Une tranche de vie

samedi 28 juin 2003
par  nathykara
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Mon passé

1. Mon envol

Je me présente, je suis une jeune femme de 35 ans, 1m72 pour 45 kg, une poitrine de 85b, il y à ce qu’il faut ou il faut. Les faits que je vais vous conter se sont passés lorsque j’ai tout juste eu 18 ans et que j’ai du partir de chez mes parents pour suivre mes études dans une grande ville à plus de 800 km de chez moi.

Je me nomme Nathalie, par contre je ne citerais pas les villes pour ne pas me mettre en difficulté car depuis je me suis mariée.

Lorsque au mois d’août je me suis rendue dans cette grande ville totalement inconnue pour moi et ma famille, je n’avais en poche que deux numéros de téléphone, celui du Crous pour les résidences universitaires et celui d’un agent immobilier qui m’avait été donné par son collègue de notre ville.

Le grand marathon a commencé, je me suis faite balader pendant trois jour par le Crous, a bout je me suis adressé à l’agence immobilière.

Par contact téléphonique je n’ai pas eu beaucoup d’espoir, étant pas trop loin de leur bureau j’ai décidé de m’y rendre, bonne idée, à peine j’avais franchi le seuil, que deux charmants négociateurs se sont précipités vers moi pour savoir ce qui m’emmenait chez eux.

Au bout d’un quart d’heure après leur avoir raconté mes malheurs et qu’ils aient noté mes coordonnées et le but de ma recherche ils m’ont promis de me rappeler dans les deux jours et m’ont fait promettre que s’ils me découvraient la perle rare pour une étudiante j’accepterais de dîner avec eux après la rentrée.

Pourquoi pas, ils sont mignons et s’ils me trouvent un logement correct et pas cher, je leur dis ok !

Ca n’a pas traîné, le lendemain midi, mon portable sonne ce sont eux ils m’ont trouvé un petit appartement dans un quartier tranquille dans mon budget, rendez vous pris pour l’après-midi 14 heures.

Nous partons de l’agence et prenons la direction des faubourgs, arrivés ils me montrent un arrêt de bus et une tête de station de taxi ; parfait, je suis un peu loin du centre mais je peux me déplacer et aller à mes cours.

Le bâtiment est une grosse bâtisse construite avec une cour intérieure, en façade côté rue trois portes de garage.

Une fois le porche passé les trois appartements sont dans chaque aile, chacun à sa porte d’entrée indépendante, l’appartement qu’ils me présentent est celui de droite.

Une fois la porte franchie on peut s’apercevoir que les murs sont d’époque bien épais, d’ailleurs on n’entend plus le bruit de la rue, c’est très calme.

Nous entrons dans une entrée, à droite il y a la cuisine, grande avec ce tout ce qu’il faut,

à gauche les toilettes et la porte pour descendre à la cave et en face l’escalier qui monte à l’étage.

Même palier et trois portes, la chambre avec placards, la salle de douche avec le lavabo et un bidet, une pièce qui sert de bureau avec une bibliothèque murale.

L’appartement est meublé, un style un peu ancien mais confortable, de plus le loyer est très correct. En entrant dans la cuisine je m’aperçois quelle communique avec une petite salle à manger, pas très grande avec une table carrée, quatre chaises, un canapé et un bahut.

Les agents immobiliers m’informent que je serais la seule locataire de l’ensemble car il appartient à la suite d’une succession aux trois enfants du défunt, deux veulent garder la jouissance de leur part quant au troisième n’en ayant pas besoin et étant à l’abri du besoin il a accepté leur proposition de me louer l’appartement et ce sont eux qui ont fixé le prix.

De joie, je leur saute au cou et leur fais une bise, ils me rappellent la promesse faite, oui je leur confirme, à mon emménagement j’accepte de dîner avec eux.

2. Devenir femme

C’est heureuse que je rentre chez mes parents pour les rassurer, et je commence mes préparatifs de déménagement.

J’ai décidé d’emménager le 10 septembre ça me laissera quinze jours avant la rentrée pour prendre mes repères, je téléphone à l’agence pour savoir comment s’organiser pour récupérer les clefs.

Il a été charmant, il va venir avec le monospace de l’agence m’attendre à la gare et s’est proposé de m’aider à déménager.

En effet sur le quai de la gare à mon arrivée je les aperçois tous les deux qui m’attendent, c’est presque naturellement que nous nous sommes fait la bise.

Ils m’accompagnent, je retire les colis que j’avais fait partir à l’avance, ils les chargent dans la voiture et en route.

Ils ont été adorables, ils m’ont tout expliqué, le chauffage, l’eau chaude, l’électricité, les fusibles, ils avaient même mis des fleurs dans l’appartement.

Comme convenu et vu que je n’avais pas fait les courses, on se donne rendez-vous pour

20 heures pour aller dîner, ils passeront me chercher.

