Laure

vendredi 10 avril 2015
par  Fatum
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C’est par hasard que je découvris le visage de Laure, un visage dont je devins immédiatement amoureux. Une photo d’elle sur le bureau de François, un de mes employés, suffit à me faire tourner la tête. Sur le champ, je décidai que très vite cette fille m’appartiendrait.
Dirigeant une société de textiles, j’avais développé cette affaire jusqu’à posséder d’importants bureaux dans une des nouvelles tours de la capitale. Au même moment, j’avais acheté dans la même tour, au dernier étage de celle-ci, un très grand appartement où je vivais désormais avec Elise, ma gouvernante, âgée de trente ans, qui avait pour mission d’entretenir mon nouveau domicile, et d’y préparer mes repas lorsque je me trouvais là. Nos relations s’arrêtaient là. Elise était efficace, et cela me suffisait largement.
Ma vie était ainsi partagée entre deux points de chute, mes bureaux au quatrième étage, et mon appartement au vingtième. Pour le moment, je vivais seul et cela commençait à m’énerver. J’avais de gros besoins sexuels mais si cela était loin de déplaire à mes anciennes maîtresses, cela m’amenait à souvent mener une vie tumultueuse. Je n’avais que rarement emmené une des ces maitresses dans mon appartement, et je savais qu’Elise n’appréciait guère les femmes que j’y amenais. Mais elle était fine mouche et comprit de suite que très vite je lui ferai découvrir Laure.
Il me fallait imaginer un système qui me permettrait de détacher Laure de son époux. Un peu honteux quand même, je convoquai un jour François dans mon bureau. J’avais truqué certains chiffres d’un rapport qu’il avait dû préparer à mon intention et le menaçai d’une expulsion immédiate, considérant cette faute créée par moi comme gravissime. Je savais que la vie qu’il menait n’était pas des plus aisées. Sa femme était sans travail, et assez dépensière. Se retrouver à la rue serait une catastrophe pour lui. Il me dit ne pas comprendre ce qui se passait, mais je le menaçai de plus belle. Il paniquait vraiment. Faisant mine de vouloir l’aider, je lui proposai de procurer un emploi de secrétaire à sa femme. S’il était d’accord pour la voir venir travailler dans ma société, je pourrais envisager de classer sans suite le dossier litigieux, tout en insistant sur le fait que son erreur me coûtait beaucoup d’argent qu’il lui faudrait bien me rembourser un jour. Désespéré, il me donna son accord. Oui, dès le lendemain il viendrait me présenter Laure, et la persuaderait de se mettre à mon service.
Comprit-il ce qui allait se passer ? Je ne le sus jamais. Il se doutait probablement de mes intentions réelles, mais il lui était impossible de se défiler.
Quand le lendemain, il me présenta son épouse, je fus subjugué. Elle avait apparemment revêtu ses plus beaux atours, et était vraiment magnifique. Je lui expliquai la présumée faute de son mari, et lui dis être prêt à provisoirement abandonner toute idée de poursuite, à condition qu’elle accepte de venir travailler à mes côtés. Elle serait largement rétribuée pour les services qu’elle me rendrait. Apparemment, elle n’était pas dupe, et au mot de services, j’aperçus un léger sourire sur ses lèvres. Je décidai alors de brusquer les choses, et invitai le couple à venir discuter de la chose dans mon appartement.
