisit ce surnom ridicule ! On lui avait bien dit qu’elle n’était que la pièce 69 mais sur le coup elle n’avait pas réalisé. ET que se soit lui qui l’ait choisi...

« Vous allez donc rester un peu plus longtemps que prévu. J’ai vu que vous êtes adroite sur les talons et endurante. Le gardien m’avait assuré que vous êtes une suceuse tout à fait honorable. Ce que j’ai pu confirmer à l’instant. Voilà donc ma proposition vous transformer en « ponygirl » mais de cette espèce plutôt … féminine. Votre amant désire faire de vous une poupée donc nous devons exclure la véritable animalité. Je ne vous mettrais pas aux sabots mais plutôt aux chaussures à talon et je vous dresserai pour tirer avec grâce un petit chariot léger et individuel, un « sulky ». Votre corpulence ne mérite pas un travail plus lourd. Par contre on va travailler tous les matins votre endurance et vous devrez pratiquer des fellations au moins trois fois par jour. C’est bien la seule récompense que nous aurons puisque votre ceinture empêche de vous prendre autrement. »

« Ce séjour sera pour vous un dressage pour donner du plaisir sans rien attendre en retour. Ainsi, vous ne devez durant ce séjour en aucun cas vous faire jouir par l’usage normal de votre vagin ou de votre clitoris. Nous ne voulons pas non plus risquer que quelqu’un en profite donc vous porterez cette ceinture de chasteté au quotidien. Par contre votre cul sera utilisé comme il se doit et portera des plugs ou autre ustensiles selon votre devoir ou notre humeur. Les ponygirl portent souvent des queues de cheval et quel meilleur endroit pour l’installer que ce commode orifice arrière ! Mais vous aurez bien le temps pour voir cela les jours prochains. »

« Je serais intraitable sur un seul point : j’attends de vous l’obéissance et l’exécution immédiate de mes instructions. Cela vaut aussi pour mes domestiques, et même mes soubrettes qui sont vos supérieures quand elles vous soignent ! Et cela vaut pour tous les maîtres. Ils sont faciles à reconnaître : ici, ce sont exclusivement des mâles. Pour vous la règle est simple : une personne sans entraves ou qui vous soigne est votre supérieure et vous lui devez obéissance. Je veux aussi que vous soyez en mesure de prévenir nos goûts et de vous offrir au mieux ; vous apprendrez cela dans les jours qui viennent. »

Faisons un bref tour de l’étable pour vous donner une idée des goûts très divers de nos pensionnaires et de leurs maîtres. LIRE LA SUITE



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