Ouf ! J’ai cinq heures devant moi.

J’en profite pour ranger mes affaires, ça va vite, je n’en ai pas tant que ça.

Qu’est-ce que je vais me mettre pour aller dîner ce soir, j’ouvre ma penderie, bof !

Un chemisier blanc, c’est passe partout, ma jupe portefeuille bleu marine, bon ça ira, questions chaussures c’est pas le top.

Je descends à la cave, les garçons y ont déposé mes cartons, je dois y trouver mes chaussures de ville.

Tiens ! En plus de mes cartons, il n’y en a que deux, au fond de la cave se trouve une grosse cantine ; elle n’est pas fermée.

Je soulève le couvercle et oh ! Surprise des vêtements féminins, des jupes, des robes et des sous-vêtements, pas grand chose, des strings, des porte-jarretelles et des bas sous cellophane.

Ma curiosité prend le dessus, je commence à inspecter les robes, elles sont toutes courtes d’ailleurs comme les jupes. J’en essaye une, en effet elle m’arrive à mi-cuisse, j’essaye une robe, pareil et en plus elle est fendue et le décolleté ne permet pas de mettre un soutien-gorge.

Allez, ma décision est prise, pour ce soir je vais mettre cette robe. Je prends également le string assorti et je vais pour sortir lorsque je m’aperçois qu’il y a des boites à chaussures sur une étagère.

Je m’en saisi d’une et l’ouvre, des escarpins noirs, ils sont très beaux et ils ont été portés que peu de fois au vu de la semelle. Dommage, ils sont trop grands, je regarde dans les autres boîtes mais elles sont toutes de la même pointure. Tant pis, je remonte.

Bon je n’ai pas résolu mon problème de chaussures, bon je vais voir si dans le quartier il n’y a pas de marchand de chaussures pas trop chères.

Me voilà partie, après avoir arpenté le quartier en long et en large, finalement dans une ruelle je découvre une petite boutique de vente de fripes.

A tout hasard je rentre et commence à regarder les vêtements, les accessoires, il y a de tout, des sacs, des gants, des ceintures, des bijoux fantaisie et des chaussures.

La vieille dame qui tient cette boutique me demande ma pointure, puis me montre un tas de boîtes et me dit de fouiller dedans pour voir si je trouve mon bonheur.

Il n’y a pratiquement que des escarpins, de toutes les couleurs mais tous ont des talons d’au moins huit à dix centimètres. J’en essaye deux paires, une classique et l’autre avec une bride large qui maintient la cheville. J’hésite, je ne sais me décider, alors la vieille dame me demande si je suis nouvelle dans le quartier.

Je lui explique que je suis étudiante et que je viens de m’installer deux rues plus loin le jour même.

Alors elle me propose les deux paires pour le prix d’une et me montre le rayon de vêtements à ma taille en me disant que pour deux sous la prochaine fois je pourrais m’habiller et qu’elle acceptera que je lui emmène mes vieux habits, pour faire un roulement me dit-elle à peu de frais.

Me voilà de retour avec mes chaussures, j’essaye ma robe, enfile mes escarpins. Ouah ! Je ne me reconnais pas dans la glace, je défais mes cheveux, et bien je fais canon comme ça, ils vont pas croire leurs yeux ce soir mes chevaliers servants, je suis très belle et très sexy.

Je vais dans la salle de bain, me fais couler un bain et commence à me préparer.

Il est vingt heures, je suis prête, maquillée, parfumée et en attendant, je m’entraîne à marcher, ça commence à venir.

J’ai bien conscience que ma démarche est provocatrice mais je n’arrive pas à faire mieux.

Richard et Tony sont ponctuels, ils arrivent tous deux avec une bouteille de champagne, une pour l’apéritif et l’autre pour le dessert. Ils restent bouche bée, me complimentent et sont ravis de me sortir, ils vont faire des envieux.

Ils me font m’installer sur le canapé et me servent une coupe après l’autre, je suis toute guillerette, un peu saoule.

Ils m’emmènent dans un bon restaurant, notre arrivée ne passe pas inaperçue, à chaque mouvement je risque de dévoiler mes charmes.

Ils ont l’air d’être connus, beaucoup de personnes de tous âges les saluent.

Le repas se passe dans la joie et la bonne humeur, la bouteille de champagne que nous avons bu avant de partir m’a rendue très joyeuse, le vin que nous a conseillé le sommelier s’est laissé boire.

Pour repartir c’est avec reconnaissance que j’accepte les deux bras de mes chevaliers servants, j’ai déjà du mal avec mes talons et l’alcool en plus cela aurait été désastreux.

De retour dans mon appartement je me laisse tomber dans le canapé, Richard débouche la bouteille de champagne, je n’en peux plus, je me laisse aller sur l’épaule de Tony.