Elise, quand elle nous vit arriver, se montra charmante. Je la chargeai de nous préparer un apéritif, et quand elle vint nous l’apporter, elle en profita pour dévisager tout à son aise Laure que je vis rougir. Je mis alors carrément les pieds dans le plat, et me tournant vers elle lui demandai brutalement :
« Etes-vous prête à vous soumettre à ce que j’attends de vous ? Vous découvrirez alors une vie bien plus agréable que celle que vous menez aujourd’hui. Une sécurité financière d’abord, puis d’autres avantages que vous découvrirez au fil du temps. Mais il me faut votre accord pour que tout cela se réalise. Alors, je vous pose brutalement la question. Je vous signale que François m’a déjà donné son accord. Et vous, êtes-vous prête à accepter ce que je compte bien vous demander ? Si c’est oui, vous entrez immédiatement à mon service. Si c’est non, François sera licencié, et je m’arrangerai pour qu’il ne retrouve pas facilement du travail. »
Laure se tourna alors vers son époux, qui lui signifia en écartant les mains qu’il était impuissant à changer le cours des choses. Laure alors se retourna vers moi et sa réponse fut nette :
« Oui, monsieur, je suis prête à vous obéir. J’attends désormais vos ordres. »
J’ordonnai alors à François de rejoindre son bureau, et de nous y attendre en fin de journée. Il quitta l’appartement après avoir jeté un dernier regard sur Laure, et je me retrouvai seul avec cette dernière. Elle se demandait sans doute avec inquiétude ce qui allait se passer. Je fis revenir Elise à qui je tins un petit discours.
« Je te présente Laure, ma nouvelle secrétaire. Elle passera ici une grande partie de son temps, et ce sera à toi de la prendre en charge. Mais je ne connais pas grand chose de l’intéressée, et tu vas m’aider à mieux la connaître. » Je me tournai alors vers Laure « Avant tout, je veux que tu t’adresses à moi en m’appelant Monsieur et en me vouvoyant. Suite à l’accord de François dont le caractère veule ne m’étonne pas, tu m’appartiens désormais. Mais à part ton nom et la photo qui se trouve sur le bureau de ton époux, je ne connais rien de toi. En mon absence, tu obéiras à Elise qui sera à la fois ta gouvernante et je l’espère bien vite ton amie. Déshabille-toi maintenant. Je veux vérifier si je ne me suis pas trompé en achetant un chat dans un sac. »
A mon grand étonnement, et sans la moindre hésitation, Laure retira ses vêtements un à un, les tendant à Elise qui les empila sur une chaise. Quand elle n’eut plus sur elle que son string, elle me lança un bref regard et quand elle me vit hocher la tête, elle le retira sans plus attendre.
Elle avait un corps superbe, de très jolis seins qui apparemment étaient déjà excités. Sa toison pubienne était blonde comme ses cheveux. Sous l’effet de la honte sans doute, son visage avait rosi, sans que cela ne retire quoi que ce soit à son charme. Elle était plus que jolie, elle était belle des pieds à la tête. En la voyant toute nue, je vis briller les yeux d’Elise. Elle admirait celle en qui elle devinait une proie facile pour elle. De mon côté, je connus une immédiate érection, et afin de la masquer, j’ordonnai à Elise
« Oui, comme tu le vois, la marchandise est de premier choix. Mais examine-la intimement, pour vérifier si tout semble en ordre. Puis, tu feras le nécessaire pour lui raser la chatte. Tu sais que j’ai en horreur les poils pubiens et tous les poils en général. Quand ce sera fait, je prendrai Laure définitivement en charge. »
Elise emmena Laure dans la salle de soins, la fit se coucher sur la table de massage et, après m’avoir appelé, commença l’inspection, faisant à vive voix des commentaires sur ce qu’elle voyait.
« Rien à dire sur la bouche. Elle a une dentition parfaite. Mais je ne peux prévoir si elle sucera bien. » et s’adressant à la jeune femme « Dis-moi, as-tu déjà sucé un homme, ton époux par exemple. »
La brutalité de la question fit rougir l’intéressée qui répondit quand même
« Oui, mais pas souvent. »
L’examen continua, Elise s’intéressait maintenant aux seins de Laure.
