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mardi 16 novembre 2004
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Sodomie
A genoux, m’ordonne—t—il du ton brusque qui lui est coutumier, et montre moi ton cul.
Sans un mot, je m’exécute, avec au fond de moi l’appréhension qui m’est devenue familière quand il me demande cela. Je sais ce qui m’attend. L’inspection sévère de mon orifice dont il va apprécier l’élasticité, la (...)