La discussion très sage jusqu’à maintenant commence à s’encanailler. Je leur confie que je suis vierge, que je n’ai pas de petit ami et que je sais tout juste embrasser et que je ne prends pas la pilule. Après toutes ces confidences, j’étais assise entre eux sur le canapé, ils m’ont proposé de m’initier tout en douceur, j’ai accepté, l’alcool ayant supprimé toute crainte et raisonnement correct. Je ne le regrette pas, j’ai passé une nuit formidable. Ils m’ont caressée, léchée, massée et ont pris ma virginité tout en douceur, j’ai appris à faire une fellation, une cravate de notaire, j’ai même joui au petit matin avec ma première double pénétration.

Ils ont honoré à tour de rôle mon minou, agacé mon clitoris, sucés, mordus mes tétons, j’étais sur un nuage, j’ai juste ressenti une petite douleur lors de ma première sodomie, au petit matin j’en redemandais.

Richard et Tony viennent régulièrement me voir seuls ou ensemble, je prends beaucoup de plaisir avec eux, ils sont doux et amoureux.

Ma vie est devenue moins monotone, j’alternais le sérieux de mes études la journée et les tenues coquines pour recevoir mes deux amis le soir.

Je ne me suis pas aperçue de suite que les deux autres appartements étaient habités, c’est vrai que je ne pouvais pas les déranger car aucun bruit ne s’entendait à l’extérieur et eux pouvaient faire ce qu’ils voulaient, je ne les entendais pas.

3. Le kidnapping

Un soir que je m’étais préparée comme à l’habitude très sexy, je le faisais tous les soir car je ne savais jamais s’ils allaient passer, c’était toujours la surprise, on frappe à ma porte.

Je pensais que c’était les garçons, oh ! Surprise !

Deux belles femmes se tiennent devant ma porte, la trentaine très chic.

- « Bonjour, nous sommes les propriétaires de cet immeuble, nous pouvons entrer ? »

Prise au dépourvu je n’ose refuser, je m’écarte et les laisse entrer, elles connaissent effectivement bien les lieux et se dirigent directement dans le salon qui est dans le prolongement de la cuisine.

L’une est blonde cheveux longs qui s’arrêtent au milieu de son dos, elle a de magnifiques yeux verts, fine élancée, une belle poitrine, elle est habillée d’un tailleur veste –pantalon qui a une très belle tenue et chausse de très beaux escarpins à haut talon, elle à beaucoup de classe.

Sa sœur est au contraire très brune, cheveux coupés au carré, et ses yeux sont bleus, elle aussi est fine et élancée mais avec une poitrine plus menue, elle est habillée d’un tailleur veste-jupe qui lui arrive sous les genoux et perchée sur des escarpins.

La blonde, je le saurais plus tard s’appelle Michelle, commence à parler :

- Allons droit au but, vous êtes la locataire de notre frère, il se trouve que nous avons laissé dans votre cave des effets personnels que nous voudrions récupérer. Mais je m’aperçois que vous avez trouvé nos affaires et que sans permissions vous vous en servez.

Sa sœur, Valérie continue :

- Cela fait plusieurs semaines que nous observons ton manège, tes allées venues, tes visites, nous avons même fait le tour de nos connaissances qui nous ont renseignées sur tes sorties.

Michelle :- Tu ne te doute pas de la réputation que tu as, et en plus tu as le toupet d’utiliser nos affaires.

Valérie :- Nous avons décidé que tu vas payer pour cette offense, enlève cette robe de suite et rends la moi. Eh ! Mais c’est que tu t’est permise de mettre aussi le string ! Donne-le !

Les chaussures sont à toi ?

Je tremblais de peur, j’étais impressionnée, je balbutiai

- Oui, celles qui sont à la cave sont trop grandes.

Michelle :- Quel aplomb, elles les a même essayées, va nous chercher toutes nos affaires à la cave et reste nue comme ça, ne t’avise pas à essayer de t’habiller.

Elles m’escortent jusqu’à la porte de la cave et pendant que je descends, je les entend fermer la porte à clé.

Je suis obligée de faire plusieurs voyages pour tout monter, la malle est trop lourde pour moi.

Lorsque j’ai tout posé sur la table de la cuisine elles m’obligent à prendre une de mes valises et à tout ranger.

Valérie :-Dans cette tenue, tu vas nous les emmener chez nous en face.

J’essaye de protester mais c’est une magistrale gifle et une claque sur les fesses qui me font taire.

Comment je vais me sortir de ce guêpier, je décide d’obéir en espérant que Richard et Tony ne tardent pas trop.

C’est totalement nue que je traverse la cour, le froid me fait dresser mes tétons, je hâte le pas de peur d’être aperçue par un passant ou un voisin.

Mais elles prennent leur temps, ferment mon appartement à clé et s’avancent doucement vers moi.

Finalement elles ouvrent la porte, me précédant ouvrent la porte de la cave. LIRE LA SUITE


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