« Ils sont de très belle qualité, et me semblent facilement durcir. »
Elise ouvrit la bouche et suça alternativement chaque tètons. Puis, elle fit glisser sa bouche en direction du bas-ventre de Laure. Je compris ce qu’elle voulait faire et m’approchai pour ne rien perdre du joli spectacle qui se préparait. Quand la bouche d’Elise arriva dans le haut de la toison, je vis sa langue en sortir et se mettre à lécher le clitoris enfoui au milieu des poils. La réaction de Laure fut immédiate : son corps se tendit, elle émit une plainte et de ses deux mains appuya la tête d’Elise sur sa chatte. Le spectacle était fascinant. A grands coups de langue, Elise s’appliquait et procura à Laure deux orgasmes consécutifs. Puis, elle se dégagea et la força à se mettre à quatre pattes. Des deux mains, ma gouvernante écarta les fesses de sa partenaire, et posa brutalement sa question
« Dis-moi, ma chérie, as-tu déjà été enculée ? »
D’une voix étouffée, Laure lui répondit
« Jamais, madame, j’avais trop peur d’avoir mal. »
Elise alors se redressa et s’adressant à moi
« Vous en avez de la chance. Vous recevez, mis à votre disposition, un corps superbe, et en prime un pucelage comme vous les aimez. L’anus de cette jeune dame est encore intact. Je crois d’ailleurs que vous devrez attendre pour utiliser cette voie. Il vous serait actuellement impossible d’arriver à vos fins. Bien entendu, je me ferai un plaisir de préparer Laure à vous accepter dans son fondement. Et dans quelques jours, elle vous y accueillera sans le moindre problème. »
Je laissai alors se relever Laure et gentiment lui donnai quelques légères claques sur le derrière, ce qui fit rire Elise.
« Voyons, monsieur, ne soyez pas si prudent. Quelque chose me dit que cette demoiselle adore être fessée, mais de manière un peu plus virile. »
Je regardai Laure qui s’était relevée et sans que je ne lui demande rien, elle répondit
« C’est exact. J’adore cela et d’ailleurs mon mari quand il voulait me récompenser me faisait rougir les fesses. »
Je me mis à rire, et lui dis
« Fort bien, nous verrons cela ce soir. Et que penses-tu de moi ? Et qu’attends-tu de moi ?
— Je crois que vous allez vous libérer et me forcer à devenir votre jouet. Vous allez me baiser, c’est certain. Puis, quand je serai prête, vous allez m’enculer. Avec mon époux, je n’ai pas découvert grand-chose à propos du sexe. J’ai l’impression qu’avec vous ce sera totalement différent. Et le comble, c’est que j’ai l’impression que je vais aimer cela. »
J’étais rassuré. J’avais craint des réactions violentes de la part de celle qui allait devenir mienne, et je découvrais une femme sûre d’elle, avide de nouveautés et prête à se donner à moi sans la moindre appréhension. Elle fit mine de se rhabiller, mais je l’arrêtai d’un geste
« Reste nue, le spectacle est trop joli. Oui, tu vas découvrir avec moi des choses que François aurait été bien incapable de te faire connaître. La sodomie, d’abord. Puis, tu vas découvrir la double pénétration. Je t’emmènerai aussi dans des clubs échangistes où au cours de la même soirée tu te donneras à de nombreux hommes et femmes. Puis, je te ferai découvrir deux noirs dotés d’une impressionnante verge qui te prendront en même temps par devant et par derrière. Je te donnerai aussi à des femmes qui seront folles de ton corps, et avec elles tu découvriras des jouissances dont tu n’as même pas l’idée. Tu dois être belle à regarder quand tu jouis, et j’aurais bien tort de me priver de ce spectacle. Ce soir, tu resteras ici, avec moi et Elise. Demain matin, je t’emmènerai chercher chez toi les vêtements que tu veux conserver, mais je t’en achèterai d’autres. Je t’achèterai aussi des jouets sexuels qui te permettront de jouir sans jamais connaître une panne. Quand à François, il viendra de temps à autre ici, te contempler en action et réaliser ce qu’il a perdu. Je t’enculerai devant lui et lui proposerai de t’enculer ensuite, dans ton cul plein de mon sperme. Et je lui conseillerai de ne pas refuser. Elise va maintenant raser ton minou, de manière à ce que je puisse mieux découvrir toute ton intimité. Et elle n’oubliera pas les quelques poils qui entourent ta petite rosette. Ensuite nous descendrons rejoindre mes bureaux, et tu pourras dire au revoir à François que tu ne reverras pas avant quelque temps. Je compte bien fêter ton arrivée en nous octroyant quelques jours de congé que nous passerons ensemble au soleil. »
