11 - Scène et giton

Chapitre 11
lundi 20 juillet 2015
par  calingiton
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Personnages : Axel, Philippe La mère

Je ne sais plus quoi penser en constatant avec quelle manière maman se laisse diriger comme cela par un homme. Une vraie poupée de chiffon qui se laisse manipuler et retrousser la robe, exposant à ma vue son magnifique postérieur. Je souris devant l’embarras de mon Maître pour réussir à lui faire glisser le bas de sa robe en vinyle qui lui gaine tellement serrés les cuisses et le cul. Ce n’est pas évident, maman ne lui a pas facilité la tâche en se choisissant cette robe pour venir le voir. Elle aurait mieux fait de mettre l’autre, une presque identique qu’elle a, sauf que derrière elle est complètement ouverte avec juste une espèce de sangle bouclée qui passe sous le cul pour la retenir fermée sur ses cuisses. Une robe bien plus indécente, à la limite obscène, surtout sur le cul d’une femme de l’âge de maman. Je l’ai découverte, cachée dans ses affaires qu’il m’arrive très souvent de fouiller pendant ses absences. Je comprends mieux maintenant l’utilité de cette robe ouverte. Dedans, son cul nu est totalement apparent pour être fessée plus facilement. Mais bon, il faut oser s’afficher avec une robe pareille dans la rue, surtout pour une première rencontre avec mon Maître. En tout cas, dans ma tête tout s’explique, maman est comme moi, une maso. Je ne l’aurais jamais cru, tellement elle se montre dédaigneuse avec moi ces derniers temps. Pour moi, qui ai toujours pensé le contraire, â l’imaginer même, dans mes rêves érotiques, sous les traits d’une cruelle Maîtresse, c’est une sorte de déception. Comme un amoureux dépité, je détourne les yeux, vexé de la voir s’envoyer en l’air, couchée en travers des genoux du Maître, telle une gamine corrigée par son papa. J’ai l’impression alors que tout un pan de mon imaginaire s’effondre d’un seul coup sous mes yeux révoltés. J’en veux tout d’un coup à maman, et intérieurement, je me mets à encourager mon Maître â la frapper durement. Elle le mérite cette salope.

Fesses nues, je me laisse étendre sur les genoux de Philippe. Tête renversée en avant, mains posées à plat sur le sol, jambes en l’air, j’offre sous cet angle, à la vue de ce macho et de mon fils, le spectacle grotesque de mon exposition scandaleuse. Il se met d’abord à pétrir successivement mes deux globes fessiers, constatant sans doute que même s’ils sont restés encore fermes, les ravages de l’âge y ont fixé quelques disgracieux capitons de cellulite. Il fait durer ce malaxage particulièrement humiliant. Lentement l’excitation émerge et prend tout son essor dans tout mon corps.
Puis Philippe lève sa main et l’abat violemment sur mon postérieur. Un long frémissement parcourt mon corps. Mon cœur se met à battre dans ma poitrine, en même temps que les rougeurs enluminent mes joues. Puis les claques s’enchainent avec une intensité redoublée, et commencent à rougir mes fesses d’une belle couleur cramoisie. Je pense à Axel, entravé dans ce monstrueux pilori derrière moi. Il ne peut rien rater du spectacle révoltant que lui offre sa mère. Il doit sans doute imaginer que je suis une belle salope. La honte de vivre une telle humiliation devant lui décuple curieusement mon excitation. Des sensations contradictoires me submergent, entre souffrance et plaisir.
Philippe se met à me battre avec une violence incroyable, indifférent à mes cris de douleur, et à l’agitation pathétique de mes jambes qui se mettent à battre l’air. Au lieu de m’en émouvoir, je lui offre encore plus haut mes fesses, l’invitant à amplifier ses coups. Je sens mon ventre ruisseler et sans doute inonder le lin de son pantalon. Mon excitation est à son paroxysme quand je sens le sexe de Philippe se tendre sous l’étoffe de son pantalon, au contact de mon ventre brulant. Il doit éprouver un plaisir immense de battre une femme comme moi, en plus sous le regard de son jeune amant emprisonné. Son jeune esclave je devrais dire, maintenant. Et puis, après une dernière gifle encore plus retentissante, qui me fait hurler de douleur et de plaisir mêlés, ses doigts impérieux viennent me fouiller. C’en est trop, après cette violente fessée, je ne peux résister que quelques secondes à cette introduction forcée, et je me laisse emporter par la jouissance, sous le regard terrifié d’Axel.

Mais je ne peux rester très longtemps indifférent au sort de ma mère. Comment puis-je continuer à détourner les yeux comme je le fais, quand je l’entends mugir autant de plaisir. Ses cris, ses gesticulations désordonnées, pliée sur les genoux de son tortionnaire, puis ses râles de jouissance me ramènent immanquablement à elle. Elle est là, couchée sous mes yeux ébahis, à un peu plus d’un mètre de moi. En fait c’est son entre cuisses grand ouvert que j’ai devant à moi. Et les doigts de mon Maître qui lui fourragent le sexe dégoulinant de ses sécrétions intimes. Je n’avais encore jamais assisté d’aussi près aux ébats sexuels de maman. La vue de sa vulve dégoulinant de mouille et le bruit de gargouillements que fait son sexe éventré profondément par les doigts de mon vieux protecteur m’en dit assez sur ce qu’elle vit. Est-ce le fait que nous nous partagions le même amant, que nous avons joui l’un après l’autre dans ce même endroit terrifiant, en tout cas je me sens tout d’un coup beaucoup plus proche d’elle. Je me mets même à ressentir une certaine empathie pour elle. Ma colère fait alors place à la compassion devant ses souffrances et maintenant à un besoin violent de la serrer très fort contre moi. De pouvoir partager dans une étreinte passionnée les sentiments violents qui nous submergent elle et moi au contact de cet homme si fascinant. Mon regard croise alors celui du Maître et il peut lire dans mes yeux toute la détresse de rester entravé alors que tout mon corps réclame les bras de ma mère adorée. LIRE LA SUITE

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