Elise ramena Laure dans la salle de bains et la fit s’installer, jambes écartées, dans un fauteuil gynécologique. Elle avait préparé sur une table une bassine d’eau chaude, un blaireau, du savon et un rasoir. Laure ne fit aucune difficulté pour laisser opérer la gouvernante, et très vite, le rasage s’effectua. J’avais assisté à la séance, et présentai un miroir entre les jambes de Laure, de manière à lui permettre d’admirer le résultat obtenu. Elle ne fit aucun commentaire, et se contenta de rougir. Je lui assurai que dès notre retour, je ferais procéder à une épilation définitive, mais qu’elle prendrait trop de temps pour être effectuée de suite. Il fallait encore procéder à l’élimination des poils entourant l’anus, mais vu leur emplacement, Elise devrait le faire au moyen d’une pince à épiler. L’épilation chose était douloureuse, mais Laure fit preuve de vaillance et ne se plaignit qu’une fois.
Le moment était venu d’aller dire adieu à François. Je savais qu’à cette heure, les bureaux s’étaient vidés. Je donnai alors un peignoir à Laure et lui dis de le revêtir, en ne mettant aucun autre vêtement. Nous sommes descendus au quatrième étage. Mes bureaux étaient déjà vides et François s’était installé dans un des fauteuils du hall. Il regarda stupéfait son épouse et quand sur mon ordre elle se débarrassa de son peignoir, il n’en crut pas ses yeux. Je retournai le fer dans la plaie :
« Regarde-la, n’est-elle pas mignonne ainsi ? On dirait une petite fille. Et ce n’est pas tout »
Je donnai un ordre bref et Laure se retourna, et écarta ses fesses, laissant voir à François son anus bien dégagé.
« Ma gouvernante a fait de l’excellent travail et dès ce soir, nous pourrons entamer la préparation de Laure à sa première sodomie qui doit avoir lieu avant les quelques jours de congé que j’ai prévu de prendre avec elle. Je dois encore te féliciter. Ton épouse est une femme charmante, et ne manifeste guère de réactions de pudeur, contrairement à ce que je craignais. J’attends beaucoup d’elle, et suis persuadé que j’en tirerai énormément de plaisir. Dès notre retour, tu pourras nous rendre visite dans mon appartement, où tu auras droit à une surprise. Elle sera de taille, et j’espère que tu l’apprécieras. »
Les adieux furent brefs. Laure avait remis son peignoir et sans un geste vers son mari, quitta les bureaux pour remonter à mon appartement. Là, à ma demande, elle se déshabilla totalement. Elise avait préparé à notre attention un repas de qualité, mais léger. Elle nous charria un peu
« Votre nuit sera sans doute agitée, alors ne chargez pas trop vos estomacs. Dès que vous aurez rejoint votre chambre, je viendrai préparer Madame pour la nuit, si vous le voulez. »
Je savais par expérience ce que signifiait cette préparation, et lui donnai mon accord. LIRE LA SUITE

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Commentaires

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mardi 3 janvier 2023 à 07h49 - par  Henic

L’histoire démarre sur un vrai cocktail de saloperies : mensonge, faux et usage de faux, chantage... Tout ça pour piquer une épouse à son mari.
Le moins que l’on puisse dire est que ça commence fort mal !
Ensuite, on entre dans un domaine plus « classique » que Fatum décrit et fait vivre avec le détachement et une certaine froideur qui caractérisent sa plume, pour un texte de bon aloi dans le genre.